Métaphore

Il fait froid dehors

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Nothing short of perfect

Il est fort, quand même.

Au début des années nonante, en pleine découverte des Beatles, j’ai acheté Tripping the live fantastic, le touffu premier album live solo de McCartney. Parmi les chansons que je ne connaissais pas (un paquet, à l’époque) se trouvait celle-ci : We got married.

C'est comme des nouvelles oreilles

Je suis en train d’écouter la Huge Melody sur le nouveau remaster d'Abbey Road, là, et je me demande où étaient cachés auparavant tous ces instruments que je n’avais jamais remarqué jusqu’à aujourd’hui.

Tiens, tant qu'on cause Beatles...

Personne ne voudrait me ramener les coffrets des ÉU ? Parce que 75€ de différence, ça me fait vraiment mal au cul !

Fun is the one thing that money can't buy

Bon, alors j’étais fatigué, mais genre couverture de Fatigué Magazine, tu vois ? il était 22h30, dimanche soir, et je me disais que pour une fois, j’allais me coucher tôt, histoire de récupérer le sommeil en retard, c’était nécessaire : j’étais en train de tomber, les yeux qui piquent, le cerveau brumeux. Juste, avant d’aller au lit, un truc, un dernier, histoire de m’offrir une douceur, on va dire. Va savoir pourquoi, il m’est revenu à l’esprit une conversation avec Mitternacht, pendant laquelle nous avions parlé, entre autres, de Kate Bush, qu’elle était quand même d’une sensualité rare quand elle était jeune. Et je m’étais fait la réflexion pendant cette conversation qu’il y avait fort longtemps que je n’avais pas essayé de jouer ”Wuthering Heights”.

Donc, avant de gagner le lit, je m’assoie au piano, juste histoire de voir si cet arpège qui commence la chanson accepte de me tomber sous les doigts. Bon.

Un petit groupe inconnu : les Beatles

Bon, l'intégrale des Beatles est enfin remasterisée et il va falloir que je trouve de l'argent. En attendant, je me régale parce qu'on trouve du Beatle partout sur le Linternet et dans les magazines. Dans un article, je viens de lire ça :

Pop archivists might be intrigued by this strange parallel between the Beatles and the Stones catalogue—it often seems as if every interesting thing The Rolling Stones ever did was directly preceded by something the Beatles had already accomplished, and it almost feels like the Stones completely stopped evolving once the Beatles broke up in 1970. But this, of course, is simply a coincidence. I mean, what kind of bozo would compare the Beatles to The Rolling Stones?

Grandeur et décadence d'un morceau des Wings

Je vivais ma vie tranquillement lorsque brusquement le dimanche est arrivé. Et comme la veille je n'avais rien trouvé à la Braderie, je n'y suis pas retourné. Et comme j'étais seul dans une grande maison vide, je me suis fait un peu chier. Alors j'ai passé le temps comme je le fais souvent : avec les instruments de musique qui traînaient par là.

Je me suis assis au piano et j'ai joué un vieux morceau des Wings que j'aime bien :

(ici, normalement, il y a une vidéo. rendez-vous sur le site pour la voir.)

Et puis je suis dit que c'était bien sympathique, mais imaginons que j'aie des amis, et imaginons qu'ils fassent une soirée. Il n'y aurait peut-être pas de piano chez eux, autant s'intéresser à un instrument qu'on peut transporter :

un peu con des fois

Dans while my guitar gently weeps de Georges Harrison, on trouve ces paroles-là :

I look at the floor and I see it need sweeping
Still my guitar gently weeps
I look at the world and I notice it's turning
While my guitar gently weeps

Depuis l'Anthology (voire avant, pour les initiés) on sait qu'il a coupé un couplet dans la version finale. Il a donc gardé ce vers sur le sol qui a besoin d'un bon coup de balai et a viré ça :

I look from the wings at the play you are staging
While my guitar gently weeps
As I'm sitting here doing nothing but aging
Still my guitar gently weeps

À la question Êtes-vous plutôt Lennon ou McCartney ?, j'ai toujours eu tendance à répondre Harrison. N'empêche que des fois, il était un peu noeult.

Tant que j'y suis, au cas où vous ne connaîtriez pas, voici, en quatre minutes trente, la raison unique pour laquelle je me suis mis au ukulélé, en comprenant brutalement que ce n'était pas un jouet :


Ukulele weeps by Jake Shimabukuro

The Beatles - Revolver

Il ne m'est pas possible en face d'une quelconque manifestation artistique d'ignorer qu'elle s'inscrit dans un contexte. Ça ne m'est d'aucune utilité dans bien des domaines où mon inculture est crasse, mais c'est bien pratique lorsqu'il s'agit d'une de ces petites choses où j'ai deux ou trois connaissances. La musique pop-rock est une de celles là.

Du coup, j'ai beaucoup de mal à discuter avec les gens qui trouvent les Beatles gentillets, parce que les Beatles (tous les cinq, si j'ose dire, merci monsieur Martin) ont à peu près tout inventé. Il est très facile quarante ans après de minimiser leurs albums en ayant l'impression qu'on est allé beaucoup plus loin depuis, mais s'ils n'étaient pas passés par là, je me demande qui aurait brisé toutes les barrières qu'ils ont massacrées.

Parce que merde, essayez un peu de vous replacer en 65/66, un album, à l'époque, ça a en couverture une jolie photo de l'artiste, et ça contient des chansons au format règlementaire, à l'instrumentation un peu toujours identique et aux paroles essentiellement construites à base de you/me/love/etc. (même si quelques-un commençait à tout doucement essayer de s'écarter parfois de ces formules là. Comme par exemple, l'année d'avant, ce petit groupe, nommé -quelle coïncidence- les Beatles qui avait commencé à utiliser un ou deux instruments bizarres et à intégrer ici où là des éléments extérieurs à la pop, ayant été marqués par leur rencontre avec Dylan qui lui (ça peut paraitre idiot de nos jours, mais à l'époque les frontières étaient plutôt imperméables) naviguait dans le folk et la protest-song, qui étaient résolument à part.)

Voilà donc qu'entre les pochettes de beaux chanteurs souriants, on voit débarquer cette chose :

The Beatles - Revolver

Déjà, je vous jure, sur un étal de disquaire de 1966, ça détonne. Mais bon, c'est un disque des Beatles, alors forcément, on l'achète, on rentre chez soi, et on le met sur la platine.

Et à ce moment là, on se prend une claque.

Imagine qu'y ait pas d'people ...

photo: sur un piano blanc

Moi, jouant Imagine, le dimanche 22 janvier 2006, à l'expo Ono, pardon : Lennon.

(photo par Mélie Cui)

Grand diseux, petit faiseux !

Je viens de voir des scarabées essayer piteusement de se déplacer à la surface de l'eau... Quand Lennon a déclaré que les Beatles étaient plus balèzes que le Christ, il aurait aussi bien fait de fermer sa gueule !

2003-05-16

Je dois être malade : j'ai envie d'acheter le dernier album de Ringo Starr.

Come together !

C'est rigolo comme dès qu'on joue au médiator sur une basse Höfner, ça sonne Beatles.

Anthologie

You Mother Should Know. Les Beatles, quand même ... Les Beatles !

Fab Four

Q: How did you find America ?
A: We went to Greenland and made a left turn.

Q: Are you a Mod or a Rocker ?
A: No, no, I'm a Mocker ...

Q: How do you call your haircut ?
A: Arthur.

Q: Why do you think you're so popular ?
A: It must be the weather.

Q: You look like my son.
A: You don't look a bit like my mother.

Q: The French haven't made up their minds about The Beatles. What do you think of them ?
A: Oh, we like Te Beatles. They're gear.

Q: Are you married ?
A: No, I'm George.

Q: Do you like topless bathing suits ?
A: We've been wearing them for years.

Q: Do you have any special advice for teenagers ?
A: Don't get pimples.

Q: Why is it that you Ringo get more fan mail than the others ?
A: I dunno. I suppose it's because more people write me.

Extraits d'interviews des Beatles

Je m'aperçois que je n'ai toujours pas fini de taper (et donc c'est encore loin d'être mis en ligne) ma mise-à-jour de la semaine dernière. J'ai honte. Mais je l'ai sous la main, il faut juste que je finissse de la taper et de la mettre au propre, je le mettrai en ligne direct dans les archives. Croyez bien que je suis désolé de ce délai, mais j'ai mes raisons. Mauvaises, certes, mais ce sont quand même des raisons.

Paulo les bajoues

Rien n'est difficile à écrire comme le bonheur.
Éric Chambaz

Ah ouais, on connait.
mon garagiste

This was written in the sixties, and never played live before this tour. So you're among the first to hear it.
McCartney et ses musiciens, à propos de plusieurs morceaux.

Je n'ai pas trop envie d'écrire en ce moment. Vous aurez remarqué que mes contributions sont relativement courtes ... Bah, c'est que tout va bien. Après tout, comme je l'ai déjà remarqué, au moins j'ai le moral, au plus je suis créatif. Ben là, c'est bien dommage, mais j'ai le moral.

bientôt

And in the end
The love you take
Is equal to the love
You make

les Beatles
(dernières paroles du dernier morceau du dernier album)

Bon, là je me prépare : dans quelques heures, je serai dans une salle avec quelques milliers de personnes pour aller applaudir Paulo les Bajoues dit Sir Paul, dit MacCa : Monsieur MacCartney. En forme olympique s'il faut en croire tout ce qui se dit depuis le début de cette tournée l'année dernière.

donc je suis content.

All things must pass

Georges Harrisson vient de mourir. J'ai vraiment la haine.

arts

J'me sens tout mou, mou, mou, mou...
mouou, si mououou....

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Bon, j'ai encore dépensé des sous... C'est pas de ma faute, j'étais obligé : ce bouquin des Beatles, il me le fallait, je ne pouvait pas passer à coté. Ah ben oui, j'aime les Beatles, ces gars ont tout inventé. C'est un peu facile maintenant de dire que c'est un peu pas assez ceci, pas assez celà. Mais s'ils n'étaient pas passé par là, la musique n'aurait pas été la même. Je ne vois personne qui ait fait preuve d'autant d'inventivité dans autant de domaines musicaux différents. Je veux être un Beatle. (Accessoirement, je veux une new beetle, mais c'est une autre histoire.)