Oui, bon ben d'accord, je vous ai laissé sans nouvelles pendant quelques jours... Ça arrive. J'étais en train de bosser, pour le boulot et pour un camarade.
Pour le boulot parce que dans mon équipe de base : trois personnes, on en a eu un en congé, et l'autre est tombée malade. Du coup, j'ai passé quelque jours à faire le boulot de trois personnes, et ça laisse peu de temps pour la bagatelle. Surtout qu'un de mes deux boulots surnuméraires m'était glorieusement inconnu et j'ai eu l'auto formation la plus rapide et intense de ma carrière (Il s'agissait des backup de toutes les données de la maison, ça a une certaine importance.)
Et puis at home, le sieur Nonal a enfin cédé à mon insistance de plusieurs mois : il accepte, voire même il appelle de ses vœux une migration de son site actuel, sous SPIP, vers DotClear. Comme je suis un petit peu impliqué dans la vie de DotClear et que le Nonal et moi sommes assez proches pour qu'il me prête des cache-nez, je l'aide un peu dans la récupération des données de son site actuel vers la nouvelle plate-forme.
C'est bien comique : à ma gauche : SPIP, une base de données de trente deux tables et deux dehors, des informations disséminées à droite et à gauche, et plusieurs types d'articles aux formats bien différents les uns des autres, à ma gauche, DotClear, le challenger, un rôle, six tables, tout en légèreté. Faire rentrer les infos du gros dans le petit, c'est comique.
Bah, j'ai vu pire : ma propre transition à DotClear. Mes infos étaient dans des fichiers, pas dans des tables, et il me manquait un concept tout bête : les titres d'articles. J'ai du repasser sur cinq ans d'écrits pour retrouver des titres. Ici, rien de tel, mais faire cohabiter dans une seule table des infos contradictoires venant de plusieurs n'a pas été simple. Après il faut gérer les différence de format, vérifier que tout est bon ... J'y ai passé quelques jours, mais j'ai maintenant un script sql et un script Dotclear qui me permettront le moment venu de convertir la base SPIP en un Dotclear fonctionnel en trois minutes. Je me suis bien amusé.
Mais ça m'a pris du temps. Alors je n'étais pas là. Voilà.