lundi 3 septembre 2007

La meilleure thérapie

Voilà une braderie de passée et pour une fois, j'ai trouvé quoi faire de mes sous (j'en cause dans la semaine.) Je passais juste vous dire que, rapport à l'efficacité des médicaments, il vaut mieux faire des crises d'anxiété que des migraines, les remèdes sont bien plus efficaces.

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mercredi 23 mai 2007

2400 kilomètres

Festival de l'affiche de Chaumont, mai 2007.

Voilà ce que j'ai parcouru en impro ce week-end. En impro, parce qu'avec Julie, après avoir fait l'un ou l'autre plan sur la comète pas réalisables au final, nous avons juste pris la voiture et nous sommes partis en n'ayant jamais plus d'une étape d'avance dans notre planning : en finissant une activité ou une visite, nous rentrions dans la voiture consulter la carte pour déterminer où nous allions ensuite. Nous nous sommes donc retrouvés en train de :

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mardi 8 mai 2007

La fille que je suis amoureux de.

Je savoure chaque instant de ma vie passé à la regarder.

samedi 31 mars 2007

Sous-sol, compagnie Peeping Tom

Si je n'avais pas prévu ces prochaines décennies de m'emplir les yeux de Julie (Ventredieu, je n'aurai jamais assez de temps !) je pourrais passer ma vie à regarder évoluer les pieds nus d'une danseuse contemporaine ...

mercredi 28 mars 2007

Un petit vrac ?

J'ai du boulot. Plein. Par dessus la tête. J'adore ça, mais ça me laisse peu de temps libre, ça aurait même tendance à me prendre mes soirées et mes week-ends. Notez que je ne suis pas obligé, mais ça me trotte tout le temps dans la tête. Si vous me voyez moins bouger, c'est donc normal. Mais pendant ce temps là, je n'ai pas le temps de réviser pour mes exams.

J'ai un souvenir d'enfance qui me taraude depuis des années, évidemment, il y a une mélodie. C'est insupportable, tuez moi !

Je suis en train de faire un peu de rangement, pendant ce temps là, je regarde la nouvelle star. Si. Je suis décevant, hein ? Je trouve ça absolument fascinant : au départ, je regarde parce que je suis un trou du cul comme tout le monde et que j'aime me moquer des nazes (et fichtre, il y en a !) et voilà qu'il y a des bizarres qui savent chanter. Ce n'est pas du tout désagréable de voir qu'en plein milieu des démonstrateurs vocaux insupportables, il y a des gens qui ont de la sensibilité et ... ben du talent. C'est même plutôt rassurant pour la musique.

On a décalé la journée. Du coup, je vois mon appart au soleil : il faut que je fasse les poussières.

Les belges m'inquiètent. Je n'ai rien contre les belgicismes, mais merde, ce n'est pas une excuse pour les fautes de français. Et là, vous allez me dire que les français en font aussi. C'est vrai, mais en France, c'est limité aux conversations ou aux présentateurs de journaux télé, on y prétend encore qu'il est important de bien parler. Ici, on dirait que ce n'est même plus important et on y subit régulièrement les réclames[1] remplies de fautes au sujet desquelles personne ne s'inquiète. Ça me déprime, tiens !

Ce week-end, il y a Julie qui vient me rendre visite. Moi, j'aime bien les filles, c'est vachement bien, les filles. Mais je ne sais pas si je vais l'ai déjà dit : Je n'échangerai jamais une Julie contre deux barils d'autres filles. Elle n'est pas remplaçable, elle est unique, elle est mieux. Elle est même mieux qu'elle, parce qu'elle est de mieux en mieux. Je suis amoureux.

Julie, c'est la mieux.

Notes

[1] Non, je n'appelle pas ça des pubs.

samedi 3 mars 2007

Cinq ans

Si l'on accorde quelque crédit à la conception qu'ont les bouddhistes de la métempsycose, alors je devais donner des coups de pieds aux chiens dans une vie antérieure, parce que Julie a son caractère, et des fois ce n'est pas facile.

Par contre, en vertu des mêmes principes, je dois avoir sauvé pas mal de juifs pendant la guerre, parce que tout de même, la plupart du temps, être avec Julie, c'est un grand bonheur.

Et ça fait cinq ans aujourd'hui que c'est un grand bonheur. Bon anniversaire, nous.

vendredi 16 février 2007

bonheur simple

En sortant du boulot, mercredi soir, j'ai pris un Bruxelles-Paris et je suis allé passer la soirée avec la fille que je suis amoureux de. Nous avons regardé Monstres et Cie collés l'un contre l'autre en mangeant de la pizza. J'étais heureux.

vendredi 1 septembre 2006

Être ou ne pas être (sysadmin)

Pfiou ... Dans la vie, mon métier, c'est sysadmin : je gère plein de gros serveurs. Du coup, j'ai depuis longtemps l'idée d'avoir mon propre serveur, histoire de gérer exactement comme je le souhaite mon mail, mes sites, et autres jouets d'informaticien. Idée qui ne m'a pas lâché depuis des années, surtout que le serveur que j'utilisais jusque là (que je ne gérais pas) allait de plus en plus mal. Je ne le quittais pas jusque là parce qu'il était dépourvu de quotas et imbattable au niveau prix : Avoir son serveur à soi, c'est super cher !

Et puis voilà que nos camarades d'Illiad (le papa de Free) sortent la Dedibox (j'espère qu'il vont me payer pour tous ces liens) : un serveur dédié à un prix défiant toute concurrence. Bon, ce n'est pas non plus une bête de course, mais c'est très suffisant pour une utilisation non professionnelle. Me voilà donc avec mon serveur à moi, mais il faut le configurer. Facile ! Je suis administrateur système ou pas ?

Pas.

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mercredi 7 juin 2006

Je suis en pleine forme

mercredi 24

Cinq minutes avant de quitter le boulot pour rejoindre Lille, je me dis que je n'ai pas grand chose à y faire. Je joins Julie qui me confirme qu'elle est chez elle le lendemain, et je prends la route vers Paris. Vers 22h, coup de chance : il y a une place libre juste devant chez elle. N'ayant pas prévu ça, j'ai avec moi un sacré barda à monter à pieds au troisième (non, je ne laisse rien d'une quelconque valeur dans ma voiture.) Julie m'accueille, je suis amoureux.

jeudi 25

Journée tranquille, à bosser chacun sur des projets persos, mais assez proches pour que je puisse l'embrasser quand l'envie m'en prend. J'aime bien.

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samedi 29 avril 2006

...Tout est mieux avec toi que sans...

une case extraite du Combat Ordinaire de Larcenet

Larcenet a sorti le tome trois du Combat ordinaire, que j'ai dans un coin depuis quinze jours en attendant que je relise les deux premiers, qui étaient à la mesure de l'immense talent du bonhomme.

Vous n'imaginez pas à quel point la simple case extraite ici me parle.

vendredi 21 avril 2006

Avis d'absence

Bonjour m'sieurs-dames.

On aura noté ces derniers temps une baisse de productivité sur ces pages. Ça arrive.

Il faut avouer que j'ai eu pas mal de jours de congés ces derniers temps, que j'ai passé du temps avec Julie et que franchement, du coup, j'avais autre chose à faire. On n'imagine pas comme ça, mais être amoureux de Julie, c'est finalement une activité assez chronophage, et c'est bien.

Par ailleurs, pour ceux qui suivent cette histoire, je suis assez pris dans Dotclear, ces temps-ci, même s'il me faut avouer que je cours des kilomètres derrière le patron, j'essaie d'apporter ma petite pierre, mais je suis tellement lent à la préparer que là aussi, ça me détourne un peu de l'écriture.

Pour finir, je n'ai pas encore réussi à m'habituer à toute cette lumière si tard et je continue à me coucher à des heures idiotes, je suis donc fatigué en permanence et ça se ressent très fort sur ma concentration : il me faut m'y reprendre à quatre fois pour lire un texte de trois paragraphes. Imaginez ce qu'il en est lorsque je dois les écrire.

Du coup, vous venez encore de lire un dital de tirage à la ligne, c'est mal, hein ? Allez, je vous en refais un dès le week-end terminé.

Enfin, j'essaie.

mercredi 29 mars 2006

Week-end outre manche

Big Ben sous le soleil derrière le pare-brise. Vu le retard que j'ai pris pour vous raconter notre week-end britannique, je crois que je vais éviter le compte-rendu chronologique (et puis c'est bien aussi, vous n'en avez pas marre de mes comptes-rendus chronologiques ?) et juste vous donner quelques impressions qui me sont restées depuis.

Un peu de contexte : c'était au début du mois, Julie et mois fêtions un chiffre rond dans notre relation, et je n'avais pas vraiment envie que ce week-end là ressemble à un de nos week-ends habituels. J'ai donc réservé notre place dans un ferry et hop, direction le pays des grands britons, sans aucun itinéraire pré-décidé.

Quand je suis passé prendre Julie à la gare avant de prendre la route, le temps qu'il faisait (brouillard, brouillard, brouillard, et beaucoup d'humidité. Et aussi du brouillard) l'avait un peu refroidie, et je n'ai du qu'à ma place de ferry déjà payée qu'elle veuille bien faire le déplacement malgré tout. Grand bien nous fit, puisque nous avons eu un temps magnifique tout le week-end, et l'Angleterre, c'est parfois joli comme tout, mais les dix jours par an où il ne pleut pas, c'est encore mieux.

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vendredi 3 mars 2006

Quatre ans

Aujourd'hui, ça fait quatre ans que j'ai réussi à embrasser Julie pour la première fois.

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mardi 21 février 2006

les enfants poupées

Simon Houriez était parti pour de brillantes études scientifiques, mais en cours de route, il s'est dit qu'il y avait sans doute des choses plus intéressantes à faire, on peut appeler ça une quête de sens peut-être ... La question, après, c'était de savoir vers quelles choses intéressantes se tourner.

Le mieux, dans ces cas là, c'est de faire quelque chose qui en vaille la peine, à savoir aider des gens qui en ont besoin. Son itinéraire quotidien passant devant un institut dédié aux aveugles, Il a pensé un moment à s'engager auprès de ceux-ci, y trouvant un écho à ses questions sur la communication. Mais une rencontre allait changer la donne : il a fait la connaissance d'un sourd.

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dimanche 19 février 2006

Nanif, Peter...

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de la plus jolie Julie. Et pour l'occasion, elle s'est fait une coiffure de Peter Pan. J'aime bien !

mercredi 15 février 2006

le train, c'est épatant !

hier, 18h : sortage du boulot à Bruxelles. Deux heures plus tard : attablage à Paris avec la plus Julie des jolies. Et ce matin, retour au boulot bruxellois. Merci les tchou.

mardi 10 janvier 2006

dernier jour turc et mouillé

photo: c'est le désert sous le grand bazar Aujourd'hui, c'est la fête du sacrifice, la Saint-Mouton, comme dirait mon pote Abdel. Est-ce pour ça que je n'ai pas entendu le muezzin ce matin ? Ou est-ce simplement comme l'année dernière que j'ai attendu le dernier jour pour m'y habituer ?

Parce que c'est le dernier jour : ce soir, nous serons rentrés, chacun de notre côté, il convient de profiter des dernières heures. Après l'habituel petit déjeuner, nous libérons la chambre et laissons nos sacs à la réception, nous profitons même de la note pour écouler le faux billet d'hier.

Puisqu'il nous reste quelques heures, nous avons décidé de nous promener et de faire les magasins, si c'est possible. Mais ce n'est pas si évident que ça : dès que nous mettons le pied dehors, tout a l'air étrange, et il nous faut un certain temps pour comprendre : il n'y a pas un bruit. On dirait que les rues sont vides, et que tout est fermé. Ah oui alors, quand c'est férié, c'est férié !

C'est d'autant plus flagrant lorsqu'on approche du grand bazar : rien. Personne. Sans surprise, le bazar des livres, qui était la but de cette balade, est fermé comme le reste. En redescendant tout doucement vers le port, les rues dans lesquelles nous avons du faire du slalom il y a une dizaine de jours sont maintenant complètement désertes, tout en gardant les traces de leur activité de tous les jours, marrant.

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jeudi 8 décembre 2005

Me revoilà !

-although a double negative in English implies a positive meaning, there is no language in which a double positive implies a negative.
-Yeah, right !

Sidney Morgenbesser

Bon, une bonne claque et ça repart !

Qu'est-ce qui peut bien me prendre de ne pas aller bien alors que tout va bien pour moi ? Je dois être un peu trop compliqué, je ne suis plus arrivé pendant un temps à éteindre la tête. Mais là, ça va beaucoup mieux, merci les gens d'avoir sympathisé, merci ma vie d'être bien, merci les gens sympas d'être sympas, merci à l'inventeur du sourire, merci à l'inventeur des filles !

Merci mon Mythe Fondateur d'être de retour dans ma vie, et surtout, surtout, surtout : Merci Julie d'exister, tout simplement.

I'm back !

La prochaine fois, je râlerai.

mercredi 9 novembre 2005

coup de blues

Julie me manque... beaucoup.

mardi 13 septembre 2005

Prendre son pied (en photo)

Du soleil, de la chlorophylle et de l'eau.

(Parc du Chateau de Versailles - 28 août 2005)

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