Métaphore

Il fait froid dehors

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Grandeur et décadence d'un morceau des Wings

Je vivais ma vie tranquillement lorsque brusquement le dimanche est arrivé. Et comme la veille je n'avais rien trouvé à la Braderie, je n'y suis pas retourné. Et comme j'étais seul dans une grande maison vide, je me suis fait un peu chier. Alors j'ai passé le temps comme je le fais souvent : avec les instruments de musique qui traînaient par là.

Je me suis assis au piano et j'ai joué un vieux morceau des Wings que j'aime bien :

(ici, normalement, il y a une vidéo. rendez-vous sur le site pour la voir.)

Et puis je suis dit que c'était bien sympathique, mais imaginons que j'aie des amis, et imaginons qu'ils fassent une soirée. Il n'y aurait peut-être pas de piano chez eux, autant s'intéresser à un instrument qu'on peut transporter :

Wellington

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Je suis tout étonné de me réveiller à l'endroit où je me suis endormi ; Les éléments se son déchaînés cette nuit et je me suis même levé, profitant d'un court passage sans pluie, pour aller vérifier les fixations de la tente. Wellington est réputée pour être venteuse, mais sur les pentes du Mont Victoria, c'est encore pire qu'ailleurs. Malgré tout ça et un sol inégal contre lequel le matelas ne peut pas grand-chose, j'ai dormi de tout mon saoûl et suis même surpris de me retrouver seul dans la tente au réveil, Julie étant partie bouquiner depuis longtemps.

Je suis en pleine forme

mercredi 24

Cinq minutes avant de quitter le boulot pour rejoindre Lille, je me dis que je n'ai pas grand chose à y faire. Je joins Julie qui me confirme qu'elle est chez elle le lendemain, et je prends la route vers Paris. Vers 22h, coup de chance : il y a une place libre juste devant chez elle. N'ayant pas prévu ça, j'ai avec moi un sacré barda à monter à pieds au troisième (non, je ne laisse rien d'une quelconque valeur dans ma voiture.) Julie m'accueille, je suis amoureux.

jeudi 25

Journée tranquille, à bosser chacun sur des projets persos, mais assez proches pour que je puisse l'embrasser quand l'envie m'en prend. J'aime bien.

En revenant de nantes...

-Tu me plais, fille.
-Tant pis !

Julie et moi (mais moi d'abord)

Tu quittes la Belgique pour aller en Bretagne ? Mais tu es vraiment amoureux de la pluie alors !
Une collègue.

Et donc, ainsi que je le disais avant-hier -oui, j'aurais du publier ce billet hier. Non, je n'ai aucune parôle-, nous voilà de retour de Nantes. Et ainsi que je le disais hier : c'était bien. Vraiment. Contrairement à l'expérience MaRDyCk : il y a huit ans, j'y suis allé avec le Toune, nous y sommes restés deux ou trois heures et en sommes repartis avec une mauvaise impression. Surtout lui, tant il est vrai qu'il a toujours été encore plus fort que moi (qui suis pourtant un professionel) en jugements à l'emporte-pièce.