Debout ! Petit déjeuner, question médicamenteuses sur un anti-nez-qui-coule (Julie est toujours malade) à la bru médecin néerlandaise du propriétaire de la pension et hop : on se cale le sac sur le dos et on se dirige vers l'otogar, qu'on a quand même du mal à trouver - oui, les plans sont meilleurs sur le Lonely Planet que sur le routard, nous le savons ! Le temps de nous rendre compte une fois de plus que décidément non, tous les turcs ne sont pas multilingues, et nous réussissons à avoir un billet de bus jusqu'à Izmir.
Deux heures plus tard, nous voilà arrivés à l'otogar d'izmir, et c'est un autre format que celle de Bergama : c'est énorme et nous sommes trèèèès loin du centre. Il existe parait-il un service de navette vers le centre-ville offert par toutes les compagnies de bus interurbaines , mais ici, pas moyen de la trouver, ni d'ailleurs de trouver quelqu'un pour nous aider. Plus d'autre solution que d'essayer de suivre les indications du Routard pour aller dans le centre en bus local, mais ça non plus, ce n'est pas facile : nous avons déjà du mal à trouver le terminal de bus, mais pour trouver le bon, ça a l'air d'être mission impossible !