Métaphore

Il fait froid dehors

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Réveil sur la plage

Mise à jour descriptive

Bon, j'avais raté une fonction et du coup je n'avais pas laissé de description sur les images du tour de France. C'est corrigé, vous pouvez tout relire (oui, c'est pour faire du hit.)

4800 kilomètres pour tenter de me retrouver

Adieu mon frère, je pars. Un homme tu sais, ça s'évade
C'est fait pour s'envoler, pour prendre l'aile d'une vague.
C'est pas fait pour durer mais pour se donner sans retour
Jusqu'à se déchirer le flanc sur les brisants d'amour...

le Cirque des Mirages

Me voilà donc de retour, après dix jours sur les routes qui m'ont paru un mois tant j'y ai emmagasiné d'expériences. Je ne sais si ça m'aidera sur le long terme, mais au fur et à mesure que je vivais l'expérience, elle me faisait un bien fou. S'il y a bien un truc dont je suis sûr, c'est que je veux que la route ne s'arrête jamais. Surtout lorsqu'il s'agit, comme le disait René Fallet, d'un paysage grandeur nature qui n'a jamais servi à la promenade matinale des chiens.

Où ? Caen.

Je me réveille plus tôt que je ne l'aurai voulu, mais il me faut pratiquement une heure pour réussir à m'extirper du lit. La fatigue accumulée ces derniers jours commence à avoir raison de moi. D'ailleurs, je n'ai rien prévu d'autre aujourd'hui que les cinq cents derniers kilomètres pour rentrer chez moi. Je passe donc une journée tranquille à profiter d'être enfin posé un peu pour me détendre, et à aller distraire LeChieur lors des quelques pauses qu'il s'accorde par rapport au boulot (certaines de ces pauses vont jusqu'à durer quatre minutes, quand même.) Le midi, nous partons sur Caen, toujours histoire pour lui d'abattre un peu de boulot et pour nous deux d'aller manger des cochonneries dont nous sommes friands. Je m'étonne encore une fois de la familiarité qu'à pour moi cette ville, voilà ce que c'est que d'y passer trois ou quatre fois par an.

tour de Bretagne en douze heures

Réveil sur la plage

J'ai poussé hier soir mon périple jusqu'au bout de la presqu'île de Rhys, jusqu'à me retrouver sur une plage, avec l'Alantique en face et le Golfe du Morbihan derrière moi. J'ai évité des campings qui se trouvaient trop loin de l'eau ; J'avais envie de sentir l'iode et le sel dès mon réveil, alors je suis allé au plus direct : j'ai sorti mon sac de couchage et j'ai dormi sur la plage. Et la nuit a été bonne : les étoiles étaient dégagées, le ressac me berçait, et le sable est le matelas idéal. Je retiendrai simplement pour la prochaine fois qu'il serait souhaitable d'acheter un sac un peu plus costaud que celui-ci, prévu pour dormir sous une tente avec une température extérieure supérieure à quinze degrés. Quoique deux t-shirts fassent finalement aussi bien l'affaire.

le bout du monde, c'est nul

Beaucoup de vert

En sortant du camping tôt ce matin, je me souviens que la patronne des lieux m'a parlé, quand je suis arrivé hier soir, de grottes qui surplombaient le village, et je me dis qu'après tout, je peux bien prendre une demie-heure pour y aller faire un tour, puisque c'est juste au dessus et que je me suis levé de bien plus bonne heure que prévu. Stupide moi !

Happy

Happy ! Metz, 4 mai 2007

ma biche

20080510-1.jpg

Étonnant : j'ai fait une nuit de presque plus de huit heures. Je me sentais plein de courbatures hier soir et j'ai dormi comme un loir, même si je me suis réveillé au milieu de la nuit avec encore sur les rétines le visage, le cou et les épaules d'une certaine demoiselle que décidément je vais avoir du mal à oublier, ce n'est que quelques larmes plus tard que je me rendormirai. Je crois pourtant que je suis en train d'évacuer énormément de tension.

Résumé impossible

La nuit a été bien meilleure que la précédente. À peine mon café avalé, je tente de joindre le marchand de pneus le plus proche et miracle, ça répond. Je démarre presqu'aussitôt pour confier ma voiture à leurs bons soins, et sur place, j'apprécie leur amabilité et surtout leur diligence. C'est qu'ensuite, j'ai quelques bornes à faire pour être à mon rendez-vous de ce midi.

Vous avez une idée, vous ?

le Massif Central ou les Landes ?

Sept heures sur trois pattes

Ma roue abîmée

La nuit n'a pas été ma meilleure : un peu inquiet, seul, dans cet endroit non éclairé, à l'écart de tout et où s'il m'arrivait quelque-chose personne ne passerait peut-être avant trois mois, j'ai eu du mal à m'endormir, mais les cachets que j'avais laissé de côté depuis mon départ m'aident à me détendre. Ils ne m'aident pas par contre à trouver une position confortable : ma grande carcasse n'est pas très à l'aise pour s'allonger à l'intérieur de l'habitacle et je me réveille une fois où deux dans la nuit. Par contre, au final, j'aurai fait une nuit de huit heures, c'est la première fois depuis longtemps.

Bonne journée qui finit mal

la vallée

Grande hésitation ce matin avant de prendre la route : est-ce que je monte vers le Massif Central ou est-ce que je descend vers l'Ardèche ? Je décide d'aller jusqu'au Puy-en-Vellay et de décider là bas.

À propos de décision, arrivé en ville, je prends la résolution d'éviter les agglomérations : non seulement s'il y a quelque chose de joli à voir, je ne sais pas où ça se situe, mais la circulation est insupportable. Je m'arrête juste dans un supermarché pour le ravitaillement et je reprend la route : finalement, c'est l'Ardèche, et c'est au fin fond des gorges de l'Ardèche que je m'offre mon petit pique-nique.

liste de courses

penser à ne jamais acheter :

  • un système de guidage par GPS
  • une boite automatique
  • un pays plat avec des routes droites

(je termine un pique-nique au fond des gorges de l'Ardèche. je suis déjà allé plus mal.)

L'essence, c'est cher.

Restes chez Pep

Le problème (enfin, un des) chez la maison Pep, c'est qu'on n'y vit pas dans le même fuseau horaire que chez les gens normaux. Du coup, malgré ma nuit beaucoup trop courte de la veille, les discussions nous ont emmené jusqu'à pratiquement quatre heures du matin. Comme (je l'ai dit récemment) je suis programmé pour des nuits de sept heures, nous avons pris le petit déjeuner à midi, ce qui entame déjà bien la journée. Après avoir profité de ma présence sur place pour le fouetter afin qu'il rattrape une petite partie de son travail en retard, et après avoir mangé les restes de saucisse de Morteau, je finis par m'apercevoir que la journée est très largement entamée et qu'il est temps de reprendre la route (sous des gouttes grosses comme des œufs, même la pluie est bizarre dans ce pays.)

sur les routes de France (sans wifi)

Je n'ai plus d'escales prévues avec wifi inclus. Du coup,vous risquez d'avoir à attendre mon retour avant d'avoir les comptes-rendus suivant. Allez prendre l'air. :)

De l'Alsace à chez le Pénible.

Colmar

Ceux qui ont suivi s'en souviennent peut-être : Lors d'une randonnée en Nouvelle-Zélande, nous avions rencontré Jean-Philippe, qui vient d'un patelin à côté de chez nous. Lui qui voyageait depuis quelques mois en solitaire nous disait en substance lors d'une conversation que partir avec quelqu'un, c'était vachement bien parce que ça permettait un partage, mais que ça voulait aussi dire qu'on emmenait avec soi son environnement, sa culture et sa langue. Alors que partir seul, c'était s'offrir la possibilité de rencontrer des étrangers et de s'entraîner à des langues qui ne sont pas la notre.

Choucroute verte

Levé tôt donc ce matin (j'aurais du me coucher tôt aussi, tiens) pour accompagner les travailleurs. Hellgy me donne un casse-croûte pour la route et je suis parti.

Hellgy et Biou se partagent la tâche.

Voie touristique Ce matin, Hellgy me fait visiter Metz, qui se révèle beaucoup plus joli quand il fait beau et qu'on vous guide là où il y a des choses à voir (j'étais passé il y a des années et je n'avais réussi à voir que des rues commerçantes assez peu rieuses puisque nous étions dimanche) comme de magnifiques gargouilles ou un recyclage d'une statue de Lenine.

Tour du monde, mais en France

Rétro brisé Je ne savais donc pas quoi faire de ces vacances ; À la suite de quelques commentaires, dont un qui me conseillait entre autres de prendre ma bagnole, ma guitare et d'aller jouer des blues vénéneux fouetté par les embruns, j'ai décidé de faire exactement ça.