Un de mes derniers billets, visiblement pas assez clair (je me flagelle) et du coup pas toujours bien compris, a attiré plus de commentaires qu'à l'accoutumée. Parmi ces commentaires, celui de Kozlika explique très bien et en très peu de mots ce que je n'ai pas réussi à exprimer en plusieurs paragraphes : la peur de perdre la colère.

on peut même simplifier encore : la colère. J'aime les gens qui l'ont en eux, je me sens étranger aux gens qui ne l'ont pas, je méprise ceux qui la perdent (ou qui la simulent à une période donnée.) Ça cerne ce dont je voulais parler beaucoup mieux que cette histoire de conformisme.

Avec l'Enchianteresse, pour passer le temps, nous faisions un test de psycho pour savoir quel âge nous avions dans notre tête. Il apparaît que j'ai entre 16 et 18 ans, l’âge de la révolte !

ah ben voilà.