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Voyages, promenades, endroits que je découvre.

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samedi 31 décembre 2005

Éphèse

photo: départ de PergameDebout ! Petit déjeuner, question médicamenteuses sur un anti-nez-qui-coule (Julie est toujours malade) à la bru médecin néerlandaise du propriétaire de la pension et hop : on se cale le sac sur le dos et on se dirige vers l'otogar, qu'on a quand même du mal à trouver - oui, les plans sont meilleurs sur le Lonely Planet que sur le routard, nous le savons ! Le temps de nous rendre compte une fois de plus que décidément non, tous les turcs ne sont pas multilingues, et nous réussissons à avoir un billet de bus jusqu'à Izmir.

Deux heures plus tard, nous voilà arrivés à l'otogar d'izmir, et c'est un autre format que celle de Bergama : c'est énorme et nous sommes trèèèès loin du centre. Il existe parait-il un service de navette vers le centre-ville offert par toutes les compagnies de bus interurbaines , mais ici, pas moyen de la trouver, ni d'ailleurs de trouver quelqu'un pour nous aider. Plus d'autre solution que d'essayer de suivre les indications du Routard pour aller dans le centre en bus local, mais ça non plus, ce n'est pas facile : nous avons déjà du mal à trouver le terminal de bus, mais pour trouver le bon, ça a l'air d'être mission impossible !

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vendredi 30 décembre 2005

Pergame

photo: le chat du jourAprès un réveil plus tardif qu'à l'accoutumée et un petit déjeuner aux œufs comme à l'habitude, nous profitons du même taxi avec les mêmes espagnols qu'hier pour monter à l'acropole de Pergame, patelin qui ne vous dit peut-rien, mais qui fût une des très grandes villes de ce monde (et accessoirement le lieu où on a inventé le parchemin lors d'un embargo sur le papyrus,) et dont la bibliothèque, pour le coup la plus grande du monde fut vidée pour emplir celle d'Alexandrie. Si l'abondance de vieilles pierres ne peut que me faire plaisir, je suis quand même déçu que la dite bibliothèque soit le seul bâtiment des plans que je ne réussisse à situer correctement, je sais qu'il n'en reste pratiquement rien hors l'histoire, mais l'histoire, c'est bien, ils pourraient planter une pancarte, pour le moins !

Tandis que je saute de pierre en pierre, ahanant en remontant les gradins du théâtre de 15000 places, m'interrogeant sur ces hordes d'asiatiques déferlant Nikon en bandoulière et caressant le chat du lieu (car il en est toujours au moins un, peu importe l'inaccessibilité du dit lieu) Julie est pensive : La nouvelle année est une bonne période de vacances pour qui veut éviter le tourisme de masse, certes, mais elle est en manque de soleil ; les nuages gris et la bruine intermittente la dépriment. Décision est prise d'y réfléchir à deux fois avant de choisir les dates et lieux de nos séjours futurs. Pourtant, c'est joli, ce temps un peu sombre sur les rochers, on se croirait dans les highlands...

photo: ruines
les highlands en Turquie.

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jeudi 29 décembre 2005

En bus à Bursa

Ce matin, Julie n'est pas d'excellente humeur. Conséquence directe : moi non plus. Après le petit déjeuner, nous faisons nos adieux aux voisins, payons la note et nous dirigeons vers la gare, suivi par les rabatteurs attirés par nos sacs à dos... Après à avoir payé une bouteille d'eau trop cher (quelle joie d'être touriste !) nous prenons le train pour aller à la gare maritime, où nous attendons, pour changer. J'en profite pour acheter une carte du pays. Dans la salle d'attente, Julie lit le guide, de l'autre côté, un autochtone en lit un autre ; me voilà assis entre une française qui lit un guide sur la Turquie et un turc qui lit un guide sur la France !

photo: sièges du ferryDans le ferry, nous nous asseyons sur la première place disponible. Erreur ! Les places sont numérotés , on récupère les sacs et on va chercher nos places, à l'autre bout du bateau. Une petite vieille nous rend l'accès difficile, avec tous nos bagages, tant pis, la banquette d'à côté est libre, occupons là ... Jusqu'à ce que ses occupants arrivent, on repart au fond ! Les chaises musicales plus l'humeur de Julie m'offrent le premier ras-le-bol du séjour : Je veux rentrer chez moi !!!

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mercredi 28 décembre 2005

Topkapı

phpoto: chat à Topkapi Réveillé comme prévu par le muezzin et la frénésie de mouchoirs de Julie, petit déjeuner ! Nos voisins de petit-déj sont français, évidemment (en plus, j'ai l'impression de les avoir déjà vu quelque part.) Une fois avalé l'œuf dur, direction Topkapı, le palais des sultans... Dans la file d'attente, nos voisins sont .. français ! Très bien, celui qui suit au fond. D'ailleurs, pour être plus précis, ce sont même nos voisins de petit-déjeuner justement.

Le palais du sultan, c'est à nouveau une vraie collection de superlatifs : c'est grand, très grand, et le luxe est partout : dans les jardins, dans les mosaïques, dans les collections, les vêtements, les poils de barbe du prophète (si, si,) la vaisselle, les faïences, les marbres, la vue, l'espace ... On peut dire que les sultans ne se mouchaient pas du coude, ici. Et je ne parle même pas du trésor : des émeraudes, des diamants, des bijoux, des perles, de l'or (la palme à deux chandeliers en or massif. De 48kgs chacun, si, si.)

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mardi 27 décembre 2005

Sultanhamet

Finalement, mon sommeil a résisté à la maladie de Julie, par contre, j'ai bien été réveillé ce matin très tôt par l'appel du muezzin, si je m'en réfère à mon expérience de l'année dernière, je commencerai peut être à m'habituer à la veille du départ...

photo: chat qui se chauffe au spot à Sainte Sophie

Premier petit déjeuner turc donc, et on sent qu'ils ont fait des efforts pour plaire au touriste, puisqu'il y a du pain, du beurre et de la confiture... avec un œuf dur et des olives ! Le beurre, la confiture et le miel sont tous de la même marque : Pinar. Tant de Pinar au petit déjeuner, ça tourne la tête !

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lundi 26 décembre 2005

Istanbul, nous voilà !

photo: rideaux du tgvAprès une bruyante soirée de Noël en famille (la mienne, de famille, avec tous ces neveux et nièces.) Julie et moi prenons le train très tôt ce matin, direction Roissy. L'avion ne décolle qu'à midi, mais tant pis, nous attendrons un peu, et nous pourrons nous faire enregistrer avant tout le monde. Pas tout de suite, tout de même : Julie va poser la question, histoire que ça soit fait tout de suite, mais il lui est répondu que ce ne sera pas avant onze heures, tant pis, nous attendrons, en mangeant un Kinder géant même, ça pourrait être pire...

photo: kinder géant

À onze heures donc, après avoir fait plusieurs fois les rayons du marchand de journaux, nous voilà au guichet d'enregistrement : Bon, par contre, je suis désolée, mais je n'ai plus de places côte-à-côte... Pardon ? Mais l'enregistrement vient de commencer ! Non, non, il est commencé depuis deux heures, d'ailleurs, un quart d'heure plus tard et nous ne pouvions plus prendre l'avion. Charmant. Du coup, je suis très énervé dans l'avion, à plusieurs rangées de Julie et j'envisage déjà des vacances désastreuses.

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dimanche 9 janvier 2005

I'm back !

Me voilà de retour de sous le soleil (et la pluie) de Jordanie. Un peu naze à cause du décalage des horaires (sic.) À bientôt pour le récit différé de mes aventures.

samedi 8 janvier 2005

Amman

Chapitre dernier, où nos héros font du trek urbain

Sorry, no, we do not have french baguette...

le théâtre antique Dernier jour en Jordanie ! Aujourd'hui nous restons à Amman, à pieds (j'ai été catégorique : je ne vais pas me promener en ville en voiture ! Mais de toutes façons, il n'en a jamais été question ...) Après tout, nous sommes en absolu centre-ville, pas besoin de faire des expéditions extraordinaires.

Balade à deux pour la journée, Odette est partie se promener de son coté et nous la retrouvons ce soir. Premier arrêt : le théâtre antique, histoire de compléter notre collection (deux (dont un tout petit, soit) à Pétra, Deux à Jerash, deux (dont un pas tout à fait déterré, ok !) à Um-Qaïs, un à Amman, bonnes vacances pour la collec !) C'est facile à trouver : c'est juste en face de l'hôtel. Julie est en overdose et reste à l'extérieur, moi, bien entendu, je ne peux pas m'y résoudre... Hop dedans ! Celui-ci semble extrêmement bien conservé, mais il est difficile de savoir ce qui est conservé et ce qui est remonté. Sympa parce qu'assez grand, mais finalement le moins intéressant de ceux que j'ai vus jusque là, un petit tour dans les mini-musées attenants et je suis vite sorti.

En sortant, direction les autres vieilles pierres de la ville : la Citadelle. C'est facile à trouver : c'est sur le promontoire qui domine tout ici, donc juste au dessus de nos têtes, il n'y a qu'à grimper. La route semble faire beaucoup de virages pour arriver jusque là, donc nous trouvons un passage entre les maisons, dans ce qui est un vrai quartier populaire. Mmmh, rien à voir avec les coins à touristes, pas le coin le plus joyeux, quoi... D'ailleurs, au retour par la même route, nous trouverons des gamins un peu trop entreprenants. Il est des endroits plus agréables à fréquenter.

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vendredi 7 janvier 2005

Jerash & Um Quais

Chapitre huit : Go West ! Ah non, North, merde...

désireriez vous un guide ?

le théâtre romain Malgré les klaxons intempestifs qui ne se sont calmés que fort tard, nous avons quand même à peu près bien dormi. Nous avons décidé aujourd'hui d'aller dans le nord, histoire de voir encore quelques vieilles pierres. Quitter Amman ne sera pas trop difficile : tout est calme. Le vendredi ici est presque l'équivalent de notre dimanche, donc ça n'avancerait pas trop de rester ici, tout sera fermé.

Nous voilà donc en route pour Gerash. Vendredi(dimanche) oblige, il n'y a personne, ce qui, après l'épreuve d'hier, est plus qu'appréciable. Voilà qu'en plus le soleil brille, donc tout va bien. Il y a quand même suffisamment de gens pour qu'il soit dangereux de relâcher son attention, mais on y arrive.

Gerash Gerash (Jerash, Gerasa, c'est pareil...), c'est une cinquantaine de kilomètres au dessus de Amman. Il s'agit du second site touristique du pays après Pétra : Gerasa, Antioche dans l'antiquité, faisait partie du Décapole : les dix plus grandes cités romaines du Moyen-Orient. Aujourd'hui, il reste des pierres, pas encore toutes tombées, mais quand même beaucoup, si.

Ceci dit, ils les relèvent, leur pierres : à l'entrée du site, on est accueilli par l'Arc d'Adrien, construit en ??? et plutôt pas mal en ruine sur les photos des bouquin, mais dans la réalité, il va beaucoup mieux, étrange ! Ils sont fortiches en puzzle ici.

Ici, c'est plein de vieilles pierres, et il n'y a pas grand chose à en dire, surtout si on n'est pas branché vieilles pierres. Quelques détails quand même :

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jeudi 6 janvier 2005

quand La Mer Morte...

Chapitre sept, où l'un de nos héros flotte.

Welcome !

du théÀ Madaba, il y a une communauté chrétienne plus importante que dans les patelins du sud. Et visiblement, il n'y a pas de raison que les musulmans empêchent les chrétiens de dormir et que ceux-ci ne fassent rien : ce matin, pour changer, nous n'avons pas seulement été réveillés par les muezzins, mais également par les cloches des églises. Aaaaah, c'est tout de suite plus joyeux ! Les muezzins et les cloches, c'est pas mal comme mélange.

Contrairement aux craintes que nous avait laissées la pluie d'hier, il fait à peu près beau. Nous en profitons pour nous promener à Madaba : dans les site archéologiques, le musée, les rues... Les sites archéologiques sont dans des arrières cours, un peu comme ce qu'on voit de la fenêtre de notre hôtel... Et c'est plein de mosaïques, car Madaba est la ville de la mosaïque. Autour de la voie romaine, de la mosaïque, au Château Brûlé, de la mosaïque, à l'Église des apôtres, de la mosaïque, au musée, de la mosaïque... C'est bien, la mosaïque, mais au bout d'un moment, ça finit quand même par gaver.

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mercredi 5 janvier 2005

Sous la pluie

Chapitre six, où l'on découvre le vrai hiver jordanien

It is for a wedding, we cook for two hundreds people !

aube sur le désertC'est le matin ! Il est temps de se lever, et de se rendre compte que finalement, personne n'a dormi. Dormir par terre sur une paillasse, habillé et la lumière allumée, ça fait quand même un petit trop de changements d'habitudes pour une nuit. Mais ce n'est pas grave, l'expérience valait bien ça.

tout le monde sur le rocherD'autant que se réveiller le matin dans le désert, c'est peut-être encore plus magique que d'y passer la soirée : le soleil qui arrive lentement sur les sommets des montagnes, puis sur le sable, ça a quand même une sacré gueule. Oui, ça vous vaut une fois de plus quelques photos, mais bon, quand on aime, on ne compte pas votre bande passante. Bon allez d'accord, on va faire des miniatures, ou plutôt des toutes petites photales, mais c'est bien parce que c'est vous, hein ! Et n'y revenez plus.

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mardi 4 janvier 2005

le désert du Wadi Rum

Chapitre cinq, où nos héros se perdent dans l'immensité

The desert is big !

Julie et un chameauDebout très tôt : nous avons un bout de route à faire avant d'arriver au Wadi Rum et nous y avons rendez vous avec le guide assez tôt. Retour donc dans la voiture et la circulation à la Jordanienne. Le fait du jour à ce sujet ? Un camion roulant à contresens qui klaxonne de ses trompettes pour que je dégage le passage (et bien entendu aucun bas coté praticable !) J'ai gagné, c'est lui qui s'est écarté, mais j'ai perdu quatre kilogs de sueur en quelques secondes.

Julie grave les vacances dans le sableJuste après cette péripétie, nous quittons la route principale pour partir vers l'est, dans le désert. La circulation est moindre, bien moindre, d'ailleurs, il n'y a personne. la route fonce tout droit entre quelques cailloux, quelques rochers, et beaucoup de sable. Ici et là, on rencontre deux ou trois chèvres, un panneau nous invitant à nous méfier des traversées de chameaux, et une voie de chemin de fer solitaire, sans jumelle, à sens unique, donc. Et nous devons être dans les temps, puisque la lune encore présente dans un magnifique ciel bleu nous indique qu'il est encore tôt (et par la même occasion que les craintes que nous avions quant à la météo ne sont pas justifiées.)

du sable. rouge.Au fur et à mesure que nous avançons, nous rencontrons autour de la route des campemements : des gros pick-ups 4x4, des chèvres et de longues tentes comme nous en avons vu quelques unes ici et là sur les bords de la route ces derniers jours, sauf qyu'ici elles sont plus nombreuses. Il y aurait plus de bédouins dans le désert que dans les villes ?

Nous finissons par arriver au Visitor's Center, quelques kilomètres avant Rum, et on se dit que les choses sont quand même bien faites : ce désert est plein de montagnes, voire même est entouré de montagne et n'a pratiquement qu'une seule entrée. On installe à cette entrée le guichet pour vendre les tickets et le tour est joué. Même Disney a été obligé de construire des barrières, ici, c'est du tout naturel.

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lundi 3 janvier 2005

Aqaba

Chapitre quatre, où nos héros sont touristes balnéaires sur la Mer Rouge.

You are going to the Wadi Rum ? Do you want a guide ?

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dimanche 2 janvier 2005

second jour à Pétra

Chapitre quatre, où nos héros se gèlent les miches.

Taxi, taxi ! Donkey ride ?

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samedi 1 janvier 2005

premier jour à Pétra

Chapître trois, où nos héros sont tout petits dans les vieilles pierres.

I can make dinner for you !

Petra

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vendredi 31 décembre 2004

En route pour Pétra

chapitre deux, où nos héros taillent la route.

-Where are you from ?
-France...
-Ah, our friends ! Welcome !

C'est donc à 5h du matin que le muezzin de la plus grosse mosquée du pays nous réveille, ouille. N'étant pas concernés, nous faisons de notre mieux pour nous rendormir, c'est pas facile, mais ça finit par venir...

Du coup bien sûr, c'est un peu vaseux que nous finissons pas nous réveiller. Un petit déjeuner au pain d'ici et à la vache qui rit du même endroit (sic.) et hop : il est temps de prendre la route. D'abord, il faut quitter Amman, mais ça, on y arrive encore à peu près : une fois qu'on sait où on est, on a quand même un sacré avantage. Et puis hop, on part à la recherche de la Route du Roi.

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jeudi 30 décembre 2004

Arrivée en Jordanie

Chapitre un, où nos héros débarquent et établissent les premiers contacts avec l'habitant et sa culture (avec quatre roues.)

No problem, you are the second French couple I drive to their hotel today...

Il est très tard quand, après un vol de quatre heures et des, nous arrivons sur l'aéroport d'Amman, il parait que c'est normal : tous les vols arrivant en Jordanie atterrissent en plein milieu de la nuit. Il est donc minuit passé quand nous quittons l'aéroport avec notre plus gros luxe des vacances : la voiture. Un an et demi après le Québec, me revoilà au volant d'une automatique. C'est moins déstabilisant la deuxième fois, mais quand même... Vous saviez qu'ils faisaient des Clio avec un coffre ? En sortant, il faut payer le parking, et Julie s'énerve pour la première fois des vacances : quand on paye une location de voiture plus de 400€, on ne devrait pas avoir à payer un demi dinar de parking !

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mardi 28 décembre 2004

fermé pour cause de pas là

Ce qui importe, ce n'est pas le voyage, c'est celui avec lequel on voyage.
Jean-Luc Gendry

C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde.
Paul Eluard

Bon allez, on va y aller : je vais m'éloigner quelques temps, pas de retour avant l'année prochaine. Ça veut dire que vous allez devoir vous passer de moi pendant une petite quinzaine de jour, puisque je serai à droite, à gauche, tout près et très loin, mais pas forcément toujours près d'un nateur, et même dans ce cas, j'aurais peut-être bien autre chose à faire.

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mercredi 17 septembre 2003

Back (dze r'tour)

à méditer :

On dirait qu'on est heureux, hein ?
Julie

pré-médité :

Et bien voilà, je suis reviendu. Heureux ? Moi oui, sauf que je serais bien encore resté un peu... C'est pas pour me vanter, mais quand même, j'ai passé de bonnes vacances. Avec un peu de Zuhéssa, pas mal de Kabak et une bonne dose de Julie

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