Découvrir

Voyages, promenades, endroits que je découvre.

Fil des billets

Sous-catégories

dimanche 18 novembre 2007

Coucou de Queenstown

Nous sommes arrivés aujourd'hui à Queenstown, la capitale mondiale des tarés. Bonjour tout le monde !

samedi 17 novembre 2007

Sur la route toute la sainte journée

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Au réveil, Julie déplace la voiture (c'est la première fois qu'elle prend le volant depuis le début des vacances) de deux mètres. Moi, je fais un petit tour par le chemin de randonnée, histoire de me dégourdir les jambes, parce qu'aujourd'hui, ça sera surtout de la route.

J'ai mesuré plusieurs fois depuis le début du séjour à quel point j'avais de la chance d'aimer conduire. Oh, pas forcément sur toutes les routes : l'autoroute Lille/Bruxelles par exemple m'emmerde royalement ; Je la connais par cœur et c'est désespérément tout droit. Par contre, sur des routes inconnues, avec des virages, je ne m'ennuie jamais. Mieux que ça même, puisque dans les petites routes de montagne où il n'est pas question de lâcher un instant le volant ni le levier de vitesse, je prends mon pied comme rarement.

Lire la suite...

vendredi 16 novembre 2007

Abel Tasman

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Réveil avec les canards. Nous replions la tente (en moins de deux minutes, comme toujours. Les tentes instantanées de Decathlon continuent à nous fasciner) et passons payer notre nuit puis sortons du camping. Le point de rendez-vous est juste là : ce matin, nous faisons du kayak de mer (oui, c'est con comme nom, mais c'est comme ça, ce n'est pas moi qui l'ai inventé, allez réclamer ailleurs.)

Lire la suite...

jeudi 15 novembre 2007

Changeons d'île

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Très bonne nuit une fois de plus, d'autant que la pluie et le vent se sont calmés. Après le petit déjeuner, nous faisons un peu de rangement, histoire de préparer nos sacs pour la traversée : nous partons aujourd'hui pour l'île du sud.

Avant de quitter Wellington, nous allons faire un petit tour sur le Mont Victoria, dans le parc duquel ont été tournées la moitié des scènes de forêt du Seigneur des Anneaux (je vous ai déjà dit que ça avait été tourné en Nouvelle-Zélande ?)

Lire la suite...

mercredi 14 novembre 2007

Wellington

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Je suis tout étonné de me réveiller à l'endroit où je me suis endormi ; Les éléments se son déchaînés cette nuit et je me suis même levé, profitant d'un court passage sans pluie, pour aller vérifier les fixations de la tente. Wellington est réputée pour être venteuse, mais sur les pentes du Mont Victoria, c'est encore pire qu'ailleurs. Malgré tout ça et un sol inégal contre lequel le matelas ne peut pas grand-chose, j'ai dormi de tout mon saoûl et suis même surpris de me retrouver seul dans la tente au réveil, Julie étant partie bouquiner depuis longtemps.

Lire la suite...

mardi 13 novembre 2007

Rivendell & Wellington

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

J'ai connu de meilleures nuits. D'abord parce qu'hier soir, sur ce terrain au bout du monde, nous n'étions pas seuls : une voiture s'est mise à faire du rodéo juste au dessus de nous, nous l'avons encore entendue une fois couchés. Ce n'est que ce matin que je me suis rendu compte que ce n'était qu'un autre campeur qui faisait son kéké.

L'autre inquiétude, ça a été la pluie. J'adore dormir dans une tente sous la pluie, mais pas quand ladite pluie est susceptible de transformer en champ de boue un chemin qui est la seule route de sortie et que j'ai eu du mal à parcourir sec. Mais cette inquiétude là était également sans fondement : ça passe "aussi bien" qu'hier.

Lire la suite...

lundi 12 novembre 2007

Rafting sur la Rangitikei

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Lever tôt et reprise de la route improbable (mais jolie). Très tôt parce que très improbable. Une fois affronté tous les dangers et une des plus belles collections de virages qu'il m'ait été donné de voir, nous arrivons au River Valley Lodge. Le coin est fort joli, plus en tous cas que le camping où nous avons passé la nuit, et je suis un peu déçu d'apprendre en arrivant que nous aurions pu camper sur place. Je suis aussi un peu inquiet d'être arrivé avec un voyant de carburant qui clignote.

Lire la suite...

dimanche 11 novembre 2007

Arrivée en Terre du Milieu

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Excellent réveil à Juno's : L'auberge de jeunesse est un petit chalet sur les terrasses duquel il fait bon prendre son petit déjeuner (0.10€ le café, c'est dans mes prix) tout en regardant la folle activité du court de tennis. Après avoir replié la tente, nous regardons où nous devons nous rendre pour la visite des grottes : Ah, ben c'est juste de l'autre côté de la route, c'est quand même bien organisé !

Lire la suite...

samedi 10 novembre 2007

Go West !

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

[photo]

Le DOC gère les parcs nationaux en Nouvelle-Zélande, les randonnées qu'on peut y faire et les endroits où on peut y dormir. L'inconvénient des campings qu'il propose, c'est qu'ils sont sommaires : ici, une cabine de douche, deux toilettes basiques, deux lavabos, le tout simplifié à l'extrême (sous la cuvette, un trou profond.) L'avantage, c'est que ça ne coûte rien, que c'est désert et que c'est reculé : Nous avons failli tuer la voiture à travers les routes de gravier et les gués.

Lire la suite...

vendredi 9 novembre 2007

Apprivoisons la voiture

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

Nous ne faisons pas les choses à moitié : nous avons dormi douze heures. J'ai un peu de mal à me réveiller, mais ça va, nous pouvons prendre la route.

Avant de quitter Auckland, nous allons faire un tour au Mont Eden, l'un des multiples volcans au repos qui ajoutent du relief à une ville autrement plutôt plate. Peut-être n'étais-je pas réellement suffisamment réveillé, parce que la conduite est difficile. J'arrive au pied du Mont, pourtant pas bien loin, dans un état de stress avancé : je me suis relâché juste avant de me garer dans une petite rue calme et j'ai massacré les enjoliveurs sur la bordure, je ne réussis à prendre aucun repère sur la largeur de la voiture et je commence à me demander si mon enthousiasme à l'idée de rouler à l'envers n'était pas un peu prématuré. Non, d'ailleurs, je ne me pose pas la question, je suis en train de me dire que trois semaines de ce régime vont être un cauchemar.

Lire la suite...

jeudi 8 novembre 2007

Auckland

Avec pour petit déjeuner des gâteaux et un grand chai latte achetés dans une boulangerie italienne, nous nous dirigeons vers le Musée d'Auckland, où nous flânons pendant près de trois heures. Ici non plus, les gens ne voient pas les musées comme nous : on dirait que ça a le droit d'être intéressant. Du coup, on se promène de reconstitution en mise en perspective et on s'ennuie peu (accessoirement, ça veut dire aussi qu'il y a plein de vie, puisque plein d'enfants. Il y a même des salles spécialement conçues pour eux.) Je retiendrai surtout, outre tout ce qui est art maori, une reconstitution d'un moa (sorte d'autruche de trois mètres de haut, cousine du kiwi, dont le côté gros poulet sans ailes a été fatal pour l'espèce quand l'homme, le premier prédateur de son existence, est arrivé en Nouvelle-Zélande,) une simulation d'éruption volcanique (où Julie m'a emmené sans que je sois prévenu que la pièce allait être secouée par le souffle. Je pensais être juste en train de regarder un reportage et je me suis retrouvé en plein milieu de Pompeï,) et un petit bout de XIXème siècle reconstitué et rendu vivant par son ambiance sonore (poussant le souci du détail jusqu'au bruit des mouches dans les latrines.)

Lire la suite...

mercredi 7 novembre 2007

Navions

La journée commence à Singapour[1], entre deux avions de Singapore Airlines. Jusqu'à présent, je pensais que le décalage horaire allait être similaire entre l'aller et le retour : plus douze heures ou moins douze heures, c'est pareil, c'est un tour de cadran. Je me rends compte maintenant qu'il y a une subtile différence : À l'aller, nous vivons deux journées de dix-huit heures, au retour, ça sera une seule de trente-six heures.

Je ne sais pas si ça va changer grand-chose : de toutes façons, c'est trente-six heures pratiquement sans dormir ; Ce n'est pas le ronflement de l'avion qui me dérange, c'est la position assise. Hier, j'ai réussi à grappiller une heure de mauvais sommeil, aujourd'hui, j'attraperai sans doute exactement le même torticolis.

Singapore Airlines, c'est pas mal, on y est bien traité. Les stewards et hôtesses donnent l'impression de passer toutes les trois minutes ; Le système individuel de loisirs s'améliore à chaque voyage, l'offre de films s'étoffe, il y a des jeux, et la nouveauté, pour moi en tous cas, c'est la possibilité de brancher sa clef USB pour regarder ses photos, lire ses vidéos, écouter ses musiques et, cerise sur le gâteau, éditer ses fichiers office. Si : Star Office est installé dans chaque siège (mais le clavier est pourri.)

D'accord, ça n'est pas encore tout à fait au point, puisque mon propre écran m'a gratifié d'un plantage suivi d'un reboot sauvage. Mais assister à un reboot de Linux à dix mille mètres d'altitude, ça n'a pas de prix. Remarquez, même quand ça marche, on a des surprises, puisqu'un des films que regarde Julie[2] est précédé de deux avertissements : le premier pour dire que le film n'a subi aucune édition quant à son contenu, le second pour dire que le film a été édité dans son format et dans son contenu.

Dans une heure, nous nous posons à Auckland, il sera presque minuit ici, il sera midi après une nuit blanche à notre horloge interne. J'espère que nous trouverons vite le taxi qui nous conduira à l'hôtel.

Arrivés à l'aéroport, nous devons passer par le contrôle de bio-hazard-machin-truc, histoire qu'ils puissent vérifier que ni les chaussures de Julie ni notre tente n'amènent de vilaines graines. Nous leur confions donc la tente que nous devons récupérer toute validée et repliée à l'extérieur. Mais le gars qui passent la tête un peu plus tard par le guichet idoine a la mine déconfite : Dites-moi que vous êtes les gens de la tente ! Je dois passer en coulisse pour aller la replier pour eux ; Au moins, maintenant, ils connaissent les tentes instantanées de Décathlon.

Dernière ligne droite : nous trouvons un taxi (commun), arrivons à l'hôtel et je me fait mal comprendre. Mon anglais est-il si mauvais ? D'après Julie, je parle trop vite et avec l'accent américain, pfff...

Je pensais que j'allais vivre la plus longue journée de ma vie, en réalité, j'ai vécu les deux nuits blanches consécutives les plus courtes de ma vie.

Notes

[1] Ici, un tapis roulant s'appelle un travellator. C'est idiot, mais ça me fait rire (les français aussi grandes gueules ici que n'importe où ailleurs m'amusent beaucoup moins.

[2] Des films intelligents. Moi, je m'éteins la tête en regardant des blockbusters et en revoyant le film des Simpson.

mardi 6 novembre 2007

Embrouille à l'aéroport.

Ça n'a pas été facile, depuis dimanche, je suis à ramasser a la serpillère. Hier, j'ai fait plus de trois heures de route sur la journée pour aller comater au bureau a Bruxelles. C'est dire si la perspective de passer 24h en avion me transporte de joie.

Je m'en suis rendu compte ces dernières années : un voyage doit commencer par un problème a l'aéroport. Cette fois-ci, Julie et moi avons rendez-vous a l'embarquement, en croisant les doigts, puisqu'elle ne prend pas son téléphone. Je suis donc allé jusqu'à imprimer ses indications afin d'être sur de ne pas me planter. Terminal 2, a-t'elle dit.

Ah oui, mais alors en descendant du train, le Terminal 2, je suis en plein milieu. Alors, a gauche ou a droite ? Je choisis une direction au hasard, je trouverai bien le comptoir de la compagnie.

Après vingt-cinq minutes de marche avec mes gros sacs, en sueur, je dois me rendre a l'évidence : je ne suis pas encore arrive au bout du cote du terminal 2 que j'avais choisi. Je me décide donc a me renseigner : Singapour Airlines ? Le vol de 11h25 ? Mais c'est au Terminal 1, monsieur !

On repart dans l'autre sens, puisque la navette entre les deux terminaux prend le départ au niveau de la gare SNCF, d'où je viens. Vingt minutes de marche dans l'autre sens plus dix minutes de navette et je retrouve Julie qui commençait a s'inquiéter en m'imaginant paniquer. Ce en quoi elle a tort : si j'ai réussi a me renseigner avec les mauvaises informations, je me doutais bien que, plus débrouillarde que moi a ce niveau et avec les billets entre les mains, elle y arriverait encore mieux.

NZ-0

en espérant n'avoir rien oublié parce que mes deux derniers jours de préparatifs se sont faits dans les nausées d'une grosse grippe (ça promet pour les 24 heures d'avion,) me voilà en route pour Auckland.

À bientôt !

mercredi 31 octobre 2007

Liberté et grands espaces

Il y a quelque temps, quand je n'allais pas très fort, je me suis mis à dormir avec un petit carnet à proximité, histoire de noter mes rêves, étant dans une période où je m'en souvenais plus que d'habitude. Malheureusement, si je m'en souvenais plus que d'habitude, c'est qu'ils étaient plutôt (très) mauvais, et j'ai arrêté assez vite. Cette petite gymnastique matinale m'a amené à remarquer que je me souvenais finalement souvent de mes rêves au réveil, ils disparaissent juste dans la minute qui suit. Il suffit pour les conserver de faire un effort conscient de transfert dans une mémoire un peu moins volatile (ce qui reste une gymnastique, je crois bien que c'est la conscience qui les efface, justement.)

Cette nuit, j'ai deux rêves au moins qui me sont restés (oui, je me suis réveillé en pleine nuit.) Bien que fort différents, les deux m'offraient les mêmes plaisirs : liberté et grands espaces. Des rêves qui ne donnaient envie que d'une chose : faire une cure de vert très large, d'aller se promener dans un coin où les paysages sont grandioses, où les gens sont rares, mais sympas et où l'air est rempli de plus d'oxygène que d'hydrocarbures. Si en plus ça peut être dépaysant et loin, c'est encore mieux ; Quelque chose comme la Nouvelle Zélande, disons.

Lire la suite...

vendredi 15 juin 2007

Gougouleursse

Je viens de réinstaller Google Earth, j'aime vraiment bien beaucoup, je suis en train de revivre mes voyages. On découvre aussi des choses amusantes : J'ai retrouvé ma voiture, celle de ma mère, et -il me semble bien- ma mère en train de bronzer. Ça devient vraiment précis, ces petites choses.

ma voiture vue d'en haut

Incidemment, je me suis rendu compte aussi que finalement, Hausmann , c'était un gars sympa, parce qu'il a laissé beaucoup de Paris historique entre ses percées. C'est la réflexion que je me suis faite en regardant le centre-ville de Rennes : en essayant d'avoir une vue d'ensemble, on distingue encore vaguement l'ancien découpage coincé sous un quadrillage américain assez monstrueux. À Paris, il n'y a guère que la Cité qui ait été massacrée à ce point.

J'y retourne, je vais essayer de retrouver Julie.

mercredi 23 mai 2007

2400 kilomètres

Festival de l'affiche de Chaumont, mai 2007.

Voilà ce que j'ai parcouru en impro ce week-end. En impro, parce qu'avec Julie, après avoir fait l'un ou l'autre plan sur la comète pas réalisables au final, nous avons juste pris la voiture et nous sommes partis en n'ayant jamais plus d'une étape d'avance dans notre planning : en finissant une activité ou une visite, nous rentrions dans la voiture consulter la carte pour déterminer où nous allions ensuite. Nous nous sommes donc retrouvés en train de :

Lire la suite...

vendredi 2 mars 2007

Tu vois qui, oui ?

Ça y est, c'est décidé : nos grandes vacances pour cette année, ça sera au printemps, en novembre.

Lire la suite...

mardi 28 novembre 2006

les manuscrits de l'artiste : notes du japon

Lors d'une conversation avec une fée de mes amies, je me suis vu demander mon mode de fonctionnement quant à l'écriture de mes comptes-rendus de vacances. N'ayant pas pour le moment d'autre idée pour repousser cette écriture proprement dite, je vous fais profiter de ma réponse.

Quand je pars en vacances, j'emporte un carnet. Il n'a pas besoin d'être grand : préférant largement, lorsque je suis à l'autre bout de la planète, vivre des expériences plutôt que passer des heures à les consigner, mes notes sont synthétiques à l'extrême, de l'ordre de moins d'une dizaine de lignes de mots mis bout à bout pour chaque jour.

Une fois rentré, et dès que j'en trouve le temps, je tape ces quelques notes et je classe mes photos par jour. Puis, pour chaque jour, je relis les notes du jour, celles des jours suivants pour voir s'il n'y a rien à amener, j'essaie de me souvenir à quoi tout correspond, je regarde les photos pour m'imprégner de l'ambiance et éventuellement ajouter des choses qui ne sont pas dans les notes et puis je me lance. Parfois, sur certains points, histoire de ne pas raconter de conneries, je vais faire un tour sur Wikipedia (Wikipedia sait tout, Wikipedia voit tout) pour mettre à plat ce que j'ai emmagasiné de manière trop floue pour l'expliquer clairement (l'explication sur les alphabets japonais par exemple.)

Ça peut me prendre des heures : j'écris lentement, j'ai une faible capacité de concentration et j'ai d'autres trucs à faire. De plus, lorsque c'est terminé, il faut encore que je trie les photos du jour (il peut en avoir plusieurs dizaines) pour choisir celles qui ont un minimum d'intérêt, puis mettre en page le texte avec les images, ouf, c'est fini !

Je ne sais pas si c'est parce que je deviens de plus en plus verbeux, mais c'est de plus en plus lent : il y a deux ans, ça m'avait pris autant de jours à écrire que j'avais eu de jours de vacances, l'année dernière, j'avais un peu dépassé, ce coup-ci, je suis rentré depuis quinze jours et je n'ai raconté que deux jours et demi (le demi arrive, patience.)

Bon, tout ça pour dire que ça va prendre du temps, alors voilà mes notes pour patienter. Et puis histoire de ne plus vous faire croûler sous le volume, je vais peut-être commencer à raconter mes journées en plusieurs morceaux. Non, ne me remerciez pas, c'est plaisir.

Lire la suite...

jeudi 2 novembre 2006

Jeudi deux novembre : 鎌倉市

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

Poste de police avec peluche en vitrine.

Aujourd'hui, c'est petit déjeuner de rattrapage : avec tout le poisson de la veille, on se rattrape aujourd'hui sur le chocolat, le café et le pain. Voire sur les frites. Si, si. Depuis qu'on m'a collé des frites sous le nez au petit déjeuner, je me suis rendu compte que quand on est fan des petits déjeuners à l'anglaise, manger quelques frites avant le café n'était pas plus étrange que de manger du bacon ou des saucisses.

Le programme indiquait pour ce jeudi Journée libre. Nous avons décidé avec Caterina de partir plutôt vers la campagne, histoire de respirer un peu. Nous allons dans le coin de 鎌倉市 (Kamakura), où le nombre de temples à visiter sur quelques kilomètres est assez impressionnant.

Un jardin zen de Kamakura.

Après avoir affronté les transports en commun une fois de plus - et je vous assure une fois de plus que quand on ne réussit même pas à lire les panneaux, c'est très loin d'être évident (et puis ça fait peur) - nous voilà dans le petit train en direction de la côte, petit train qui nous dépose une petite heure plus tard à la gare de Kamakura, au pied du premier temple.

bonjour la facture EDF, encore.

Ça fait un drôle d'effet, après deux jours de folie citadine, de se retrouver à la campagne, et ma foi, ça n'est pas mal non plus. J'apprécie coup particulièrement le calme des temples que nous visitons. Le premier est un peu dénivelé pour nous, nous essayons de prendre des photos sans touristes dans le deuxième, mais après une vingtaine de minutes de marche, j'aurais pu rester deux heures devant le jardin zen qui agrémente le troisième.

Lire la suite...

- page 5 de 7 -

Page top