Métaphore

Il fait froid dehors

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Mécréons

La Danette vanille-chocolat, c'est quand même la preuve que Dieu existe. La Danette vanille-chocolat avec de la chantilly au dessus, c'est quand même la preuve que je suis plus balèze que lui.

Question idiote

Pourquoi irais-je acheter un œuf Kinder de 150g .... Alors qu'il en existe de 220g ?

Le spam, c'est bien.

Hier, ce spam, qu'est-ce que c'était bien !

Ankara

photo: Départ d'Avanos Aujourd'hui, je suis fatigué. Remarquez bien que je ne suis pas le seul : la principale raison de ma fatigue est que je n'ai pas réussi à bien dormir à cause de Julie qui s'est mouchée toute la nuit, imaginez donc sa fatigue à elle...

Au petit-déjeuner ce matin, plus de frites, mais du saucisson chaud, et une fois de plus, je me régale. Après une discussion avec Yassin et notre dernière rencontre avec la chatte d'Osman, le gérant, qui suit son maître comme le ferait un chien, il est temps de reprendre la route : tout à l'heure, nous rendons la voiture à Ankara.

La route nous prends moins de temps que nous ne l'avions imaginé : après trois heures de paysages splendides, nous voilà arrivés. Enfin presque : nous avons atteint l'agglomération, il faut maintenant se repérer, ce qui comme d'habitude se révèle une épreuve avec le Guide du Routard : il propose une version simplifiée du plan du centre-ville. Chouette ! Mais c'est par où le centre-ville ?

Kilim

photo: Julie au marché Non, finalement, pas de grasse-matinée aujourd'hui, nous rejoignons Nadine pour le petit déjeuner dans la cave. rappelons que le petit déjeuner turc est généralement plus salé que le notre. Aujourd'hui, tout de même, nous arrivons à des extrémités que nous n'avons jusqu'alors pas connues : avec le thé, le café, le pain, la confiture, le miel, les tomates et tout ce qui est habituel, voilà qu'on nous sert ... des frites. Julie n'aurait jamais cru manger des frites au petit déjeuner, moi, c'est pire : jamais je n'aurais cru apprécier des frites au petit-déjeuner.

Aujourd'hui, c'est vendredi, jour du marché à Avanos, et nous nous y rendons tous les trois. Julie, bien sûr, est attirée par les si colorés stands de vente d'épices. Elle tient également à acheter des verres à thé d'ici, bien différents de leurs équivalents du Maghreb qu'on voit beaucoup plus facilement chez nous.

photo: stand d'épices

Le marché ici, loin des grosses métropoles, est l'occasion de vérifier une fois de plus que nous sommes à mi-chemin entre ruralité profonde et occidentalisation rapide ; S'y développe une impression de marché de nos campagnes à nous, vers les années cinquante, mais y arrivent en force aussi toutes sortes de merdes clinquantes assez proches de ce qu'on peut trouver chez les vendeurs à la sauvette sénégalais de nos coins à vacanciers. On y trouve également des choses bien plus surprenantes, mais logiques finalement dans un coin où le marché est la source d'approvisionnement principale : des pièces de moteur, des cadres de fenêtre, des drogueries complètes sur un étal, ou des petits culottes affriolantes pour démontrer encore une fois que bien que majoritairement musulman, le pays est bien moins prude que ne le sont les pays du Moyen-Orient (on avait déjà remarqué une ouverture similaire à leur consommation d'alcool : le Turc sait boire.)

Istanbul, nous voilà !

photo: rideaux du tgvAprès une bruyante soirée de Noël en famille (la mienne, de famille, avec tous ces neveux et nièces.) Julie et moi prenons le train très tôt ce matin, direction Roissy. L'avion ne décolle qu'à midi, mais tant pis, nous attendrons un peu, et nous pourrons nous faire enregistrer avant tout le monde. Pas tout de suite, tout de même : Julie va poser la question, histoire que ça soit fait tout de suite, mais il lui est répondu que ce ne sera pas avant onze heures, tant pis, nous attendrons, en mangeant un Kinder géant même, ça pourrait être pire...

photo: kinder géant

À onze heures donc, après avoir fait plusieurs fois les rayons du marchand de journaux, nous voilà au guichet d'enregistrement : Bon, par contre, je suis désolée, mais je n'ai plus de places côte-à-côte... Pardon ? Mais l'enregistrement vient de commencer ! Non, non, il est commencé depuis deux heures, d'ailleurs, un quart d'heure plus tard et nous ne pouvions plus prendre l'avion. Charmant. Du coup, je suis très énervé dans l'avion, à plusieurs rangées de Julie et j'envisage déjà des vacances désastreuses.

Merde, un collector !

Je viens de tomber sur une tablette de Kit-Kat sans biscuit à l'intérieur du chocolat. Je fais quoi ? Un procès ? Je revend très cher à un collectionneur ?

Milky Way

Je viens de manger une barre chocolatée, trouvée dans le distributeur de cochonneries sucrées de la cafétéria. Ça s'appelle Milky-Way, je n'avais pas vu ça depuis deux bonnes décennies, je ne pensais pas que ça existait encore. Alors j'en ai pris, tiens, que ne ferait-on pas pour rajeunir ?

Et bien c'est très mauvais.

Salade

Duo de tagliatelles fraiches aux feuilles de saumon, aneth et sauces au soja. Voilà la salade que je me suis préparée ce matin vite fait. Je fais des progrès, hein ?

du bon miam.

La nourriture la meilleure est celle qui contient le plus de calories.
Loi de Murphy

Je viens de me préparer une salade de tomates, alors que j'ai des bons steaks hachés au frigo, c'est affreux : je deviens super sain, je ne me reconnais plus. Et plus d'une heure de marche par jour, et l'arrêt du tabac, et les salades le midi, et les fruits. Et cette brosse à dents qui ne quitte plus ma poche... Mais qui suis-je ? Qui deviens-je ?

Bof, moi, quoi. Je n'avais pas le choix de toutes façons.

L'œuf de Quel Con !

Quelle honte : voilà que je dois demander à Google comment on cuit un œuf dur... Je manque vraiment de bases.

problèmes de la semaine, la haine !

J'ai aussi des Pif-Gadget, toute la collection. Une publication des communistes... La seule que j'ai lue d'ailleurs.
La Cabaret du Bout du Monde

Bibik est le seul Bibik et Marcel Spirulin est son secrétaire perpétuel !
Id.

Allez, soyons un peu plus léger : je vais vous faire un petit résumé de mes dernières aventures. D'après mes notes, ça fait longtemps que je ne m'étais pas regardé le nombril d'aussi près.

Ceux qui me connaissent de près savent de moi deux choses : j'ai plein de petits et de gros malheurs. Les gros sont la plupart du temps des maladies incurables graves, celles que je m'imagine avoir en permanence. Je soigne mes grippes au pot-au-feu, jamais un médicament, mais j'ai déjà eu plein d'Helzeimers, de cancers et autres joyeusetés (remarquez, ça aide pour arrêter de fumer.) L'autre chose, c'est que j'ai plein de petits malheurs pas graves : je bloque sept heures dans un embouteillage, je me prépare du café froid, je fais 200 bornes sur une petite route de campagne derrière une camionette de police, je suis bloqué par un engin agricole en plein centre de Bruxelles... Je suis un vrai aspirateur à poisse. Mais uniquement des choses pas graves...

Quand on attire la poisse, il faut avoir un timing ultra précis, sinon ce n'est pas drôle. Et ben j'ai.

yaglhourt

Qu'est-ce que c'est bon, du yaourt bulgare... Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi ça n'existe pas en Belgique ?

Sidaction 2002

Il n'y a pas de meilleur endroit que le métro pour haïr l'humanité.
Philippe Jaenada

Si on payait mieux les bénévoles, ça donnerait peut-être envie à plus de gens de travailler gratuitement.
Philippe Geluck

Bonjour, gens ! Je suis sur les genoux, mais c'est pour la bonne cause. Pour les bonnes causes, enfin ... pour des bonnes causes, pas toutes les bonnes causes quand même, je suis humain, laissez moi me concentrer sur une ou deux bonnes causes à la fois ...

La première bonne cause du jour, c'est le Sidaction pour lequel j'ai bénévolé ce week-end. J'y devais passer quelques heures ci, quelques heures là dans un centre d'appel, finalement j'y ai passé deux jours. Il faut dire que je m'ennuie très facilement lorsque je m'occupe à une tâche répétitive, alors j'ai saisi les occasions qui m'étaient données de toucher au plus de choses possible. Facile : ils avaient des ordinateurs, et il y avait des recherches sur le Net à faire, j'étais dans mon élément. À tel point que le directeur du centre d'appel m'a demandé mon CV, il a besoin d'un informaticien. Autre chose qui m'aura marqué, c'est d'avoir côtoyé des malades du sida, ça ne m'était pas encore arrivé (du moins pas à ma connaissance), et ça fait tout de suite prendre une autre dimension aux choses.

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