Métaphore

Il fait froid dehors

Archives avril 2004

bof

pas top moral, moi... bof.

Every Sperm...

Every Sperm is Sacred, voilà bien un des plus grands numéros de music-hall de tous le temps.

les nouveaux péplums

Mais si tu veux, tu peux faire autre chose pendant que je vais au ciné...
Julie

Le week-end dernier, de passage en France, j'ai vu de magnifiques affiches pour "Troie", dont je n'avais absolument jamais entendu parler (mais il est vrai que je ne suis plus trop au courant des films en production depuis la disparition prématurée de mon meilleur ami.) Qu'est-ce que c'est encore que cette merde ?

Remarquez bien que c'est peut-être très bien comme film, je n'en sais rien, mais je doute... Rien que l'affiche respire le film de mercateux : d'après nos études de marché, ce type de film fonctionne très bien en ce moment, faisons en un de plus. On sent l'âme artistique derrière tout ça, non ?

Sidaction

Ah tiens, je suis amoureux !
MoiJe™

Un Sidaction de passé, un ! J'ai suivi Julie, mais je n'ai pas bossé autant qu'elle... Pour ceux qui ne le saurait pas, elle travaille pour le moment sur un projet de l'asso qui organise l'évènement, elle a donc fait partie des gens mobilisés pour encadrer un certain nombre de choses ce week-end. Et j'ai suivi.

Je ne suis sûr que bosser avec la personne dont on partage la vie soit la meilleure idée du monde, il n'empêche que j'adore la regarder travailler... Ca fait partie des moments où je me rend encore mieux compte que d'habitude que Julie, quand même, c'est quelqu'un ! Alors quand je la vois organiser des choses, gèrer des gens et être partout à la fois, je suis encore plus impressionné.

ils ne pomperont plus

Rouxel est mort. Les Shadoks ne pomperont plus. C'est pas bientôt fini, non ?!

faire part

StarTrek, les Simpsons et mes multiples DVD musicaux ont la douleur de vous faire part du décès brutal de mon téléviseur dans sa cinquième année.

Arnaud Fleurent-Didier

C'est pourtant pas mes yeux qui t'ont fait si belle...
Arnaud Fleurent-Didier

La musique, c'est de la merde. Et c'est en passionné d'icelle que je vous parle : ça fait une petite vingtaine d'année que je vis avec mes disques et mes instruments, et si j'ai une nette tendance à me passionner pour tout et n'importe quoi, la musique reste toujours la première de mes préoccupations.

Et puis la musique, c'est tellement divers et varié : des délires psychédéliques à la chanson à texte obscure, en passant par le jazz et ses multiples incarnations, la musique sérielle, les musiques traditionelles, les récitatifs, tout est bon. J'aime tout, ou plus exactement il y a toujours quelque chose d'intéressant, quelque soit le courant observé (oui, même ceux sur lesquels je crâche.) Et puis il y a une discipline que je respecte, qui a une place à part dans mon coeur, parce qu'elle a donné Brassens, Brel ou Vian : la chanson française.

Et ben c'est de la merde. Si.

Back to the 80es !

Je viens de tomber sur Dechavane et Carmouze sur un plateau en train de faire les cons avec des bestioles. Qui m'a projeté vingt ans en arrière ?

Page 23

La presse reflète l'impression de hardiesse que donne le pont et souligne cette esthétique du fer, Le Populaire s'en fait l'écho en ces termes : Un chef d'œuvre métallique... Une construction merveilleuse d'audace et de légèreté.
Monique Sclaresky
Il y a un siècle... Nantes
ISBN: 2-73733223.0

J'ai plutôt tendance à me tenir à l'écart de la mouvance Blog (je crois d'ailleurs que c'est la première fois en cinq ans que j'emploie le terme ici,) mais en ce moment se propage un petit jeu d'inspiration oulipienne qui me plaît bien, je vais donc y sacrifier :

En revenant de nantes...

-Tu me plais, fille.
-Tant pis !

Julie et moi (mais moi d'abord)

Tu quittes la Belgique pour aller en Bretagne ? Mais tu es vraiment amoureux de la pluie alors !
Une collègue.

Et donc, ainsi que je le disais avant-hier -oui, j'aurais du publier ce billet hier. Non, je n'ai aucune parôle-, nous voilà de retour de Nantes. Et ainsi que je le disais hier : c'était bien. Vraiment. Contrairement à l'expérience MaRDyCk : il y a huit ans, j'y suis allé avec le Toune, nous y sommes restés deux ou trois heures et en sommes repartis avec une mauvaise impression. Surtout lui, tant il est vrai qu'il a toujours été encore plus fort que moi (qui suis pourtant un professionel) en jugements à l'emporte-pièce.

Padehémix !

Mais que chuis bête : j'avais réglé mes DNS avec un champ CName sur le domain root, alors que ça aurait du être un A, du coup je n'avais pas de MX, pas étonnant que j'avais encore des problèmes de mail !

De Nantes à Montaigu, la digue, la digueuh !

Il va en perm' à Nantes !
Ah, ah, ah, ah, l'astuce est étonnante !

Jacques Demy (qui n'en est pas la moytyé d'un.)

Me voilà de retour de Nantes où j'allas avec ma jolie Julie. C'était bien, et il faudra que je vous en cause, mais ça n'a pas été facile de partir : moi qui vous parlais dernièrement d'un grooos problème informatique au boulot, je me suis rendu compte qu'il n'y avait pas que le boulot dans la vie. Parce qu'avant d'y être (à Nantes) il a fallu partir : nous devions prendre la route jeudi matin à la première heure, j'avais donc mon mercredi soir tranquille pour faire l'une et l'autre chose. Et cette une et autre chose était de brancher une webcam sur le PC de ma mère, le truc bête par excellence, simple, pas compliqué, et qui prend trois minutes.

Non.

a cassé DNS...

Un groooooos problème sur le site ces derniers jours, et tous les mails rebondissent depuis mercredi dernier. Si vous aviez des choses à me dire, ça doit passer maintenant.

DFS en rade

J'ai faim !
Moi, bloqué sur un serveur.

Des fois, il faut vraiment mériter son salaire : s'il est vrai que je suis dans une structure où on ne croule pas toujours sous une charge de travail digne d'une chaîne de montage, il arrive parfois que la réalité se rappelle à votre bon vouloir. Ça a été mon cas hier.

Je dis "mon", mais nous étions quatre sur le coup. Pour un problème étrange et atypique. C'est d'ailleurs pour ça qu'il nous a posé problème, le saligaud ! Pas un message d'erreur, pas une indication, un problème fantôme. Si ce n'est que les trois quarts des stations (donc plusieurs centaines, quand même) se mettaient brutalement à bouffer la totalité de leur ressources et à ne plus répondre à rien...