Métaphore

Il fait froid dehors

Maha-ha viiiiie...

Ma vie, mon oeuvre, mes aventures, mon nombril.

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Ministres

Vie sociale : du mieux.

Y-a-t'il un photographe dans la salle ?

J'ai eu il y a quelques semaines un reflex entre les mains et c'est quand même autre chose que mon appareil-photo bijou. Il me trotte dans la tête depuis d'acheter quelque-chose d'un peu costaud avec si possible un grand-angle, une bonne macro et surtout un viseur.

Je suis un mauvais photographe et je ne suis pas prêt à mettre des fortunes dedans, ça serait gâcher. Idéalement, une fourchette de 200/300€, ça serait déjà bien. Mais j'ai cru voir que de nos jours, on avait déjà des appareils sympathiques dans ces prix là. C'est sans doute un peu peu pour un réflex, c'est limite pour un micro-4/3, mais on dirait qu'il y a des bridges corrects, genre le Lumix DMC-FZ28 ou le S2000h de Fujifilm.

Oui mais moi, j'y connais que dalle. vous avez des idées ou des choses à vérifier, vous ?

Illustration

Un de mes derniers billets, visiblement pas assez clair (je me flagelle) et du coup pas toujours bien compris, a attiré plus de commentaires qu'à l'accoutumée. Parmi ces commentaires, celui de Kozlika explique très bien et en très peu de mots ce que je n'ai pas réussi à exprimer en plusieurs paragraphes : la peur de perdre la colère.

on peut même simplifier encore : la colère. J'aime les gens qui l'ont en eux, je me sens étranger aux gens qui ne l'ont pas, je méprise ceux qui la perdent (ou qui la simulent à une période donnée.) Ça cerne ce dont je voulais parler beaucoup mieux que cette histoire de conformisme.

Avec l'Enchianteresse, pour passer le temps, nous faisions un test de psycho pour savoir quel âge nous avions dans notre tête. Il apparaît que j'ai entre 16 et 18 ans, l’âge de la révolte !

ah ben voilà.

La, ça n'a pas de sens...

J'ai fait un rêve assez compliqué cette nuit, et dix minutes avant l'heure programmée de la sonnerie je me suis réveillé au moment où dans mon rêve, autour d'une lavogne de montagne, je comptais des moutons.

Ça marche donc dans les deux sens.

Je vais devoir prendre un abonnement

Ça fait quelques temps que je m'interroge par intermittence sur mes entrevues avec la Dame des Questions. Je n'ai jamais envisagé les relations de ce type comme étant à long terme, mais plutôt comme une aide ponctuelle lorsque c'est nécessaire. Il est indéniable que c'était nécessaire, mais là, c'est ponctuel depuis un an bientôt et comme, sans aller vraiment bien, je sens pourtant que je vais mieux, je commence à me demander si j'en ai toujours besoin.

Plus précisément, il y a eu ces derniers mois quelques séances pas forcément inintéressantes, mais dont je n'ai pas senti qu'elles m'apportaient autant qu'auparavant. Ce n'est pas non plus un chemin linéaire et je peux sortir chamboulé d'une entrevue alors que celle de la semaine précédente m'avait laissé un peu circonspect.

Voilà pourquoi ces dernières semaines je me suis interrogé sur le bien fondé de continuer, au moins à ce rythme là. Sachant que le temps passant j'avance et je recule, comment voulez vous que je prévoie ce que sera demain ? Tout de même, je commençais à penser très sérieusement à aborder le sujet d'un éventuel ralentissement avec elle.

Poursuivi

Perfect Dark

C'est fou comme le temps passe !

Je viens de m'apercevoir en cherchant totalement autre chose qu'il y a un an tout pile que je suis passé à Dotclear2.

Accessoirement, il y a aussi un an tout pile que nous avons acté la séparation totale de nos chemins. À part deux fois une heure, nous nous y sommes tenus.

Presque Traitresse

Elle: bon j'avais tort de presque m'inquiéter pour toi
tu vas manifestement très bien
vu que tu es inintéressant, tu vas bien

C'est bon de se sentir soutenu.

Limites de la culture bio

Il y a des bestioles dans ces patates...

Grand ménage de printemps

L'autre jour, j'ai fait un grand tri dans mes différents gestionnaires de contacts. La veille, j'avais revu le système de classement de mon courrier pour éliminer ce qui n'y était pas utile. ces derniers temps, j'ai refait le classement d'un gros paquet de photos de ces dernières années, en en profitant pour les géo-localiser.

Alors bien sûr, certains font courir sur moi le bruit que je suis un archiviste compulsif, mais il ne s'agit pas d'archivage, ici, il s'agit de classement. j'ai une frénésie en ce moment. Et pas forcément de choses qu'on archive : ces derniers temps, ça a aussi été mes disques, ma bibliothèque, mes meubles ...

Je fais du rangement dans ce qui s'accumule, je dégage, je fais de la place, je désencombre. Je ne peux plus avancer dans le bordel et j'ai besoin d'y voir clair. La gestion à un seul niveau finit par demander trop de ressources et il est temps de hiérarchiser, de savoir ce qu'il faut garder sous la main et ce qu'on met de côté en attendant qu'on en ait besoin (non, je ne jette rien.)

Je crois qu'en ce moment, je suis en train de ranger ma vie.

veuillez excuser mon fils ...

Encore une fois, peu de temps et beaucoup de fatigue en ce moment. Je bosse sur du boulot au boulot, sur un projet perso en dehors, je profite des copains tant que je peux et je passe le reste du temps sur mon piano. Et encore une fois, ce site est le parent pauvre, mais promis, je reviens bientôt vous raconter des trucs sans intérêt.

En même temps, si j'écris moins, c'est sans doute que ça va mieux, non ?

Jeune

Jeune

Sur les rotules

L'autre jour, j'avais dit que je faisais un billet demain, et le demain en question est passé depuis quelques jours. Pas ma faute, monsieur le président : du boulot, des courses, des démarches, des projets, des bières et pas beaucoup de sommeil.

Je rattrape encore un peu de retard dans la vraie vie et j'arrive.

Archiviste compulsif : les vacances.

On me dit archiviste compulsif, c'est à dire que je ne sais pas jeter, je garde tout, je classe beaucoup. C'était vrai dans le temps pour ce qui est de la vraie vie, mais les murs n'étant pas extensibles, j'ai appris à me débarrasser de pas mal de trucs. Par contre, pour tout ce qui est fichiers informatiques, c'est tellement facile que je ne me prive pas.

J'ai encore sous la main à peu près tous les mails que j'ai échangés depuis 1997 (exception notable : j'ai perdu la première conversation que j'ai eue par ce biais avec mon ex) y compris tout ce qui est newsletters ou listes de discussions. Depuis cinq ans, le bouton effacer de mon compte GMail est resté comme neuf, mais j'ai des sauvegardes à part quand même, au cas où.

Bon parti

Peste, après tout cet étalage de ma sensibilité intérieure, voilà que m'arrive le surnom d'étalon de Bruxelles, de Monsieur le Président lui-même (avec lequel je n'ai pas couché, je vous assure.)

Si avec tout ça je pécho pas, c'est à désespérer.

Perte

Bon ben j'ai paumé mon keffieh, souvenir des vacances en Jordanie. Un des rares souvenirs de ma relation passée qui n'était pas enfermé dans un carton. Les choses se régulent d'elles-mêmes.

Chié.

La pizza, elle arrivero pas...

En ce moment, je suis dans un période où ma vie change sur plein de plans, alors autant aller jusqu'au bout et faire des choses dingues que je n'ai jamais faites jusque là. C'est comme ça qu'hier soir, les placards étant vides et n'ayant pas le courage d'aller faire des courses, j'ai décidé, pour la première fois de mon existence, de commander une pizza.

Ça tombe bien, il y a quelques jours, j'ai trouvé dans ma boite un prospectus pour arrivero.be, une boite sympa, qui livre des pizzas à Bruxelles. C'est exactement ce dont j'avais besoin, cool. Ça s'est passé comme ça :

Mon père est une mafia

Les voies d'Internet sont impénétrables : j'ai eu l'occasion il y a quelques mois de rentrer en contact avec une jeune fille originaire du même endroit que moi, et nous avons discuté la possibilité de covoiturer lorsque nous rentrions chez maman le week-end. Aussitôt dit, aussi tôt fait : le week-end suivant, c'était la Braderie à Lille, une bonne occasion d'aller retrouver ses racines, nous avons donc pris la route de concert. Le timing était un peu serré parce que j'avais ce jour-là rendez-vous avec mon dentiste. Nous en discutons un peu, elle me demande de qui il s'agit, je lui explique, elle me dit Oh, c'est marrant, le monde est petit, je suis déjà allé chez lui !

Je ne peux plus dire "Je t'aime"...

Elle m'a offert ce à quoi je n'avais pas eu droit après ma première grande histoire : une confrontation avec la réalité.

Et le fantasme n'a pas tenu la route : elle a vécu sans moi assez longtemps pour n'être plus la fille que j'aime. Une réflexion nous avait été faite lorsque nous étions ensemble que nous nous ressemblions de plus en plus à mesure qu'avançaient les années. Cette ressemblance n'était pas pour rien dans mon sentiment que nous étions l'un pour l'autre. Un an sans contact a fait disparaître ça ; la fille que j'ai rencontrée il y a quelques jours n'est plus celle dont je rêve, celle que je rêve depuis tant de longs mois. Il n'est pas besoin de chercher si c'est une bonne ou une mauvaise chose, la différence est suffisante pour que j'en sois conscient : Si je suis amoureux d'une fille, ce n'est pas de celle que j'ai croisée récemment. Celle là n'est plus ma Julie.

Elle est pratique, cette année...

Bilan de ma grippe : j'ai perdu quatre kilogs. Ça faisait un an que j'essayais de m'en débarrasser[1], de ceux-là.

Notes

[1] et forcément, l'exercice, ça marchait pas.

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