Métaphore

Il fait froid dehors

Archives février 2007

la Môme

Une fois n'est pas coutume, nous sommes allés voir un film dont on parle à la télé. J'en ai vu d'autres, remarquez bien. Par exemple, j'ai vu Titanic, j'ai vu un long dimanche de fiançailles ou j'ai vu Gangs of New-York. J'y ai même vaguement noté des gens qui se battaient, des histoires d'amour ou du jaune.

Mais surtout, j'y ai vu le Titanic, New-York au XVIIème siècle ou Paris au début du XXème. Le cinéma, maintenant, quand on y met des moyens, ça permet des faire des reconstitutions tout à fait sympathiques. Je n'ai pas vu Gangs of New-York quand il est sorti, mais quand j'ai commencé à m'intéresser un peu à l'histoire du patelin, il m'a paru évident que je devais le voir. Les reconstitutions de cinéma ne sont pas parfaites, non, mais elles sont une illustration extraordinaire quand elles sont faites correctement.

Brève de métro

Elle s'assoie en face de moi, elle porte le tchador. De son sac, elle sort et commence à lire le dernier Pétillon : l'Affaire du Voile.

(Pour marie, qui m'a fait découvrir les Brèves de métro et que je remercie parce que, sans vouloir la perdre, je ne savais trop que faire de cette image là.)

bonheur simple

En sortant du boulot, mercredi soir, j'ai pris un Bruxelles-Paris et je suis allé passer la soirée avec la fille que je suis amoureux de. Nous avons regardé Monstres et Cie collés l'un contre l'autre en mangeant de la pizza. J'étais heureux.

Accumulation de rien

En ce moment, dans le moteur de ce site, de plus en plus d'articles pas finis. Comme je vous le disais en substance il n'y a pas longtemps : Rah bordel, chus pas inspiré ! D'ailleurs, je disais (où je m'étais contenté de le penser ? il faudra que je me relise) aussi que j'avais du mal à justifier ce que j'écrivais à mes propres yeux quand tant d'autres écrivent tellement mieux que moi. Alors ce n'est pas d'avoir des remontrances sur ce que j'écris comme c'est arrivé la semaine dernière qui va me rendre l'envie d'écrire.

Attention, je ne suis pas en train de dire qu'il faut m'aimer sinon je me casse, ça serait bien naze. Il s'agit juste de mes réflexions à moi, personnelles, que j'écris ici parce que vous m'y avez encouragé (nyark nyark.)

Alors comme je n'ai rien à dire, je vais vous raconter un truc que je viens d'apprendre (et honte sur moi, je ne sais même plus où) et qui m'amuse.

Le plus grand Belge mort

C'est quand même un dur métier que d'être journaliste. Je pense à cet andouille l'autre jour sur France Inter qui disait à Bayrou qu'il ne pouvait pas ne pas se placer entre Sarkozy et Royal (Vous voterez pour qui au deuxième tour ?), il avait tout compris des positions de son invité, celui là. Je pense aussi à ce crétin sur France 5 qui recevait entre autres Albert Algoud, spécialiste reconnu de toutes choses tintinophilesques et qui lui soutenait que mais si, Hergé était un vieux réac un peu facho, que lui il savait.

Nan mais il avait sûrement raison, qu'est-ce qu'ils y connaissent, les spécialistes ? Ils présentent une émission, eux ? Non ? Bon alors ?

Trognon

Vous croyez que trognon[1], c'est bêtement l'abréviation de trop mignon ?

Notes

[1] Dans Gnéééééé, gnil est trognon !, pas dans Je l'ai possédé jusqu'au trognon, ce gros naze.

Rapport d'anomalie

Vous l'aurez peut-être constaté : ce site est de retour en ligne après une quarante huitaine d'heures d'interruption. Sachez que j'ai cassé mon serveur.