Métaphore

Il fait froid dehors

Archives juillet 2008

T'es une chaude, toi ...

Il parait que nous vivons aujourd'hui la journée qui sera la plus chaude de l'été. C'est heureux, parce que 30° sans un souffle d'air dans l'appart, c'est un peu excessif (j'entends le ventilateur de l'ordinateur ahaner.)

mrouf

C'est pas pratique, cette histoire de cigarettes vendues en paquets de plein. Là, j'ai pas fumé depuis lundi mais j'ai envie d'une clope, sauf que si j'achète un paquet, ben j'aurai des clopes, alors je ne vais certainement pas n'en fumer qu'une.

pas inutile

Après ce que j'ai écrit hier, il me semble bien de faire un petit rappel.

Voilà, c'est dit.

Qu'ouïe-je ?

Tiens, je viens à peine de faire le rapprochement entre to hear et ouïr ...

Et je viens également de me rendre compte que cette catégorie ne me fait pas assez d'usage. Je vais donc la remplacer par un mot-clef (que j'ajoute aussi sec. Il faudra que je vois où ranger ces articles-ci maintenant.)

Passionné ?

Complètement en dehors de cette analyse permanente qui est mon hobby préféré, j'ai écrit cette envie d'excès que je retrouve actuellement. Ça a fait réagir Mitternacht qui a promis dans les commentaires un texte sur le sujet. C'est fait, et ça parle d'un garçon passionné et d'une fille qui veut qu'on l'aime comme dans les films. J'ai bien essayé de le résumer pour les paresseux, mais il y avait peu de remplissage, alors je vous engage à le lire avant de passer à la suite (et les paresseux peuvent se rassurer, ce n'est pas bien long.)

Voilà, vous avez lu ? Je peux continuer ? Non, j'en vois encore un là qui a fait semblant. Tu ferais mieux d'y aller, sinon tu ne vas pas comprendre de quoi je parle. Oui, j'insiste, c'est pour ton bien.

C'est bon maintenant ?

Bon.

Je connais mon boulot, moi, madame !

Moi: oui, les portables, il faut les brancher des fois, sinon la batterie meurt.
Elle: il est branché, en plus sur batterie il a la facheuse tendance à planter réguliérement
Moi: ah
Moi: Vista.
Elle: ben...
Elle: oui...

Quand je vous dis que je suis un spécialiste Microsoft diplomé ...

On s'habitue vite

Le problème, c'est que ça va faire quinze jours que je n'ai pas vu la dame des questions, qui réussit à peu près à canaliser mes interrogations vers quelque chose de constructif. Enfin, j'espère que mon état du moment a un rapport avec ses vacances, sinon je ne vois pas d'où ça vient et ça serait effrayant, parce que mon état du moment, il est pas top. J'ai l'impression d'avoir fait un grand bond en arrière. J'allais mieux il y a dix jours. Je ne comprends pas. Je n'ai pas les nerfs en très bon état. je suis fatigué.

Du rock avec du bruit

Je suis allé voir Rubin Steiner sur scène, je dois avouer qu'en tant que musicien, je suis très intéressé par la démarche : Du gros rock, grosse batterie, grosse basse, guitare qui fait du bruit, et par au dessus des tas de bruits, des machines qui déforment les voix, des boucles, et mille autre petites choses électroniques. Du rock électro, quoi. C'est vraiment un format que j'ai envie de jouer. J'avais tendance à avoir envie que notre claviériste, djeunz habitué aux machines, pousse un peu plus les expérimentations, mais il devait trouver que ça cadrait peu avec la musique du début des seventies que nous jouions.

Pourtant, merde, je suis sûr que ça peut donner quelque chose : un vrai gros bon groupe de rock, à l'ancienne pour ainsi dire, mais épaissi de gros bidouillages électronique, ça, ça sonne bien. Je devrais aller plus souvent voir de ces groupes qui collent un ordinateur entre la batterie et la guitare. Il y a de quoi faire. Je suis sûr qu'il y a moyen de faire mieux d'ailleurs : Rubin Steiner, sur disque, c'est intéressant, sur scène, il manque quelque chose. Je ne saurais dire à quoi c'est dû d'ailleurs, c'est peut-être bien le côté rock qui n'est pas assez lâché, pas assez brut. Quand ils lancent par exemple Your life is like a Tony Conrad concert, on tend l'oreille, mais on se dit que le disque est meilleur. Pour un gars comme moi qui ai toujours considéré que la valeur d'un groupe se mesurait sur scène, c'est dommage.

trop

En ce moment, trop de bières, trop de clopes, trop de sorties, pas assez de sommeil, mal aux doigts à force de trop jouer de guitare.

Je n'ai jamais beaucoup aimé la vie sage. Ces dernières années, je m'étais assagi pour plaire à une demoiselle, qui a fini par me dire qu'elle avait envie d'excès.

Dont acte. Remettez moi une cuite.

C'est dommage

J'aime beaucoup Paris en été, mais j'étais l'année dernière bloqué plus haut avec mon plâtre et je ne ferai cette année qu'y passer...

Les bords de Seine sous le soleil, c'est quand même magique.

un échec

J'allais relativement bien depuis quelques temps et je me demandais ce que ça cachait. C'était vraiment une question idiote parce que ça cachait la même chose qu'à chaque fois précédente : une rechûte.

Elle est en permanence dans ma tête. Je fais des efforts pour que ça s'arrête, mais j'ai l'impression que je pourrais aussi bien donner des coups de poings dans le brouillard. Je voudrais pouvoir lui proposer de faire un ciné, un week-end ou un voyage ensemble, je voudrais pouvoir profiter de ce plaisir là sans éprouver de douleur à l'idée de n'être que de passage.

Firefox trBOUM !

ProductName: Firefox
SecondsSinceLastCrash: 74

Firefox 3, il est trop classieux. Mais sous Windows, je le trouve un rien instable : J'en suis à un crash toutes les minutes et demie. Même punition sur deux machines différentes. Je n'avais pas le problème avec les version béta, c'est ballot.

Tags

C’est joli, on dirait de l’art contemporain.

(Merci Roy Tanck & Gwénaël Després)

il y a un an

Il y a un an et quelques jours, pour être vaguement précis, je me cassais le poignet. J'entamais deux mois pas drôles où m'étaient interdits la plupart de mes loisirs, le boulot, et pas mal d'autres choses. C'était l'été, tout le monde était en vacances, et je me retrouvais seul alors qu'il m'était plus que problématique de me faire à manger, de faire des courses, du ménage ou simplement ma toilette.

Il y a un an, la fille dont j'étais amoureux m'a bien signifié que tout ça n'était pas une raison suffisante pour qu'elle accepte de me laisser passer une partie de cette période là avec elle. Et tout le reste a perdu son importance à côté de la tempête dans ma tête que ça a déclenché. Après des années de paix, les crises d'angoisse ont fini par se réinstaller et j'ai fini l'été dans un état lamentable, à essayer de me convaincre que ces idées là étaient idiotes et que c'était ma tête qui n'allait pas et imaginait des choses qui n'existaient pas. J'y étais presque arrivé d'ailleurs, quand quelques mois plus tard elles se sont brutalement confirmées.

Aujourd'hui, je réapprends à vivre avec cette absence là, la dame des questions m'aide beaucoup. Mais le creux est toujours là. J'étais ces derniers jours en train de bosser sur des projets perso, le genre qui ne l'aurait jamais intéressée, mais j'avais envie, comme avant, de me lever pour aller la déranger dans ses projets perso à elle, juste le temps de l'embrasser et de s'y remettre.

Il y a du travail, pourtant je suis en train de chasser tout doucement les ombres dans ma tête. Ça va mieux.

Mais elle est toujours absente.

Pas assez de mains

Ah, je viens de ressortir le dobro et de l'accorder en open de sol pour faire du blues (tiens, il me rappelle quelque chose, cet accordage) et je me rends compte qu'il y a bien longtemps que je n'ai plus joué du folk en open de ré. J'ai pas assez de mains pour jouer tout ce que j'ai envie de jouer en ce moment.

Ciel de Flandre

Je suis allé faire hier avec quelques camarades un tour en Flandre, juste histoire de prendre l'air. Mais en allant simplement prendre l'air, je me suis retrouvé un peu chez moi.

J'aime ces paysages, et j'aime surtout ce ciel, qui est magnifique quand il fait beau, et qu'il l'est d'une certaine façon encore plus quand il est bas. Il jouait hier à cache-cache et laissait passer par moment le rayon de soleil nécessaire pour sécher le trois gouttes qui étaient tombées la minute précédente.

Nous sommes partis sans destination plus précise qu'un rendez-vous plusieurs heures plus tard, et la voiture a pratiquement choisi la route toute seule. Plus exactement, c'est sans doute directement mon inconscient qui a guidé mon volant, puisque je me suis retrouvé dans l'estaminet où j'ai passé les plus belles heures de ma jeunesse.

chut

Plus silencieux que ces derniers mois depuis quelques jours … Toute ma matière grise disponible est occupée à essayer de trouver quoi faire des questions que me pose la dame qui m’aide à fouiller dans ma tête une fois par semaine. Encore plus dur : des fois, il y a même des réponses, et ça, ce n’est vraiment pas évident à gérer.

Ça bouge.

En fait, ça n’arrête pas de bouger. On dirait que je ne supporte pas l’idée d’arriver quelque part.

mon bureau est plein

Bureau plein

N'en jetez plus !

Bruxelles, et des amis

Ça se mélange bien.

Je connais étrangement mal Bruxelles pour quelqu'un qui la fréquente depuis si longtemps, mais j'y évolue avec grand plaisir, surtout quand j'y vois des têtes que j'aime bien.

Et j'ai vu pas mal de têtes que j'aimais bien, ces derniers temps ; en couples. Un couple qui venait passer le week-end pour écouter la musique et manger un morceau avec moi, un couple qui venait passer la semaine pour trouver un appart avant de venir s'installer, avec qui je me suis perdu dans les petites rues des Marolles avant d'aller admirer la Grand Place, d'aller boire un coup à côté du Manneken Piss, et passer la soirée le lendemain du côté de Saint Gilles.

un autre anniversaire

Il y a neuf ans pile aujourd'hui, je débarquais à Bruxelles.

Où ça va se nicher

Ça fait des années que, sans l'entendre plus d'une fois toutes les quelques années, j'ai ce morceau en tête, régulièrement :


Art of Noise - Moments in Love - (Who's Afraid Of?) The Art of Noise!

Et plus particulièrement un petit bout de l'intro au piano, à savoir les trois dernières phrases :

drôle de rêve

réveillé à cinq heures trente ce matin, au sortir d'un rêve que je n'appréhende pas bien.

J'avais rencontré une fille, mais au moment d'aller la retrouver, je préférais aller voir la copine d'un pote, qui me plaisait plus. Dans mon rêve, cette fille était un composite de plusieurs que je connais dans la vraie vie, mais l'aspect copine d'un bon pote et la trahison qui va avec étaient bien présents.

Au moment où les choses commencent à devenir intéressantes, je regarde par la fenêtre et je vois la jeune voisine d'en face sauter depuis quelque chose comme le huitième étage. Je jette un coup d'œil à la fille avec laquelle je suis : elle fermait les yeux, elle n'a rien vu. Pour ne pas gâcher les réjouissances qui s'annoncent, je choisis de ne pas lui en parler. Je n'aurai qu'un regard rapide par la fenêtre pour voir plusieurs étages plus bas les morceaux du corps qui ont roulé dans tous les sens, mais rien ne me détournera de ce que j'avais entrepris.

Et en repensant depuis mon réveil à cette tête, posée à l'écart du reste, des étages plus bas et qui avait presque l'air de me regarder, j'essaie de comprendre ce que tout ça veut dire, mais je suis un peu perdu.

les chaussures

J'ai toujours trouvé que, bizarrement, les chaussures mentaient beaucoup moins sur leur propriétaire que tout autre pièce de vêtement. Je ne sais absolument pas à quoi c'est dû, mais j'ai souvent remarqué que je pouvais avoir une idée assez juste de l'adéquation entre une personne et moi juste en regardant ce qu'il porte aux pieds. Évidemment, les mocassins à glands ou les pompes pointues dix centimètres après la fin du pied sont rédhibitoires, mais ça peut être plus subtil, et telle paire de godasses peut aussi m'indiquer que leur propriétaire sera juste de l'autre côté de la ligne qui séparera la relation sympathique du bon pote.

Oh, je n'en fait pas une règle universelle non plus : il s'agit juste d'une grille de décodage, je ne refuse pas de revoir la façon dont je perçois quelqu'un à cause de ça. Mais si je l'inclus dans un faisceau d'indices, ça me permet d'avoir une bonne idée sur les gens dès le premier contact.

Par exemple quand je rencontre une fille ; Je n'irai pas jusqu'à dire que je regarde ses pieds avant tout le reste, mais si le reste m'intéresse, je vérifie ça très vite. Il y a les chaussures qui disent Attention, elle a l'air sympa, mais c'est une façade, celles qui disent Celle là, elle peut faire une bonne copine, mais pas plus et celles qui supputent un Celle là, elle est baroudeuse et/ou un peu folle, elle peut te plaire.

C'est comme les cochons

Quand j'étais jeune (ça m'est arrivé, étonnant non ?) j'avais des tas de copains (ça m'est arrivé, étonnant, non ?) et ces tas de copains étaient des gens très bien ; Le keffieh, les cheveux longs et les baskets, c'était des gens qui avaient des choses à dire, des gens qui ne s'en laissaient pas conter, des qui avaient une saine défiance vis-à-vis du système, des à qui on ne la fait pas, des qui ne rentreront jamais dans le rang, bref, des rebelles.

Et au fur et à mesure que je prenais du retard dans ma scolarité, je les voyais terminer la leur, rester avec celui ou celle, pas vraiment choisi, avec qui ils étaient à ce moment là, se trouver un boulot, prévoir l'achat de leur appartement, se couper les cheveux, s'habiller de façon à ne pas faire peur à un employeur, s'installer. Et moi j'étais derrière et je ne comprenais pas. Aujourd'hui encore, je dois avoir un problème quelque part, un mécanisme mal réglé, parce que je ne comprends toujours pas comment on peut changer d'avis sur des éléments que j'estime constitutifs d'une personnalité.

Je ne comprends pas, mais je suis bien forcé de l'intégrer, vu le nombre de personnes que j'ai fréquentées qui allaient refaire le monde quand ils avaient moins de vingt-cinq ans et se contentaient de refaire le papier-peint du salon arrivés à trente.

humeur du jour

Éteint. Manque.

neuf bougies

Ah merde, allez savoir pourquoi, j'avais en tête que l'anniversaire était aujourd'hui. Non, en réalité, c'est tombé vendredi dernier (il sera dit que je serai toujours en retard pour cet anniversaire là.) Mesdames et messieurs, veuillez entonner avec moi le célèbre refrain :

Joyeux anniversaire !
Joyeux anniversaiiiire !
Joyeux aaaaanniversaiiiire, Métaphorilfaitfroiddehoooooors !
Joyeux aaaaa... nniiiii... veeeeeer ... saiiiiire !

Voilà, vendredi dernier, ça a donc fait neuf ans tout pile que j'ai commencé à raconter ma vie sans intérêt et mes réflexions dont tout le monde se fout en ces lieux (enfin presque, le nom de domaine date de décembre 1999.) Les dix colonnes de ma page d'archives sont là pour en témoigner. J'entame donc ma dixième année d'écrits publics inutiles, ça a un petit côté fascinant, tout ce temps qui est passé. Merde, neuf ans !

Histoire de garder le côté célébration, je ne vais pas vous faire un bilan, mon moral de ces derniers mois ne s'y prêtant pas, alors on va simplement sortir le Champomy et allez, c'est la fête !

encore un cauchemar

Ce week-end, j'ai encore rêvé que je voyais son nouveau mec. Pire, il voulait que nous ayons de bons contacts. J'ai passé tout un rêve à essayer de refermer les portes derrière moi. Chose étrange : dans ce rêve, il était évident que c'était elle, mais ce n'est qu'à mon réveil que je me suis rendu compte que je l'avais physiquement remplacée par une autre ex très importante, mais d'il y a trèèèès longtemps.

Dois-je analyser ça comme une indication que dans ma tête, tout ça commence à être du passé ?

J'aimerais pouvoir en tous cas. Mais je continue de penser à elle, d'avoir envie de parler avec elle, envie de la voir, envie d'entendre sa voix. Envie de la prendre un peu beaucoup dans mes bras.

nouveaux jouets

Hier, en sortant du supermarché pour des courses bêtement alimentaires, il m'a pris l'idée d'aller faire un tour dans le magasin de musique pas très loin de chez ma mère, histoire de voir ce qu'ils avaient en stock. Je me souvenais que la dernière fois que j'y étais passé, ils avaient un banjo qui coûtait à peine le prix d'un eeepc, mais c'était juste avant la sortie du eeepc, j'avais préféré garder mes sous.

Et puis un banjo, de toutes façons, ça m'a toujours posé un problème : Bien sûr, j'en ai envie depuis longtemps, mais quel type choisir ? Un six cordes, avec un manche que je connais déjà puisqu'il s'agit du même que sur une guitare, ou un cinq cordes, beaucoup plus bizarre (ne serait-ce qu'à cause de cette corde qui ne fait que la moitié du manche) mais qui a le mérite d'être the real thing ?

J'arrive dans le magasin, je flâne un peu et tiens, juste à côté d'une mandoline voilà un fort joli banjo qui a l'air d'attendre quelqu'un. Je le regarde suffisamment longtemps pour que le vendeur remarque mon intérêt et me donne le prix. Bas. Pour la mandoline ou le banjo ? m'enquiers-je. Les deux, me répond-t'il. C'est le même prix pour les deux ?, demandé-je encore. Non, c'est le prix pour les deux. me met-il les points sur les i.

rajeunir

Tu me manques déjà.

Il y a des années que je n'avais pas entendu ça. Ce n'est pas du tout désagréable.

que de souvenirs ...

Je viens de recevoir un DVD amateur du concert de Gilmour à l'Olympia, c'est la classe. Surtout que la bande son principale, c'est l'enregistrement que j'en avais fait.

Du coup, je regarde ça en essayant d'entendre la respiration de Julie, qui était assise à côté de moi.

Cette histoire de place

J'ai la tête qui surchauffe depuis quelques mois : j'essaie d'appréhender mon état du moment, du coup je réfléchis tout seul dans mon coin, je réfléchis en parlant avec des amis, je réfléchis en écrivant ici, chaque verbalisation me permet de cerner un peu mieux ce qui m'arrive et donc comment je dois réagir pour ne pas aller plus mal.

Mais on n'a pas fait mieux que la psychothérapie pour se voir renvoyer les bonnes questions et faire des progrès brutaux : je pense que grâce à une question qui a été judicieusement choisie, j'ai fini par comprendre la raison principale de ma difficulté à gérer cette rupture.

merci Figaro

en baise

Tu m'étonnes.

mauvais score

Fred, honte sur ta tête.

débriefing

  • Cette histoire de place.
  • L'essentiel n'est pas elle.
  • L'essentiel n'est pas le feu d'artifice.

Inbox Zéro dans mon GMail

Dans une journée normale, je reçois des dizaines et des dizaines de mails : des gens, des listes, des lettres d'information, des alertes, des notices, des logs, des publicités, bref, une horreur (et quand je dis des publicités, je ne parle que des légitimes, j'exclus tout ce qui est spam.)

Imaginez que je gère plusieurs domaines, plusieurs adresses et que je passe régulièrement plusieurs jours d'affilée en n'ayant qu'un accès limité à mon courrier et vous aurez une image net de ce à quoi peut ressembler ma tête à l'ouverture du logiciel de mail le lundi matin : un monstre rempli jusqu'à ras-bord où les messages s'accumulent au fur et à mesure que j'essaie de les nettoyer.

Enfin, ça, c'était avant.

J'aime bien quand même...

Pourquoi ces prochains jours
Où je devrai penser
À ne plus m'habiller
Que d'une moitié d'amour ?

Jacques Brel

passage d'aliens

J'ai secoué beaucoup d'arbres ces derniers mois pour voir ce qu'il en allait tomber, je vois des beaux fruits un peu partout et je n'ai pas encore la moindre idée de ceux que je vais choisir. Parce qu'à un moment, tout de même, il va falloir.

J'ai passé un bon week-end.

Je l'ai commencé en voyant des amis à Bruxelles, puis en en passant le reste avec une demoiselle à Paris, où j'ai eu ensuite un entretien professionnel lundi matin avant de refaire 350 bornes pour retourner au boulot.