Ceux qui ont suivi s'en souviennent peut-être : Lors d'une randonnée en Nouvelle-Zélande, nous avions rencontré Jean-Philippe, qui vient d'un patelin à côté de chez nous. Lui qui voyageait depuis quelques mois en solitaire nous disait en substance lors d'une conversation que partir avec quelqu'un, c'était vachement bien parce que ça permettait un partage, mais que ça voulait aussi dire qu'on emmenait avec soi son environnement, sa culture et sa langue. Alors que partir seul, c'était s'offrir la possibilité de rencontrer des étrangers et de s'entraîner à des langues qui ne sont pas la notre.
lundi 5 mai 2008
De l'Alsace à chez le Pénible.
Par Découvrir