août 1999

lundi 2 août 1999

week-end taré

Eeeeet ben! Mes ailleux, quelle Soirée, quelles soirées, quel week-end ! Je n'ai pas tout suivi, mais bon... Je suis rentré à Lille pour le we, tout normal, et puis comme Albresá a essayé de me joindre à plusieurs reprises, j'attendais peinard son coup de fil, me disant qu'on irait boire un coup le...

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vendredi 6 août 1999

Je suis vieux

Ça y est: je suis vieux, c'était mon niversaire avant-hier. Voualà. Ben me v'la prop'! Quand je pense à toutes mes rides, mes cheveux blancs de plus en plus clairsemés.... J'ai eu des beaux cadals: d'abord, j'ai eu l'électricité et le gaz, et puis aussi le téléphone, et puis une voiture, et puis un...

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lundi 9 août 1999

fin du monde -2 :)

Ouille, ouille, ouille, ouille ouille !!! C'est super les vacances dans le sud, et puis Saint Chartier, c'est bien aussi, et puis s'installer à l'étranger, c'est top coule pareil... Mais tout ça peut occasionner quelques problèmes... Ben oui, je me suis rendu compte ce week-end que j'avais huit...

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jeudi 12 août 1999

fin du monde +1 :)

Mince alors, la fin du monde n'a pas eu lieu... pourtant Paco l'avait prévu, je suis déçu, déçu, déçu... voici une petite extrapolation sur ce thème pour nous consoler d'avoir encore à subir le parisianisme......

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jeudi 19 août 1999

Browsers War

Voilà ça y est, on m'engoule: Ouieuh, tu fais un siteuh, c'est pas maleuh... mais tu mets pas souvent à jour, quoi? Pfff, ayez des copains tiens, vous verrez comment vous êtes soutenus ! De toute façon, j'ai écrit au moins une mise-à-jour par semaine et que je sache ça ne fait pas une semaine, si ?...

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lundi 23 août 1999

frontiscipe

Rock journalism is people who can't write interviewing people who can't talk for people who can't read.Frank Zappa...

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jeudi 26 août 1999

Je sais les soirs d'ivresse...

Je sais les soirs d'ivresse où l'on perd la mémoire,Les soirs qui dans un trou rejoignent les matins,Tandis qu'à des appels de plus en plus lointainsOn répond, vague, avec l'air de lire un grimoire, Quand on se sent muré comme au fond d'une armoire,Tandis que le cerveau, tous ses flambeaux éteints,Dérive dans la nuit sur les flots incertainsD'un lac où se déroule à l'infini la moire Lac de l'inconscience, abîme noir sans fond,Où l'on coule, où sans bruit on descend, on se fond,Noyé qui peu à peu disparaît, plus livide, Jusqu'à l'heure où l'oeil mort, et le rictus béant,On s'éveille, effaré d'avoir palpé le videEt d'avoir mis sa bouche aux lèvres du néant.jean richepin...

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