Métaphore

Il fait froid dehors

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Compo

Compo

Je ne vous ai pas souhaité la bonne année, je crois. Alors bonne année.

Mais alors ?

On s'absente à peine huit mois du site de réservation de la SNCF et ils en profitent pour tout refaire ? (Comme si je n'avais pas pu rencontrer une fille à Bruxelles aussi ...)

Dunedin

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

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Un camping un peu évolué, c'est bien : il y a des douches, une cuisine, de quoi se détendre et toutes choses qui rendent le séjour agréable. Par contre, il y a aussi d'autres campeurs. Lors de notre dernière nuit à Queenstown, il y avait un ronfleur sur l'emplacement d'à côté. Ici il y a des voisins qui mettent la radio trop fort le matin et une colonie de vacances ou quelque chose d'approchant dont ls gosses hurlent jusque tard dans la nuit.

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Ce matin, nous allons jeter un coup d'œil à deux musées de Dunedin : D'abord le musée des immigrants, où l'on ne peut guère que survoler les collections tellement il est riche. Non pas les collections elles-mêmes d'ailleurs -encore qu'elles n'aient pas à rougir- mais le matériel didactique ne doit pas pouvoir être parcouru dans son intégralité en moins de trois jours.

La technique, c'est épatant.

La SNCF vient de lancer infolignes.com, un site pour connaître les prévisions de trafic en cas de grève. Ça marche très bien. Sauf quand il y a une grève, bien sûr, puisqu'il s'écroule alors sous la charge.

Beuaaaaaah

je ne suis franchement pas le genre à réclamer la cravate à l'entrée, mais si les ceusses qui tentent de battre le record d'endurance sans douche pouvaient éviter de s'assoir à côté de moi dans le train, je leur en saurais gré.

accessibilité en ligne (de chemin de fer)

La SNCF a refait son site de réservation, c'est beaucoup plus joli, et plein de surprises : j'ai réservé un train quatre heures plus loin que celui que je voulais prendre.

Coming out

Attention : grâce à la merveilleuse diligence des transports ferroviaires, je serai au prochain Paris-Carnet. Soyez prévenus : je suis également désagréable de visu.

le train, c'est épatant !

hier, 18h : sortage du boulot à Bruxelles. Deux heures plus tard : attablage à Paris avec la plus Julie des jolies. Et ce matin, retour au boulot bruxellois. Merci les tchou.

dernier jour turc et mouillé

photo: c'est le désert sous le grand bazar Aujourd'hui, c'est la fête du sacrifice, la Saint-Mouton, comme dirait mon pote Abdel. Est-ce pour ça que je n'ai pas entendu le muezzin ce matin ? Ou est-ce simplement comme l'année dernière que j'ai attendu le dernier jour pour m'y habituer ?

Parce que c'est le dernier jour : ce soir, nous serons rentrés, chacun de notre côté, il convient de profiter des dernières heures. Après l'habituel petit déjeuner, nous libérons la chambre et laissons nos sacs à la réception, nous profitons même de la note pour écouler le faux billet d'hier.

Puisqu'il nous reste quelques heures, nous avons décidé de nous promener et de faire les magasins, si c'est possible. Mais ce n'est pas si évident que ça : dès que nous mettons le pied dehors, tout a l'air étrange, et il nous faut un certain temps pour comprendre : il n'y a pas un bruit. On dirait que les rues sont vides, et que tout est fermé. Ah oui alors, quand c'est férié, c'est férié !

C'est d'autant plus flagrant lorsqu'on approche du grand bazar : rien. Personne. Sans surprise, le bazar des livres, qui était la but de cette balade, est fermé comme le reste. En redescendant tout doucement vers le port, les rues dans lesquelles nous avons du faire du slalom il y a une dizaine de jours sont maintenant complètement désertes, tout en gardant les traces de leur activité de tous les jours, marrant.

Retour à Istanbul

photo: Istanbul au petit matin La nuit a été abominable : coincés dans les sièges, nous n'avons réussi à trouver que quelques minutes de sommeil ici ou là, réveillé régulièrement à chaque arrêt du train pour regarder monter des minets pires que ceux d'Ankara à chaque fois (mais en voyant le bon côté des choses, il faut avouer que ces décolletés et ces nombrils à l'air semblent montrer que la Turquie est finalement assez ouverte d'esprit.)

C'est dans un état déplorable qu'au matin nous arrivons à Istanbul, mais sur la rive indienne. Heureusement, la suite est assez simple : directement au sortir de la gare de Haydarpaşa (un bâtiment début XXième, tellement au bord de l'eau que si les trains freinent mal, il doivent se transformer en sous-marins) on embarque pour Sultanhamet, la rive européenne, dans la version maritime et un peu plus chic du bus de banlieue. Il bruine, le temps est gris, les gens sont à peine réveillés et maussades, mais le lever de soleil sur le détroit du Bosphore vaut bien ça.

Ankara

photo: Départ d'Avanos Aujourd'hui, je suis fatigué. Remarquez bien que je ne suis pas le seul : la principale raison de ma fatigue est que je n'ai pas réussi à bien dormir à cause de Julie qui s'est mouchée toute la nuit, imaginez donc sa fatigue à elle...

Au petit-déjeuner ce matin, plus de frites, mais du saucisson chaud, et une fois de plus, je me régale. Après une discussion avec Yassin et notre dernière rencontre avec la chatte d'Osman, le gérant, qui suit son maître comme le ferait un chien, il est temps de reprendre la route : tout à l'heure, nous rendons la voiture à Ankara.

La route nous prends moins de temps que nous ne l'avions imaginé : après trois heures de paysages splendides, nous voilà arrivés. Enfin presque : nous avons atteint l'agglomération, il faut maintenant se repérer, ce qui comme d'habitude se révèle une épreuve avec le Guide du Routard : il propose une version simplifiée du plan du centre-ville. Chouette ! Mais c'est par où le centre-ville ?

Qu'est-ce que je tribulle !

Une petite tranche de vie ? Allez, c'est parti !