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dimanche 19 avril 2009

Grand ménage de printemps

L'autre jour, j'ai fait un grand tri dans mes différents gestionnaires de contacts. La veille, j'avais revu le système de classement de mon courrier pour éliminer ce qui n'y était pas utile. ces derniers temps, j'ai refait le classement d'un gros paquet de photos de ces dernières années, en en profitant pour les géo-localiser.

Alors bien sûr, certains font courir sur moi le bruit que je suis un archiviste compulsif, mais il ne s'agit pas d'archivage, ici, il s'agit de classement. j'ai une frénésie en ce moment. Et pas forcément de choses qu'on archive : ces derniers temps, ça a aussi été mes disques, ma bibliothèque, mes meubles ...

Je fais du rangement dans ce qui s'accumule, je dégage, je fais de la place, je désencombre. Je ne peux plus avancer dans le bordel et j'ai besoin d'y voir clair. La gestion à un seul niveau finit par demander trop de ressources et il est temps de hiérarchiser, de savoir ce qu'il faut garder sous la main et ce qu'on met de côté en attendant qu'on en ait besoin (non, je ne jette rien.)

Je crois qu'en ce moment, je suis en train de ranger ma vie.

vendredi 17 avril 2009

L'internationale du McDo

Moi, les cultures différentes, j'aime bien. La bouffe aussi, d'ailleurs. Débarquer dans un pays loin et me frotter à la cuisine locale, j'adore ça. Mais partant du principe qu'on peut comprendre des choses en observant les petites différences qu'on peut trouver dans un référentiel relativement fixe d'un pays à l'autre, j'aime bien aller au McDo.

Dans la vraie vie, j'y vais peu (le Qick, c'est tellement meilleur...) mais j'ai goûté le McPoutine à Québec[1], le McArabia à Aqaba, le McTurco à Istanbul[2], le McTeriyaki et le McCrevette à Tokyo[3] et le KiwiBurger à Wellington[4].

Bon ben visiblement, il va vraiment falloir que je retrouve quelqu'un avec qui partir en voyage, parce que j'ai encore tellement de choses à découvrir[5] !

Notes

[1] C'était ma première poutine. Elle ne ressemblait tellement à rien que je suis allé en manger une dans un vrai resto quelques jours plus tard. Elle ne ressemblait à rien non plus.

[2] On notera que le McArabia et le McTurco sont pratiquement identiques.

[3] Officiellement : le Teriyaki McBurger, au porc, que j'avais pris pour du poulet à l'époque, c'est dire si la viande est goûtue, et le Ebi Filet-O. De toutes façons, les McDo sont bizarres dans ce pays.

[4] À l'œuf et à la betterave rouge. J'ai eu de la chance de pouvoir le goûter, il n'offrait pas assez de bénef et n'a été produit que pas longtemps pendant les années 90, avec un sursaut en 2007/2008. J'ai gardé la jolie boite.

[5] Je suis particulièrement curieux de voir la version indienne, sans la moindre trace au menu de bœuf ni de bacon.

jeudi 16 avril 2009

Application store

Ça fait des années que je lis ici ou là que Linux, ça marchera jamais, entre autre parce que l'installation des programmes, c'est beaucoup trop chiant : alors que sous Windows, il suffit de télécharger le programme d'installation et de le lancer, sous Linux, c'est tout centralisé : on est obligé de lancer le programme de gestion des paquets, choisir au sein de celui-ci le ou les programmes qui nous intéresse et lancer l'installation.

Je comprends bien le problème, c'est inutilement compliqué, enfin !

N'empêche, Windows, c'est compliqué aussi, en face des systèmes modernes. regardez l'iPhone, par exemple, c'est super simple : Il suffit de se rendre sur l'endroit où les programmes sont centralisés, on fait son choix, on lance l'installation, et hop !

Remarquez, cette gestion centralisée, sur l'iPhone, ça me rappelle quelque-chose, mais quoi ?

mercredi 15 avril 2009

veuillez excuser mon fils ...

Encore une fois, peu de temps et beaucoup de fatigue en ce moment. Je bosse sur du boulot au boulot, sur un projet perso en dehors, je profite des copains tant que je peux et je passe le reste du temps sur mon piano. Et encore une fois, ce site est le parent pauvre, mais promis, je reviens bientôt vous raconter des trucs sans intérêt.

En même temps, si j'écris moins, c'est sans doute que ça va mieux, non ?

mardi 14 avril 2009

Boum-Doum

Ce week-end, pour la première fois depuis un an et demi, j'ai ressorti la basse. On va dire qu'on sent bien que nous sommes rouillés, mais putain, ça fait du bien !

jeudi 9 avril 2009

Jeune

Jeune

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lundi 6 avril 2009

représentation parlementaire

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de Geoffrey Dorne - ''J'affiche'', (via.)

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dimanche 5 avril 2009

Sur les rotules

L'autre jour, j'avais dit que je faisais un billet demain, et le demain en question est passé depuis quelques jours. Pas ma faute, monsieur le président : du boulot, des courses, des démarches, des projets, des bières et pas beaucoup de sommeil.

Je rattrape encore un peu de retard dans la vraie vie et j'arrive.

Je m'y ressourçais

En ce moment, pour telle ou telle raison, je suis plongé dans certains souvenirs qui contiennent une grosse part de désagréable, mais c'est bien, parce qu'à force de les avoir devant les yeux, ça tue petit à petit leur charge émotionnelle.

Par contre, Lille, je ne l'ai pas souvent devant les yeux. Et je ne supporte plus de me promener dans ses rues. Tout ça est encore trop rattaché à. On m'a pourri mon refuge.

mardi 31 mars 2009

Conserver mes vacances : évolution des outils

J'en parlais hier, j'aime bien ne pas perdre mes vacances. Au plus j'ai de détails sur le déroulement de celles-ci, au plus facilement je peux les revivre. Mais il y a bien longtemps que le bête album photo ne me suffit plus, alors j'ai affiné la méthode de conservation au fil des années : Au début, je suis parti avec juste un appareil argentique : des photos, mais pas de date dessus. Et même pas de notes pour les premières vacances, j'ai beaucoup perdu. Par la suite, j'ai fini par acheter un appareil photo numérique, et j'ai commencé à me trimballer en vacances avec des petits bouts de papiers pour noter mes emplois du temps de la journée, très succinctement ; je développais en rentrant pour en tirer des comptes-rendus complets.

Mais écrire le compte-rendu avec les souvenirs qui s'estompent petit à petit et qui ne permettent plus de savoir à quoi correspond telle ou telle note, et la sélection après coup des photos pour l'illustrer, ça prenait un temps fou. Jusqu'au retour du japon où je n'ai jamais terminé de rédiger et qu'il n'est resté que mes notes.

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lundi 30 mars 2009

Archiviste compulsif : les vacances.

On me dit archiviste compulsif, c'est à dire que je ne sais pas jeter, je garde tout, je classe beaucoup. C'était vrai dans le temps pour ce qui est de la vraie vie, mais les murs n'étant pas extensibles, j'ai appris à me débarrasser de pas mal de trucs. Par contre, pour tout ce qui est fichiers informatiques, c'est tellement facile que je ne me prive pas.

J'ai encore sous la main à peu près tous les mails que j'ai échangés depuis 1997 (exception notable : j'ai perdu la première conversation que j'ai eue par ce biais avec mon ex) y compris tout ce qui est newsletters ou listes de discussions. Depuis cinq ans, le bouton effacer de mon compte GMail est resté comme neuf, mais j'ai des sauvegardes à part quand même, au cas où.

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dimanche 29 mars 2009

Cool, c'est l'été !

Enfin bon, je parle de l'heure, parce que pour le temps, c'est pas ça (là, il fait beau, mais ça veut sans doute dire que dans trente minutes il fera nuit.)

Oui, je sais, il y a plein de gens qui se plaignent, qui sont décalés, qui n'assurent plus au boulot pendant quinze jours ou qui ont du mal à gérer le décalage de l'heure de la traite, mais pour moi qui suis réveillé par la luminosité, et donc par l'heure solaire, ça va me permettre de dormir une heure de plus, tous les jours.

C'était vraiment très intéressant.

samedi 28 mars 2009

Transition

Dans mon rêve de cette nuit, c'était elle d'avant qui me racontait sa vie de maintenant. Et j'arrivais presque à faire semblant que ce n'était pas douloureux.

Mes vacances de la semaine passée, pleines d'itinérance et de découvertes, ressemblaient beaucoup aux vacances que nous passions ensemble, avant. Et j'ai eu des bouffées d'elle. J'étais avec une amie et la découverte à deux, c'est bien, mais je crois que l'amour me manque. Elle les aurait aimées en tous cas ; sur bien des points nous nous ressemblions.

Des amis, de la bière, de la fumée et du bruit ; Des discussions idiotes ou sur le sens de la vie ; Plusieurs lieux en quelques courtes heures : la soirée d'avant-hier me ressemblait. Elle n'aurait pas aimé ça et serait partie se coucher tôt ; nous n'avons jamais eu le même rapport au plaisir.

Ça avance. je crois que j'ai quitté le chronique pour le résiduel.

mercredi 25 mars 2009

Trop dûûûre la vie

Smithwick's en plein effort

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mardi 24 mars 2009

Je suis catholique


Je suis catholique - Didier Super

Je suis de retour, mais j'ai des trucs à faire. En attendant, j'aurais bien râlé sur les cathos, mais Didier Super m'en a dissuadé : Je suis d'accord avec lui.

vendredi 13 mars 2009

El Moustachero

El Moustachero

Je vous laisse tomber quelques jours. Soyez sages, mon ami El Moustachero veille.

jeudi 12 mars 2009

modèle acoustique "source-filtre" de la relation à deux

Je te la fais courte : tu es la source (émettant un spectre qui te définit, donc), l'autre est un filtre. ça c'est le postulat de départ, commence pas à discuter là-dessus sinon ça va être le bordel (j'ai décidé ainsi de la distribution des rôles ; sans déconner, qui c'est qui commande ici ??! )

L'autre est donc un filtre, avec, comme tout filtre, une fréquence de résonance (la fréquence "idéale" qui provoque la mise en résonance, c'est à dire l'amplification énergétique maximale à partir d'une petite stimulation qui est dans ton spectre à toi ; en réalité c'est toujours une gamme de fréquences), et une bande passante plus ou moins large. Cette bande passante définit vos affinités : la largeur de bande passante est l'étendue de ce qui peut résonner entre vous et elle englobe donc les composantes de ton spectre à toi que l'autre va laisser passer et amplifier (puisqu'elles sont dans sa bande passante) : c'est son pouvoir énergisant, son pouvoir stimulant, ce qui te rend vivant. C'est la beauté des vibrations que vous partagez. A l'inverse, tout ce qui n'est pas dans sa bande passante sera atténué : c'est son pouvoir anxiolytique, apaisant. Il te permet de dissimuler tout ce que lui et/ou toi ne voulez pas voir...

Lorsque l'autre part, ton spectre n'a pas vraiment changé : il ou elle ne t'a en réalité pas transformé sur le fond, il t'a juste filtré le temps de sa présence. Et lorsqu'on enlève le filtre, la source se remet à rayonner avec son spectre initial : les composantes feues-amplifiées et mises en résonance par le filtre se pètent soudain la gueule sur le plan énergétique (petite dépression donc) et celles qui étaient atténuées reviennent en force (les crises d'angoisse se ré-expriment : c'est le retour de bâton du passé qu'on croyait abusivement dépassé ou guéri). On est donc juste à nu lorsque l'autre part, pas vraiment démuni (puisqu'il n'a rien enlevé à notre spectre) ; juste fragile parce qu'on n'a plus l'habitude de rayonner de la sorte. Et par comparaison, on devient alors conscient de tout ce qu'on a à accomplir pour soi, pour être vraiment bien.

mercredi 11 mars 2009

Quelques définitions acoustiques

En acoustique, une source, c’est un truc qui émet du son, qu’on appelle pompeusement signal (ou onde) acoustique. (Pour les curieux, l’onde acoustique est une variation de pression en fonction du temps. Et à l’instar de toute onde, elle correspond à un déplacement d’énergie sans déplacement de matière. Enfin bref.) Exemples de sources : une voix, une sirène, un moteur, un instrument de musique…

Évidemment, je n’apprends rien à personne en disant que le son (disons le timbre) que la source émet est caractéristique de la source elle-même : c’est en apprenant à associer (par catégorisation perceptive) un son et la source qui le produit qu’on la reconnaît, au bout du compte, les yeux fermés. C’est ce qu’on appelle l’écoute causale, qui intervient inconsciemment à chaque fois que l’on entend un son : on s’interroge et on identifie en une fraction de seconde (pas toujours, mais ça va très vite pour les sons qui font partie de notre base de données, de nos prototypes enregistrés, de nos référentiels) la nature de ce son et donc la source qui l’a produite.

Pour user de métaphores, on pourrait donc dire que chaque source émet un son (un timbre) qui fait sa propre personnalité et qu’on apprend à connaître, puis à reconnaître, les sources comme on apprend à connaître les gens qui nous entourent.

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Emmacoustique

Vous l'avez croisée dans les commentaires (ou alors vous ne les lisez pas du tout parce qu'elle est bavarde.) Elle avait fait un teasing il y a longtemps et j'ai fini par avoir le fin mot de l'histoire. En privé, mais je ne voulais pas gâcher.

En guest-star aujourd'hui et demain, nous accueillons donc mademoiselle Emma, qui va nous parler de son modèle acoustique "source-filtre" de la relation à deux. Oui, en deux fois, elle a tenu à poser quelques définitions d'abord.

lundi 9 mars 2009

journée de l'infâme

Oups. Bienbienbien avait remarqué que la Journée de la femme, c'est pas la journée de l'affiche. Ben c'est encore moins la journée du site web.

Beuuuuh...

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