Métaphore, il fait froid dehors - Mot-clé - Julie - Commentairesjournal égotiste2023-11-25T15:43:44+01:00xaveurn:md5:ba79e22174f3c7fd63a26fdd685497beDotclearle bonheur - JANOSurn:md5:8e38aaf7273680da7b8ffb4cd320d24a2010-10-14T23:15:21+02:002010-10-14T22:15:21+02:00JANOS<p>J'ai beaucoup aimé que d'apprendre les choses de la vie et du bonheur. Il y a tant de petits détails que tant de gens ne voient pas et oublient qu'une simple chose, pensée positive, une rivière qui coule et n'est point écoutée, un repas entre amis, des étoiles, un ciel bleu, un regard d'un passant. Poutant, nous pouvons vivre au mieux notre quotidien et dans la bonne humeur, juste une joyeuse pensée qui traverse notre l'esprit ! Je suis content d'avoir une belle amitié et qui demande qu'à grandir !</p>Souvenirs de Jordanie - el_kadirurn:md5:d1570a26e572c73b5363cc99d22757042009-04-14T15:35:52+02:002009-04-14T16:39:45+02:00el_kadir<p>je suis tomber sur votre site par hasard!!!j avoue qu'en réalité je cherchais ce que mon mari pouvait me ramener de Jordanie, lieu ou il se rend dans quelques jours. je me suis mise a dévorer votre texte et j'avais l'impression d y être!!!j'ai été touchée par votre passage sur cette nouvelle "maturité" que vous avez acquis en vous rendant dans ce pays....si seulement votre discours pouvait se répandre....<br />
merci de nous avoir fait voyager avec vous!!!</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - Stixurn:md5:a50118b90370a3b9b77e2a13ff82958b2009-03-15T01:28:10+01:002009-03-15T01:28:10+01:00Stix<p>Une rupture est un deuil, même quand c'est toi qui la choisis... en tout cas, la mienne je l'ai vécue comme un échec plutôt douloureux!</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - Kozlikaurn:md5:7cf7d6c62454e6f30959870430a4a62c2009-02-02T22:15:56+01:002009-02-02T22:15:56+01:00Kozlika<p><em>Alors écoute ma musique,</em><br />
<em>Qui mieux que moi te le dira</em></p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - presque toujoursurn:md5:608a8aff15bc4e576b7bf82dbbb16ac92009-02-02T13:19:27+01:002009-02-02T13:19:27+01:00presque toujours<p>Gilda...: en l'occurrence c'est moi qui l'avais quitté. Ça n'en était pas moins dur.</p>
<p>Je ne connais pas ton histoire mais... tu es sûre de ne pas avoir changé, toi ? Si elle est restée la même... (Et puis une rupture d'amitié, c'est comme en amour, hein, à un moment il faut <strong>accepter</strong> et puis passer à autre chose...)</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - gildaurn:md5:3752be1b84328e0a01b27336156097172009-02-02T13:02:03+01:002009-02-02T13:02:03+01:00gilda<p>Je dirais même plus <img src="/themes/default/smilies/wink.png" alt=";-)" class="smiley" /> une rupture subie "c'est faire le deuil de quelqu'un qui n'est pas mort". Je suppose que si on est celui ou celle qui a décidé de quitter, c'est différent.</p>
<p>Je comprends d'autant mieux ce que tu veux dire, que j'ai le souci inverse (sachant qu'il s'agit de tout autre chose puisque c'est une grande amie que j'ai perdue et non quelqu'un avec qui je vivais) : nos chemins inévitablement nous font nous croiser, son travail fait que je ne suis pas complètement coupée d'elle, de ce qu'elle devient, et non, elle est bien la même, ce qui faisait qu'on se correspondait si fort est toujours là. Seuls semblent avoir disparu ses sentiments de tendresse et d'affection pour moi, et encore la dernière fois j'ai bien vu que tout n'était pas mort, mais qu'elle obéissait (à quoi ? à qui ? pour se prémunir de quoi ?).<br />
Je crois que c'est bien pour toi que tu l'aies vue changée, Julie. Un pas de plus vers souffrir moins, même si ce n'est pas évident pour l'instant.</p>
<p>PS : Ce que tu écris me rappelle la fin de "1984", où le narrateur après sa libération revoie un jour celle qu'il aimait et mesure qu'ils ont tant traversé qu'ils sont devenus différents. Je ne sais plus les phrases précises mais il me semble qu'il était question de consistance différente.</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - presque toujoursurn:md5:e3c767c546f3623f274914120cbf31ee2009-02-02T11:28:02+01:002009-02-02T11:28:02+01:00presque toujours<p>Les réflexions d'Emma m'ont fait me rappeler d'une séance chez Madame des Questions, où j'avais pleuré "une rupture c'est faire le deuil de quelqu'un qui n'est pas mort"...</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - Emmaurn:md5:fd54e31129a7c38c5bb43ed70397a0972009-02-02T10:31:40+01:002009-02-02T10:31:40+01:00Emma<p>Xave, loin de moi l'idée de vouloir manquer de respect à ta vie, ton histoire, tes souffrances et la façon dont tu les gères ; loin de moi l'idée de porter un jugement (mais vraiment très très loin).<br />
L'obscénité de mes questions est un peu volontaire ; c'est pas mon idée, c'est ce philosophe de l'Antiquité, sage-femme acide, là, qui prônait cette technique de questionnement... (et hop, comment se défausser de ses responsabilités <img src="/themes/default/smilies/smile.png" alt=":-)" class="smiley" /> )</p>
<p>Quand je parle de patine mensongère, je parle de la façon dont on revit le souvenir, pas du souvenir lui-même. Les moments étaient très beaux, votre bonheur réel, je n'en doute pas un instant ; je dis juste que les <em>réminiscences</em> sont l'intériorisation de ces moments et qu'elles se confondent avec ton état présent, forcément, puisque c'est <em>toi</em> qui te souviens, <em>maintenant</em>. Alors ce qui surgit fait écho à ton état présent, à ce que tu veux inconsciemment retenir, à ce que tu veux actuellement ressentir. Le souvenir devient coïncident avec le présent lorsqu'il remonte à la conscience, et c'est ce téléscopage qui le rend "malhonnête" : un peu comme un manque d'objectivité, comme un article de presse orienté, tu vois ce que je veux dire ? Je dis "tu" mais ça n'est pas spécifique à votre histoire : c'est pareil pour tout le monde.</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - xaveurn:md5:9a7481f0c5eb0d3b9c58d2f8181b394f2009-02-02T01:09:55+01:002009-02-02T01:09:55+01:00xave<p>Oui, je peux. C'est prévu même.</p>
<p>(précisions sur le reste : On parle de sept ans de ma vie, là, dont quatre de bonheur immense, pas amélioré par la pâtine, puisqu'il n'est que de relire mes écrits de l'époque pour me voir heureux. J'ai la faiblesse de penser qu'elle l'était aussi.)</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - Emmaurn:md5:c01f728ba2c130bd8cadd8c61a2544a22009-02-02T00:59:35+01:002009-02-02T00:59:35+01:00Emma<p>(Je vais faire dans le jianzhi littéraire, d'avance pardon pour les saccades alors que ton billet était si fluide...)</p>
<p><em>Si je suis amoureux, c'est d'un souvenir, d'un fantasme. C'est d'une fille qui n'existe pas, ou qui n'existe plus.</em><br />
C'est un pas de géant, ça.</p>
<p><em>Si je suis amoureux, c'est d'une fille qui avait un regard que je n'ai pas retrouvé</em><br />
Et à j(a)uger le futur à l'aune du passé, tu risques de ne jamais le retrouver...<br />
Bien entendu qu'elle était un être singulier et tout à fait unique... parmi d'autres <img src="/themes/default/smilies/smile.png" alt=":-)" class="smiley" /> Cette boutade discrète pour dire que c'est sans doute ton regard qui doit changer également ; plus que la chance de recroiser un jour une fille qui lui ressemblera ou sur laquelle tu pourras projeter cette ressemblance, ce sont peut-être tes yeux qui doivent se rééduquer à voir loin, après 4 ans posés sur elle et sur le bonheur immédiat qui t'entourait. La lumière aveugle certainement au début, les perspectives sont fuyantes et l'horizon à perte de vue angoissant, mais toi qui aimes la vie et les voyages, tu as tout pour apprivoiser ce nouveau point de mire et te réjouir in fine de ces nouveaux paysages... non ?</p>
<p>C'est dur de perdre un vivant ; peut-être plus que de perdre un mort en apparence car c'est moins dans l'ordre des choses, on est moins préparé. La séparation n'est pas dans les termes du contrat initial ; la mort, oui. Alors on ne sait pas trop comment accepter, comment se résoudre, comment résoudre l'équation paradoxale de cette réalité qui n'est pas tragique et qui pourtant, pourtant, ne cesse de nous apparaître comme telle.<br />
Mais pourtant, qu'as-tu perdu ? Les souvenirs sont encore beaux (même si un peu malhonnêtes parfois : la patine de la nostalgie n'a pas son pareil pour les maquiller...) ; l'expérience t'appartient définitivement et t'a construit ; tu as appris sur toi-même à travers elle et à travers vous ; le bonheur t'a perfusé et comme c'est trop bon, tu y reviendras, même tout seul... alors quoi ? Le futur ? Mais le futur est aussi un fantasme... la preuve <img src="/themes/default/smilies/sad.png" alt=":-(" class="smiley" /> Le futur n'est pas écrit, personne ne sait à quoi il (je veux dire par ce "il" "le futur", mais aussi "l'autre") va ressembler ; ou alors si c'était le cas, tu as perdu une prison, et c'est le moment de te réjouir.</p>
<p>(Je sais, je fais dans la provocation, je fais me faire lyncher ; c'est parti...)</p>
<p><em>Et être amoureux, pour moi, c'était aussi me voir à travers ce regard là</em><br />
Là je ne suis pas sure de comprendre... tu peux expliciter ?</p>Je ne peux plus dire "Je t'aime"... - meerkaturn:md5:2258ada6a8e2e0363f31d1a202c3ef3b2009-02-01T23:35:00+01:002009-02-01T23:35:00+01:00meerkat<p>Pfiouuh, c'est tout à fait cela. C'est un drôle d'effet de voir ce sentiment d'aimer une idée, <em>d'aimer dans le vide</em> formulé et écrit. Peut-être que cela fait du bien. Qui sait ? Il n'empêche... Et il n'empêche que finalement entre les sentiments des hommes et des femmes, entre les façons de continuer à ne pas oublier, il n'y aurait pas tant de différence.</p>les petites routes qui tournent.... - Fran Cizolmeurn:md5:f33a6da958310328c72d7a56f0ae520e2008-10-07T01:23:50+02:002008-10-07T00:23:50+02:00Fran Cizolme<p>Moi les femmes que j'ai connues n'ont jamais fait de chichis lors des voyages sur les routes sinueuses. Faut dire que ligotées dans un coffre on fait moins la maligne hein !!! on l'entend moi ta grande g....!!! bon faut que je prenne mes médocs...zzz...zzz...zzz</p>les petites routes qui tournent.... - emmaurn:md5:2ab5459a99742c4a5edb25f531affed82008-10-05T18:47:54+02:002008-10-05T17:47:54+02:00emma<p>ça dénote mon côté dyslexique ou ma dernière nuit de sommeil quasi inexistante (vivent les mariages de copains) mais je voulais écrire "détoner" en fait.<br />
Pardon, je vais me coucher <img src="/themes/default/smilies/smile.png" alt=":-)" class="smiley" /></p>les petites routes qui tournent.... - emmaurn:md5:42ae5eb1afeabf0d6f2f36165be2b02b2008-10-05T18:30:43+02:002008-10-05T17:30:43+02:00emma<p>Euh si je puis me permettre également de dénoter, je trouve personnellement que les hommes capables d'apprécier "l'aventure" et de l'initier, sans pour autant que celle-ci ne ressemble à un trip coupe-gorge suicidaire ou physiquement infaisable pour une fille même sportive (oulà, je sens que je dis quelque chose qui ne va pas plaire à tout le monde...), que les hommes curieux et encore capables de s'émerveiller de petits riens impalpables, ne courent pas les rues non plus... Il me semble que ce n'est pas une question de sexe mais plutôt de caractère, voire même de société.</p>les petites routes qui tournent.... - Mavie (de retour)urn:md5:271bf6e131b5c5f00a34c77286081d562008-10-04T14:24:06+02:002008-10-04T13:24:06+02:00Mavie (de retour)<p>Si je peux me permettre, Satmantdi, la description faite d'une "VRAIE fâme" me fait plutôt penser à une VRAIE fâme...de footballeur!<br />
Or, Xave n'est pas footballeur...c'est peut-être pour ça...<br />
Ok, je re-pars...</p>les petites routes qui tournent.... - samantdiurn:md5:f14540575be99d4e2bb255dc7941b7652008-10-01T14:27:28+02:002008-10-01T13:27:28+02:00samantdi<p>Je te comprends : une fille qui aime les road movies, ça ne court pas les rues.</p>
<p>(ceci était ma minute : contribuons à ruiner le moral des coupains)</p>
<p>Une VRAIE fâme ne sait pas lire les cartes routières, a souvent envie de faire pipi, vomit dans les tournants et s'ennuie rapidement en contemplant des rangées de platanes et des champs de blé.</p>
<p>Il y a aussi l'option "chaudasse" à qui les longues promenades en voiture donnent envie de faire l'amour (surtout l'été).</p>
<p>Cette option est rarissime bien que sur représentée dans les films qui passent après 23h le dimanche soir sur M6.</p>Je suis une femme de marin - gildaurn:md5:f08771a196b101b3ae3a88f32b30cbbf2008-09-10T01:11:29+02:002008-09-10T00:11:29+02:00gilda<p>Tu es une femme de marin, depuis Bruxelles, je n'osais pas te le dire mais tu as vraiment la tête de l'emploi<br />
(meuh non je rigole).</p>
<p>Je comprends très bien ce que tu veux dire.</p>
<p>Un texte cousin page 130 du nouveau livre de Laurent Gaudé (il s'agit d'une relation mère enfant, mais cependant : ce même type d'impressions).<br />
Il y a deux semaines, j'ai éprouvé l'inverse, au sujet de mon absente : comme si elle était soudain revenue à penser à moi et que c'était avec bienveillance et tendresse, comme autrefois. Et puis là, à nouveau, peu d'écho.</p>Je suis une femme de marin - fredurn:md5:bccaa4e6e7f0a4991d1d36f4c2b10c3e2008-09-09T22:14:19+02:002008-09-09T21:14:19+02:00fred<p>Ayant vécu une année loin de ma fiancée, je connais -un peu voire beaucoup- cette sensation.<br />
J'avais souvent l'impression (tristement redondante) qu'elle était avec quelqu'un que je serai sûr de ne pas aimer (ou que je n'aimerai pas qu'elle fréquentât).<br />
Ou alors, la sensation qu'elle fait quelque chose ou pense quelque chose sur lesquels je n'ai aucun pouvoir : non pas que je dirige sa vie mais j'aime donner mon avis.</p>
<p>Pour en revenir à toi : si elle a rencontré quelqu'un, à ton tour désormais, même si la tâche est très ardue, j'en conviens.</p>
<p>Courage.</p>
<p>ndlr : peut être est ce la voie de Phil Collins ?</p>il y a un an - xaveurn:md5:93bc001cc85405cf1ff9b69ee4d9f0902008-07-23T16:19:10+02:002008-07-24T10:13:25+02:00xave<p>Il n'aurait pas eu beaucoup de valeur, ce test là ; Je crois (j'espère) qu'au cours des années précédentes elle aurait réagi différemment. La tempête venait justement de la réalisation que j'étais en train de devenir accessoire et inopportun. Que nous n'étions effectivement plus un couple.</p>il y a un an - mirovinbenurn:md5:5cf5ad08f77ea345c651b85e12a986cd2008-07-23T07:08:10+02:002008-07-23T06:08:10+02:00mirovinben<p>J'ai la conviction profonde que si l'autre n'accepte de partager que les bons moments, alors c'est un club de loisir, pas un couple. Et je comprends que ça ait pu déclencher une sacrée tempête dans ta tête.</p>
<p>Faut-il alors envisager un petit test "aide moi, j'ai un problème" au début d'une relation ? Ça peut paraître un brin calculateur mais éviterait des douleurs plus grandes quand les liens forcissent... non ?</p>