Métaphore

Il fait froid dehors

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Milford Sound

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

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Réveil assez tôt une fois de plus : Nous pensions hier avoir à faire ce matin la route vers Te Anau -Deux heures quarante cinq d'après notre tableau des temps de parcours- mais je me suis souvenu hier soir tard qu'en réalité c'était juste un peu plus haut et que la table sus-mentionnée indiquait plutôt cinq heures de route, et nous devons y être en tout début d'après-midi.

Changeons d'île

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Très bonne nuit une fois de plus, d'autant que la pluie et le vent se sont calmés. Après le petit déjeuner, nous faisons un peu de rangement, histoire de préparer nos sacs pour la traversée : nous partons aujourd'hui pour l'île du sud.

Avant de quitter Wellington, nous allons faire un petit tour sur le Mont Victoria, dans le parc duquel ont été tournées la moitié des scènes de forêt du Seigneur des Anneaux (je vous ai déjà dit que ça avait été tourné en Nouvelle-Zélande ?)

Week-end outre manche

Big Ben sous le soleil derrière le pare-brise. Vu le retard que j'ai pris pour vous raconter notre week-end britannique, je crois que je vais éviter le compte-rendu chronologique (et puis c'est bien aussi, vous n'en avez pas marre de mes comptes-rendus chronologiques ?) et juste vous donner quelques impressions qui me sont restées depuis.

Un peu de contexte : c'était au début du mois, Julie et mois fêtions un chiffre rond dans notre relation, et je n'avais pas vraiment envie que ce week-end là ressemble à un de nos week-ends habituels. J'ai donc réservé notre place dans un ferry et hop, direction le pays des grands britons, sans aucun itinéraire pré-décidé.

Quand je suis passé prendre Julie à la gare avant de prendre la route, le temps qu'il faisait (brouillard, brouillard, brouillard, et beaucoup d'humidité. Et aussi du brouillard) l'avait un peu refroidie, et je n'ai du qu'à ma place de ferry déjà payée qu'elle veuille bien faire le déplacement malgré tout. Grand bien nous fit, puisque nous avons eu un temps magnifique tout le week-end, et l'Angleterre, c'est parfois joli comme tout, mais les dix jours par an où il ne pleut pas, c'est encore mieux.

Retour à Istanbul

photo: Istanbul au petit matin La nuit a été abominable : coincés dans les sièges, nous n'avons réussi à trouver que quelques minutes de sommeil ici ou là, réveillé régulièrement à chaque arrêt du train pour regarder monter des minets pires que ceux d'Ankara à chaque fois (mais en voyant le bon côté des choses, il faut avouer que ces décolletés et ces nombrils à l'air semblent montrer que la Turquie est finalement assez ouverte d'esprit.)

C'est dans un état déplorable qu'au matin nous arrivons à Istanbul, mais sur la rive indienne. Heureusement, la suite est assez simple : directement au sortir de la gare de Haydarpaşa (un bâtiment début XXième, tellement au bord de l'eau que si les trains freinent mal, il doivent se transformer en sous-marins) on embarque pour Sultanhamet, la rive européenne, dans la version maritime et un peu plus chic du bus de banlieue. Il bruine, le temps est gris, les gens sont à peine réveillés et maussades, mais le lever de soleil sur le détroit du Bosphore vaut bien ça.

En bus à Bursa

Ce matin, Julie n'est pas d'excellente humeur. Conséquence directe : moi non plus. Après le petit déjeuner, nous faisons nos adieux aux voisins, payons la note et nous dirigeons vers la gare, suivi par les rabatteurs attirés par nos sacs à dos... Après à avoir payé une bouteille d'eau trop cher (quelle joie d'être touriste !) nous prenons le train pour aller à la gare maritime, où nous attendons, pour changer. J'en profite pour acheter une carte du pays. Dans la salle d'attente, Julie lit le guide, de l'autre côté, un autochtone en lit un autre ; me voilà assis entre une française qui lit un guide sur la Turquie et un turc qui lit un guide sur la France !

photo: sièges du ferryDans le ferry, nous nous asseyons sur la première place disponible. Erreur ! Les places sont numérotés , on récupère les sacs et on va chercher nos places, à l'autre bout du bateau. Une petite vieille nous rend l'accès difficile, avec tous nos bagages, tant pis, la banquette d'à côté est libre, occupons là ... Jusqu'à ce que ses occupants arrivent, on repart au fond ! Les chaises musicales plus l'humeur de Julie m'offrent le premier ras-le-bol du séjour : Je veux rentrer chez moi !!!