Métaphore

Il fait froid dehors

arts

J'me sens tout mou, mou, mou, mou...
mouou, si mououou....

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Bon, j'ai encore dépensé des sous... C'est pas de ma faute, j'étais obligé : ce bouquin des Beatles, il me le fallait, je ne pouvait pas passer à coté. Ah ben oui, j'aime les Beatles, ces gars ont tout inventé. C'est un peu facile maintenant de dire que c'est un peu pas assez ceci, pas assez celà. Mais s'ils n'étaient pas passé par là, la musique n'aurait pas été la même. Je ne vois personne qui ait fait preuve d'autant d'inventivité dans autant de domaines musicaux différents. Je veux être un Beatle. (Accessoirement, je veux une new beetle, mais c'est une autre histoire.)

J'ai eu ma première réunion au sujet du théâtre : non seulement la pièce est un peu tarée, mais la volonté du metteur en scène, c'est que ça le soit encore plus. Dès le départ, mon rôle principal n'est pas dans le texte. Ça veut dire pas mal d'invention, je suis flatté qu'on me fasse autant confiance.

Je suis encore en train de reprogrammer des tas de trucs pour les sites. Je crois que c'est un de mes gros problèmes : le moyen est beaucoup plus rigolo que la fin. Et ça a toujours été le cas, tant il est vrai qu'il est beaucoup plus rigolo d'apprendre à faire quelque chose que de regarder cette chose terminée.

De toute façons, il est très difficile de regarder ses œuvres terminées. Je trouve très déprimant de se rendre compte qu'on ne sera jamais Brassens, qu'on ne sera jamais Hergé, ou Einstein, ou Gabin. Parfois on se décourage un peu dans tout ce qu'on entreprend quand on se rend compte que ça ne volera jamais très haut. Apprendre à accepter de n'être pas le meilleur : on y est forcé, mais ça ne rend pas la chose agréable.

La prochaine fois, je vous parlerai de l'apprentissage du pire.

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