Métaphore

Il fait froid dehors

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English Breakfast

Au petit déjeuner, ce dimanche, je n'ai pas mangé de croissants. Il faut dire que j'ai dévalisé un supermarché anglais ; là, j'ai des stocks pour six mois, et je vais être obligé de bâfrer pendant quelques jours pour essayer de ne pas perdre trop de denrées périssables.

Et mon abnégation va même plus loin : j'ai quand même fait de la purée de navet (bon, de rutabaga, mais ça reste un navet) pour accompagner mon haggis, et un café volontairement pas assez fort pour rester dans l'ambiance.

Ceci-dit, j'ai trouvé du sirop d'érable épais, pas ces trucs liquides qu'ont vend habituellement en Europe. Rien que pour ça, ça valait le coup.

Sans rapport aucun que celui de parler de bouffe, quelqu'un saurait où on peut trouver du Kalles Kaviar, maintenant que ces crétins d'Ikea ont décidé de remplacer les bons produits qu'ils vendaient par des imitations de merde, mais de leur propre marque, comme les premiers vulgaires Auchan ou Delhaize venus ?

(Accessoirement, au niveau petits déjeuners, j'attends l'Allemagne avec impatience, je suis curieux.)

Du mauvais côté des ayatollahs

Il y a quelques jours, c'était la chandeleur, et ici ou là, ça a parlé crêpes, et trucs à mettre dessus un peu. Et voilà qu'une fois de plus on m'emmerde avec le beurre salé. Mon opinion personnelle sur le sujet ? Elle est double : ça ne sert plus à rien depuis longtemps, puisqu'on a inventé le frigo, et comme n'importe-quoi trop chargé en sel, ça dénature le goût (je fais partie de ces gens qui ont arrêté de saler les aliments. Les six premiers mois ont été difficiles, mais je me suis rendu compte ensuite que des plats différents avaient des goûts différents. Dingue, non ?)

Mystères de l'art culinaire

Non mais bon, imagine que ce soir tu n’aies pas envie de réchauffer comme d’habitude une boite de cassoulet de la mer. Allez, c’est parti, tu vas cuisiner. Tu sors un récipient, tu commences à jeter des choses dedans, ça commence à cuire, à sentir bon. D’ailleurs tu as faim, ce qui est bien normal, puisque c’est l’heure, c’est pour ça que tu cuisines, non ?

Sous le soleil Normand, il pleut.

Un week-end chez LeChieur, ça va du plus classique (Je ne comprends pas, avant que tu arrives, il faisait beau…) au plus inattendu (je l’ai vu faire une sieste presque sans ronfler.) Mais je ne regrette pas d’avoir affronté les éléments (cinq heures et des de route de retour de nuit en manque de sommeil avec une pluie tellement torrentielle que j’avais l’impression d’être un saumon remontant à la source) et les héritiers (j’ai encore été transformé en mur d’escalade, c’est de plus en plus fatiguant à mesure qu’ils grandissent[1][2]) parce que ce week-end m’a permis, en une courte retraite de trois jours, de me retrouver, d’explorer ma psyché et de découvrir en moi des choses étranges :

J’ai adoré les tripes à la mode de Caen[3][4][5]

Notes

[1] Mais en l’occurrence, ce qui ne vous tue pas me met de bonne humeur.

[2] Et moi, j’ai eu un joli dessin, na.

[3] À la mode d’où ?

[4] En même temps, mes derniers souvenirs de tripes remontent à un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître (les nazes.)

[5] Il est par contre probable que les tripes à la mode de Caen soit meilleures à Caen (avant-hier, puisque vous posez la question) qu’à Lille (du temps que l’humble garni qui nous servait de nid ne payait pas de mine.)

Limites de la culture bio

Il y a des bestioles dans ces patates...

L'internationale du McDo

Moi, les cultures différentes, j'aime bien. La bouffe aussi, d'ailleurs. Débarquer dans un pays loin et me frotter à la cuisine locale, j'adore ça. Mais partant du principe qu'on peut comprendre des choses en observant les petites différences qu'on peut trouver dans un référentiel relativement fixe d'un pays à l'autre, j'aime bien aller au McDo.

Dans la vraie vie, j'y vais peu (le Qick, c'est tellement meilleur...) mais j'ai goûté le McPoutine à Québec[1], le McArabia à Aqaba, le McTurco à Istanbul[2], le McTeriyaki et le McCrevette à Tokyo[3] et le KiwiBurger à Wellington[4].

Bon ben visiblement, il va vraiment falloir que je retrouve quelqu'un avec qui partir en voyage, parce que j'ai encore tellement de choses à découvrir[5] !

Notes

[1] C'était ma première poutine. Elle ne ressemblait tellement à rien que je suis allé en manger une dans un vrai resto quelques jours plus tard. Elle ne ressemblait à rien non plus.

[2] On notera que le McArabia et le McTurco sont pratiquement identiques.

[3] Officiellement : le Teriyaki McBurger, au porc, que j'avais pris pour du poulet à l'époque, c'est dire si la viande est goûtue, et le Ebi Filet-O. De toutes façons, les McDo sont bizarres dans ce pays.

[4] À l'œuf et à la betterave rouge. J'ai eu de la chance de pouvoir le goûter, il n'offrait pas assez de bénef et n'a été produit que pas longtemps pendant les années 90, avec un sursaut en 2007/2008. J'ai gardé la jolie boite.

[5] Je suis particulièrement curieux de voir la version indienne, sans la moindre trace au menu de bœuf ni de bacon.

La pizza, elle arrivero pas...

En ce moment, je suis dans un période où ma vie change sur plein de plans, alors autant aller jusqu'au bout et faire des choses dingues que je n'ai jamais faites jusque là. C'est comme ça qu'hier soir, les placards étant vides et n'ayant pas le courage d'aller faire des courses, j'ai décidé, pour la première fois de mon existence, de commander une pizza.

Ça tombe bien, il y a quelques jours, j'ai trouvé dans ma boite un prospectus pour arrivero.be, une boite sympa, qui livre des pizzas à Bruxelles. C'est exactement ce dont j'avais besoin, cool. Ça s'est passé comme ça :

Du XL au M

Pendant ce temps, notre héros s'étonne qu'en octobre, en Belgique, alors que le jour n'est pas encore levé et qu'il est en t-shirt, il ait aussi chaud. C'était l'automne, un automne où il faisait beau. Une saison qui n'existe que dans le Nord de l'Amérique. Et aussi à Bruxelles, des fois. (Lâ, lâlâââ...)

En classant des documents pour passer d'une machine à l'autre, je suis retombé entre autres sur des photos des vacances en Nouvelle-Zélande, il y a moins d'un an. J'étais gras. La première pensée qui m'est venue à l'esprit en les voyant est qu'eussé-je été une fille qui sortait avec ce gars-là, je l'aurais quitté, il ne faisait pas envie.

Ce matin, je me battais avec ma garde-robe pour trouver un t-shirt : On dirait qu'il n'y a là dedans que du XL. C'est confortable, mais j'ai l'air de porter un sac. Je ne portais que ces sacs là jusqu'à il y a trois mois, c'est fou quand même la différence que peuvent engendrer quelques exercices idiots. Parce qu'évidemment; je me sens totalement idiot en faisant de l'exercice, moi qui ai toujours été allergique au sport (mais ce n'est pas du sport, je pourrais le faire devant la télé (si je regardais la télé.)

J'ai oublié un souvenir

Quand je parlais de souvenirs et de bouffe, j'en ai oublié un (ce qui est d'autant plus idiot qu'à la base, c'est celui qui m'a donné envie d'écrire sur le sujet) : Le chocolat au lait Milka dans de la baguette beurrée. Normalement, j'aime pas le Milka; mais ça, c'est un goût qui remonte du fond des ages.

Souvenirs, souvenirs ...

Mes recherches récentes à l'intérieur de ma tête m'amènent à tempérer une de mes affirmations usuelles : En réalité, j'ai quand même quelques souvenirs qui traînent d'avant mon adolescence. Il y en a peu, mais parfois ça remonte comme des bulles.

D'abord, il y a ceux que je savais : Un cauchemar de quand j'étais tout minot. Ou un jour à l'école en fin d'année où la grosse brute de la classe avait décidé que mes jouets - nous avions eu exceptionnellement le droit d'en amener - lui appartenaient. Et des lieux ; J'ai par exemple une vague image de chacune de mes salles de classe de primaire. Juste le lieu, aucun souvenir en mouvement (Quoi que. Au moment où j'écris ça, je revois la tête d'un camarade de classe qui venait de subir une humiliation.) Je me souviens aussi de chez ma grand-mère, mais encore une fois, je me souviens du lieu, je ne me vois pas m'y déplacer. Le seul souvenir d'un évènement que j'ai là bas, c'est l'annonce de la mort de Claude François.

Tiens, à propos de mort, j'ai un souvenir très net de l'endroit où nous étions en vacances quand j'ai demandé à mon père de quoi Joe Dassin était mort et qu'il m'a répondu Il ne faisait pas assez de sport. Ça m'a hanté longtemps.

Chaîne alimentaire

Ce n'est pas la première fois que Tristan m'envoie une CÀLC, et comme d'habitude je m'exécute. Celle là parle de bouffe, ça tombe bien, j'aime manger. Par contre (rappel) côté cuisine, je rate mon eau chaude.

Happy

Happy ! Metz, 4 mai 2007

Résumé impossible

La nuit a été bien meilleure que la précédente. À peine mon café avalé, je tente de joindre le marchand de pneus le plus proche et miracle, ça répond. Je démarre presqu'aussitôt pour confier ma voiture à leurs bons soins, et sur place, j'apprécie leur amabilité et surtout leur diligence. C'est qu'ensuite, j'ai quelques bornes à faire pour être à mon rendez-vous de ce midi.

Choucroute verte

Levé tôt donc ce matin (j'aurais du me coucher tôt aussi, tiens) pour accompagner les travailleurs. Hellgy me donne un casse-croûte pour la route et je suis parti.

Viande blanche

  • Vendredi midi : Poulet roti
  • Vendredi soir : Restes de poulet roti
  • Samedi midi : Shawarmah au poulet
  • Dimanche midi : Poulet basquaise
  • Dimanche soir : Curry au poulet
  • Lundi midi : Brochette de poulet
  • Lundi soir : Poulet roti
  • Mardi midi : Restes de poulet roti

La viande blanche, c'est bon pour la santé. Mais je crois que ce soir je me fais un steak.

je me questionne existentiellement

pourquoi n'ont-ils jamais songé à faire du nutella en tube ?

Wellington

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Je suis tout étonné de me réveiller à l'endroit où je me suis endormi ; Les éléments se son déchaînés cette nuit et je me suis même levé, profitant d'un court passage sans pluie, pour aller vérifier les fixations de la tente. Wellington est réputée pour être venteuse, mais sur les pentes du Mont Victoria, c'est encore pire qu'ailleurs. Malgré tout ça et un sol inégal contre lequel le matelas ne peut pas grand-chose, j'ai dormi de tout mon saoûl et suis même surpris de me retrouver seul dans la tente au réveil, Julie étant partie bouquiner depuis longtemps.

"Psychopathe toi même, sale psy !"

Quand Julie jette trois trucs en vrac dans un bol, c'est bon. Moi, par contre, je rate mes pâtes à l'eau, c'est dire si je me tiens à l'écart des blogs culinaires. Je viens pourtant de passer une bonne partie de la soirée à éclater de rire tout seul en lisant les recettes de Lili-Violette, dite le Kibou.

(et wuais, des fois, je suis les liens de mes commentateurs, oui madame !)

Que de lumières !

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

bonjour la facture EDF.

Il y a tout de même un problème avec les repas japonais : bien sûr, c'est super pratique, puisqu'on vous met sur la table l'intégralité de votre repas en une seule fois, entrée et dessert compris, vous n'êtes pas surpris après vous être goinfré de l'entrée de voir arrivé un plat que vous aimez encore plus mais pour lequel vous n'avez plus de place (ça, c'est le problème vu de manière optimiste.)

Sauf qu'entrée et dessert compris, c'est faux, puisqu'il n'y a pas de dessert. Pour un palais européen, ça laisse toujours au repas une impression de pas fini. Se débarrasser de cette impression est facile : il suffit d'aller manger une sucrerie quelconque. Nous nous mettons donc en quête du McDo le plus proche, au moins, là bas on connaît leur glaces. Coup de chance, nous croisons deux demoiselles avec un McFlurry entre les mains : excusez moi, vous pouvez nous dire où il y a un McDo ? Mais elle n'ont pas l'air d'avoir remarqué que c'est là qu'elles ont acheté ce qu'elles sont en train de manger, et serviables comme des nippones, elles viennent avec nous pour nous guider vers une rue où il y a ce que nous cherchons. Sauf que nous savons très bien qu'il y en a un au bout de cette rue, mais c'est loin, et si vraiment elles venaient de celui là, leur glace aurait fondu.

Considérations chocolatières

Un mien camarade, qu'on s'accorde à trouver éloquent, me faisait part en ces termes d'une sienne opinion, partagée par force gardiens du bon goût culinaire : le chocolat au lait, beuaaark

Je l'avoue : je n'aime pas le chocolat noir. Mais bon, je respecte les choix de chacun : vous avez le droit d'aimer le chocolat noir. Si c'est votre cas, grand bien vous fasse, mais ne m'emmerdez pas avec ça : j'emmerde profondément tous ceux qui m'emmerdent à me dire que le chocolat noir est le seul chocolat qui vaille la peine d'être vécu ! Vous voulez mon opinion à moi sur le sujet ?

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