Métaphore

Il fait froid dehors

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Vieux machin

Coffee

-Vous n'êtes jamais venu ? Vous avez des antécédents ?
-Vous avez du temps devant vous ?

Je me suis accordé six mois de vacances sans médecins ou presque. Maintenant, j'ai du rattrapage à faire, et les crises d'angoisse habituelles en face des nouveautés que je ne comprends pas (et qu'il va sans doute falloir du temps pour examiner, puisque vacances également pour les médecins). Chier.

photo : Coffee

Mort en bonne santé

Hier, sous un soleil magnifique, je me suis mis en route pour aller passer mon premier bilan de santé : je suis officiellement dans un condition physique indécente, jusqu'aux détails les plus idiots[1]. C'est à peine si on m'a trouvé un chouïa trop de cholestérol. Pour fêter ça, en rentrant, j'ai fait un sort au saucisson-souvenir de Corse.

Malheureusement, ça n'a pas duré, puisqu'en sortant, en T-shirt, je me suis pris un déluge de proportions épiques[2] : Les dix minutes de marche pour rejoindre ma voiture ont été suffisantes pour que je rentre dans celle-ci aussi trempé que si j'étais allé plonger dans une piscine tout habillé[3]

Hier, j'étais dans une condition physique indécente. Aujourd'hui, j'ai la crève[4].

Notes

[1] On vous a déjà dit que vous aviez de bonnes dents ? Oh oui, on a du vous le dire !

[2] Et colégram.

[3] Je suis connu pour mes exagérations, je vous jure que pour une fois ce n'en est pas une.

[4] Je veux que mon épitaphe soit Ci-git xave, mort d'une pneumonie contractée en vérifiant qu'il était en parfaite santé.

livret médical

Je n'ai vraiment ouvert les yeux qu'à midi aujourd'hui. Ça fait un peu plus de six heures de sommeil.

Une heure après, j'arrivais à me lever pour me faire un café.

À quinze heures, j'essaie de me lever. Oreille interne inefficace, perte de l'équilibre, gueule dans le mur, crispation brutale et généralisée. Je ne suis plus qu'une crampe.

À seize heures, poussé par le vice, je vais fumer la deuxième cigarette de la journée.

Le piano me nargue, mais il impose de n'être pas couché.

Nausées, envie de vomir. C'est au moins aussi efficace que le xanax pour mettre la pâtée à ce connard de cerveau.

Un ami arrive dans une heure qui parcourra 300 bornes pour me babysitter. Gêné de ce que je vais lui montrer, gêné de le voir faire ça pour moi, mais reconnaissant. Mes amis sont beaux.

J'ai faim. Pas de boites ici, incapable de cuisiner. Menu de la journée : un café, et un reste de mini crumble industriel.

Il faudrait que je lance une lessive, que je ramasse ces fringues, ces mouchoirs, ces emballages... Une semaine de décalque de la tête et la maladie qui s'enchaîne, ça commence à se voir.

18:15 : ce mouchoir est différent des précédents, jolie couleur. Qu'allais-je faire de tout ce sang de toutes façons ?

Ce billet sera mis à jour en fonction de l'avancée du délire. Ou pas.

Bulletin de santé

Le docteur a dit : une semaine. C'est bien, j'ai besoin de repos plus que de toute autre chose. Je ne sais pas pourtant si c'est la meilleure période pour me retrouver en face à face avec moi en réduisant les interactions sociales à la portion congrue.

Enfin, ça va faire avancer.

"C'est vraiment pas ta semaine !"

Écroulé dans mon lit, dans la brume, le corps lâche. Les nuits de trop courtes heures ont baissé les défenses physiques et pour une fois, je n'ai pas résisté aux saloperies en goguette en ce moment.

Service minimum. Je me sens tellement assommé que même les angoisses n'arrivent pas à percer le brouillard. C'est toujours ça de pris.

L'esprit m'épate : je ne suis jamais malade, physiquement, sauf dans les périodes où la tête ne va pas.

et le troisième jour, il ressuscita des morts

Contrairement à ce que je vous disais l'autre jour, ce n'était vraisemblablement pas un simple angine : Au vu des symptômes, ça ressemblait plus à une très grosse grippe. Avec pour bien faire un timing parfait, puisque si ça faisait plusieurs jours que j'avais mal à la gorge, c'est après être sorti de chez le médecin vendredi après-midi pour une histoire qui n'avait rien à voir que je me suis mis à n'aller pas bien du tout.

Suis je malade ?

Dans la nuit de samedi à dimanche, je me suis réveillé vers deux heures moins cinq pour aller aux toilettes. Quand j'en suis sorti, il était plus de trois heures. Suis-je malade ?

Je vais mourir

Qu'on m'excuse cette entrée en matière misérabiliste, ce dès le titre, mais voilà : je suis malade. Il n'est pas forcément dans mes intentions de vous imposer jérémiades et récriminations, mais mâle je suis, et en tant que tel, je me dois de me conformer à certains usages. Adoncques voilà : j'ai un rhume, par conséquent je vais mouriiiiiiiiiiiiir !

J'ai bien conscience du peu d'intérêt que la nouvelle peut déclencher chez vous, j'ai tenu pourtant à vous l'assener afin que vous ne vous inquiétiez pas de l'absence temporaire de mise à jour ici. Oh bien sûr, d'aucun me diront qu'un rhume n'empêche guère d'écrire. Wuais ben si !

Celui là en tous cas, il m'empêche de faire pas mal de chose : voilà trois jours que je suis dans un état déplorable et que je me liquéfie peu à peu, et ça commence à avoir un certain effet, ne serait-ce que la fatigue (je me réveille plusieurs fois par nuit à cause de mon nez qui coule,) partant le manque de concentration. Et donc je suis à peu près inapte au boulot, inapte à la musique, inapte au surf sur le Net, je suis même inapte au regardage de conneries à la télé : je ne réussis pas à suivre.

Alors voilà, maintenant qu'un passage au toilettes m'a fait me rendre compte de l'étendue des dégâts[1] et que j'en suis à me demander si je ne vais pas prendre demain le troisième jour de congé maladie de ma carrière, j'ai décidé de vous prévenir : je risque de fonctionner au ralenti quelques jours, ne m'en veuillez pas.

Ça va être beau pour notre concert samedi, tiens.

Notes

[1] Non, aucun problème digestif : j'y suis allé pour me passer de l'eau sur le visage, vu que je me suis tellement mouché que j'ai le nez rouge d'une pommette à l'autre et du front à la bouche, atrocement irrité et douloureux. Et j'en ai profité pour faire peur à un collègue qui découvrait mon été et mes yeux injectés de sang (car je me mouche tellement que même mes yeux eux même se liquéfient.)

Sueurs froides

Cette semaine, mon nouveau lecteur DVD s'est mis à merder, mon nateur s'est bien viandé avec des tas de données dessus, j'ai eu une tumeur et des crises d'angoisses...

je n'ai rien

J'sais pas c'qu'il y a ....

Ceux qui mourront du Sida sauront au moins qu'il le font pour une bonne cause: Pour défendre les préceptes rétrogrades d'un pape sénile pour qui l'horloge temporelle s'est arrêtée, un jour, en Palestine, au pied d'une croix.
Petit Padawan, in "Apportez un seau et une éponge, le Pape fuit"

J'suis raplapla...

Je n'ai rien. Je suis le plus grand simulateur de la terre. J'ai passé une matinée aux urgences pour m'entendre dire que j'allais très bien. Bon, ce n'est pas tout à fait vrai : je me suis salement amoché la jambe, mais aucun os n'est cassé. Je peux courir et sauter si je veux, en faisant la grimace, certes, mais je peux.

J'ai mal.

C'est la faute à Murphy

Eh bien ! voilà madame la Marquise :
Apprenant qu'il était ruiné,
A pein' fut-il rev'nu de sa surprise
Que m'sieu l'marquis s'est suicidé,
Et c'est en ramassant la pell'
Qu'il renversa tout's les chandell's
Mettant le feu à tout l'château
Qui s'consuma de bas en haut.
Le vent soufflant sur l'incendie
Le propagea sur l'écurie,
Et c'est ainsi qu'en un moment
On vit périr votre jument,
Mais à part ça,
Madame la Marquise
Tout va très bien, tout va très bien ...

Paul Misraki (et ses copains)

Ou à ma maladresse...

Collerie ! La semaine dernière, je gambadais tel un cabri pour rentrer chez moi, j'ai voulu sauter au dessus d'une haie-rembarde-chaîne (appelez ça comme vous voudrez), j'ai glissé en prenant mon appui et bang, voilà que je m'éclate mon tibia préféré (le droit) sur la dite haie-rembarde-chaîne (vous avez le droit de garder le même nom.) Je me relève, m'en vais comme un prince, personne n'a rien vu... Et trente mètres plus loin, une fois passée la grosse douleur à mon amour propre, je m'aperçois que j'ai une grosse douleur à la jambe.

c'est affreux : je vais bien.

à méditer:

J'ai la rate
Qui s'dilate
J'ai le foie
Qu'est pas droit [...]
J'ai les g'noux
Qui sont mous
J'ai l'fémur
Qu'est trop dur
J'ai les cuisses
Qui s'raidissent
Les guiboles
Qui flageolent ...

Gaston Ouvrard

pré-médité:

Quel coup de théâtre ! Je suis allé hier chez le médecin avec tous mes résultats d'examens, en espérant que ce qu'il me trouverait serait assez bénin pour me permettre de partir en vacances et surtout de ne pas trop m'inquiéter. Et voilà que le couperet tombe : je suis en pleine forme !

hein ?

Me voilà avec une oreille bouchée. Ça fait tellement longtemps que ce n'était pas arrivé que je croyais que c'était fini, cette saloperie !

convalescence

En contrepartie de ces sacrifices véniels, j'indiquerai aux Nonaliens sincères comment l'Escargot a créé l'Homme, non pour l'asservir, mais pour élever son âme, et comment celui-ci s'est aliéné toute chance d'évolution spirituelle en dévorant le Créateur avec du beurre à l'ail et au persil.
Nonal

Shazam ! Me v'la de retour, après trois semaines de vacances dont deux de maladie. J'en ai profité pour prendre une fois de plus du retard dans mes mises à jour, mais j'ai quand même pris quelques notes ici ou là qui rejoindront les archives très vite (oui, je sais, je deviens un habitué de la triche ...)

Deux très bonnes excuses me permettent de me sortir de là : j'étais en vacances, c'est-à-dire loin de tout nateur la plupart du temps, et malade comme un chien, je veux dire comme une chien lorsqu'il est très malade : j'ai détruit trois hectares de foret amazonienne en mouchoirs en papier. Et pour faire honneur a mon hérédité, j'ai été plus que malade : j'ai été mourant. C'est toujours comme ça dès qu'on a un rhume chez les membres masculins de ma famille.

Malââââdeuh !

-Dans l’état où je suis, je voudrais de la purée : un truc mou, chaud et salé, c’est juste ce qu’il me faut.
-Ah, si tu veux, je connais autre chose qui correspond à ça, et il parait que c’est plein de vitamines en plus.

Moi et une de ma famille. On n’est pas sauvés.

Galaxy Quest est un bon ch’ti film bien marrant, surtout pour les fans de SF (les vrais, ceux qui n’ont pas d’amis).
Jean-Philippe Pou / Mitose.net

Bonjour ! Bonne année ! Quoi en retard ? Ben oui : j’ai été malade. D’ailleurs je le suis toujours., je suis en train de profiter du premier arrêt-maladie de toute ma vie professionnelle (le dernier, c’était pour éviter un partiel, il y a loin).

Pourquoi malade ? Comment malade ? J’ai eu une grippe. Oui, comme tous les ans, oui, mais celle là avait quelque chose de particulier : je l’ai eue chez le Toune. Or le Toune est toudis malade et je le moque, je ne pouvais me permettre d’être mourant devant lui, alors je suis resté tout vaillant. Tout vaillant en me vidant par tous les orifices, mais tout vaillant quand même, alors que je sais habituellement comment réagir à la grippe : je m’allonge, je m’enfonce sous les couvertures, je prends des vitamines, un seau et j’attends deux jours, et puis voilà, ça passe. Mais je me suis rendu compte qu’en jouant et en buvant des bières, ça marchait beaucoup moins bien. Le résultat ne s’est pas fait attendre : lors que la grippe était en train de me quitter, je me suis rendu compte que le manque de sommeil avait amené une très forte nervosité, laquelle avait déclenché des crispations monstrueuses, des aphtes trèèèès désagréables et autres joyeusetés tout aussi comiques.

tas de trucs en retard

Le retard est la politesse des artistes...
André Maurois

Et bien voilà. Avec le recul, je me dis que ça devait arriver un jour : je suis top en retard. Plus que ça même : ma dernière contribution remonte à trois semaines, ça fait un bail. Et une fois qu'on est complètement à la bourre, on ne se presse même plus : 24 jours de retard, ça n'a pas vraiment un plus grand caractère de gravité que 23 jours...

Que s'est il donc tout passé pendant mon absence webienne? Et bien tout d'abord j'ai changé de voiture. Deux fois. Disons qu'il y a trois semaines (à l'époque de l'édito écrit par le toune), j'ai pris un taxi. Dans l'aile de ma ouature... J'ai un peu tous les torts de mon coté et ça me fait mal de le dire, mais bon, c'est arrivé, on n'y peut rien changer.

fermé pour maladie

Je suis... malââdeuh !
Serge Lama

Euh.... je crois que tu l'as déjà utilisée, celle là...
ma conscience

Bon, j'ai commencé à écrire mon édito du jour, mais je crois qu'il arrivera demain : j'ai en effet tous les symptômes de la grippe -même s'il y a de bonnes chances que ce ne soit pas réellement ça.

Vous attendrez donc demain pour que je vous parle de clavier, de girafes ou d'embouteillage. Ou des trois. Ou d'autre chose d'ailleurs, mais étant donné que j'ai déjà commencé sur l'un ou l'autre de ces sujets là, je serai sans doute trop paresseux pour repartir de zéro.

Donc, je vous remercie de votre patience, moi je vais aller mourir dans un coin. Bon, d'accord, j'exagère, je me suis quand même levé ce matin, mais c'était à seule fin de vomir ailleurs que dans mon lit. L'erreur a été de n'y pas retourner de suite. Erreur à laquelle je vais remédier dès que j'aurai fini ma demi-journée de boulot.

maladie

Je suis ... malââââadeuh !
Complètement... malâââââdeuh !

Serge Lama ...

JE SUIS ... MALÂÂÂÂÂÂÂÂADEUH !
COMPLÈÈÈTEMEEEENT... MALÂÂÂÂÂÂÂÂÂDEUH !

...repris par Lara Fabian

Vous savez, il y a bien longtemps que j'ai cessé de faire attention aux critiques sur mon nez : ça rentre par une narine et ça ressort par l'autre...
Ringo Starr

C'est dur de vieillir. C'est dur d'affronter la dégénéréscence. Avoir un jour été beau (si, si, ça m'est arrivé), jeune et fringuant et se retrouver le corps douloureux, la respiration difficile et l'endurance presque nulle.

Et pourtant, c'est bien ce qui est en train de m'arriver. Oh bien sur, ce n'est pas irréversible, il se trouve simplement que depuis quelques jours je suis malade comme un chien (ce qui n'est bien entendu qu'une expression, aux dernières nouvelles, mes chiens se portent comme un charme, voir même comme des charmes, puisqu'ils sont plusieurs (remarquez bien qu'il ne s'agit pas à proprement parler de mes chiens, mais de ceux de mon père.))