drôle de rêve

réveillé à cinq heures trente ce matin, au sortir d'un rêve que je n'appréhende pas bien.

J'avais rencontré une fille, mais au moment d'aller la retrouver, je préférais aller voir la copine d'un pote, qui me plaisait plus. Dans mon rêve, cette fille était un composite de plusieurs que je connais dans la vraie vie, mais l'aspect copine d'un bon pote et la trahison qui va avec étaient bien présents.

Au moment où les choses commencent à devenir intéressantes, je regarde par la fenêtre et je vois la jeune voisine d'en face sauter depuis quelque chose comme le huitième étage. Je jette un coup d'œil à la fille avec laquelle je suis : elle fermait les yeux, elle n'a rien vu. Pour ne pas gâcher les réjouissances qui s'annoncent, je choisis de ne pas lui en parler. Je n'aurai qu'un regard rapide par la fenêtre pour voir plusieurs étages plus bas les morceaux du corps qui ont roulé dans tous les sens, mais rien ne me détournera de ce que j'avais entrepris.

Et en repensant depuis mon réveil à cette tête, posée à l'écart du reste, des étages plus bas et qui avait presque l'air de me regarder, j'essaie de comprendre ce que tout ça veut dire, mais je suis un peu perdu.

Commentaires

1. Le lundi 14 juillet 2008, 18:11 par Gru

Wow, ça c'est du rêve top-qualité.

2. Le lundi 14 juillet 2008, 23:14 par lili violette

ben, ça devrait pas être trop compliqué de trouver une signification à tout ça, mais le problème, c'est que t'es le seul à avoir les clés de ton inconscient, une explication, ça ferait que t'embrouiller...

3. Le mardi 15 juillet 2008, 02:45 par gilda

Pas très expérimentée pour interpréter les rêves, je dors trop peu et donc en enclume et quand parfois je dors moins pas et que je me souviens des derniers songes avant l'éveil, fors quelques cauchemars bien sentis je boucle depuis deux ans sur d'infinies variations autour du thème : je revois enfin l'amie qui m'a quittée et enfin elle va me dire un peu du pourquoi et patratas un truc stupide survient qui fait que je reste dans l'ignorance. Le pire étant godartien : elle me parle mais une moto vrombissante, un marteau-piqueur opportuniste, une noce ostensible et ses avertisseurs couvrent ses paroles et qui étaient tellement difficiles pour elle à exprimer que je ne peux pas lui faire répéter et on en reste là.
(je sais ça manque de spectaculaire). Je t'épargne les autres.

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