Métaphore

Il fait froid dehors

Archives juin 2007

Oie, dite "le chien"

Oie, dite ''le chien'', Poitou, avril 2007.
Oie, dite le chien, Poitou, avril 2007.

Ah oui, tiens ...

Je n'avais jamais fait le lien entre le bronzage et le bronze. Ni entre les comprimés et le fait de comprimer des trucs.

Gougouleursse

Je viens de réinstaller Google Earth, j'aime vraiment bien beaucoup, je suis en train de revivre mes voyages. On découvre aussi des choses amusantes : J'ai retrouvé ma voiture, celle de ma mère, et -il me semble bien- ma mère en train de bronzer. Ça devient vraiment précis, ces petites choses.

ma voiture vue d'en haut

Incidemment, je me suis rendu compte aussi que finalement, Hausmann , c'était un gars sympa, parce qu'il a laissé beaucoup de Paris historique entre ses percées. C'est la réflexion que je me suis faite en regardant le centre-ville de Rennes : en essayant d'avoir une vue d'ensemble, on distingue encore vaguement l'ancien découpage coincé sous un quadrillage américain assez monstrueux. À Paris, il n'y a guère que la Cité qui ait été massacrée à ce point.

J'y retourne, je vais essayer de retrouver Julie.

Coupe coupe

Pas la guerre.
Pas la guerre.

Expédition : acheter un disque.

Je vous raconte ça, c'est pour me débarrasser, mais des fois, quand je veux acheter des disques, c'est une catastrophe. Il y a quelque temps, par exemple, mon distrisous m'ayant prévenu une semaine plus tôt que ma nouvelle carte m'attendait à mon agence habituelle, j'ai pris mes pieds pour y aller (c'est loin mais plus rapide à pied qu'en transports en commun, c'est Bruxelles.)

Tout va bien... Mais un truc quand même...

Je dis ça, c'est pour me débarrasser, mais Hellgy faisait un lien, il y a un certain temps (et j'ai commencé à écrire ceci juste quelques jours après), vers l'un ou l'autre test pour évaluer son niveau de stress. Je n'avais pas réfléchi à la question depuis longtemps, mais force m'a été de me rendre compte au vu des résultats que j'allais fort bien. Et ce n'est pas vraiment étonnant : je suis heureux. Je suis raide dingue d'une fille absolument épatante qui a la bonne idée de me trouver à son goût, j'ai un boulot que j'adore et des conditions idéales pour le pratiquer, j'ai des copains qui ont su dépasser mon début d'autisme pour devenir des amis, je passe mon temps à sauter entre deux villes que j'aime, j'ai la chance d'être physiquement en très bon état (je ne tombe pas souvent en panne) et il y a belle lurette que je n'ai pas de fin de mois difficile. Tout va bien.

Jeanne Cherhal - l'Eau

Je vous dis ça, c'est pour me débarrasser, mais j'ai vraiment aimé le dernier album de Jeanne Cheral.

Jeanne Cherhal, c'est comme Emma de Caunes ou Cécile de France : Je suis amoureux. Alors elle pourrait faire de la merde, je m'en foutrais, je l'aimerais quand même. Ceci dit, et c'est bien agréable de sa part, j'aime plutôt pas mal ce qu'elle fait. Pas que je sois forcément béât d'admiration, mais voilà, à la base, j'ai une certaine sympathie pour ce qu'elle fait. Je suis loin d'être le plus gros client de la nouvelle chanson française qui raconte comment elle va chercher le pain. Prenez Bénabar, il est fort sympathique, mais est-ce qu'il apporte à la chanson autant qu'un Gainsbourg ou autant qu'un Michel Delpech (je n'ai aucune antipathie envers Michel Delpech) ? - , mais j'avais bien apprécié son précédent album : elle sait écrire un texte.

Je vous dis que je l'ai vu

Je dis ça, c'est pour m'en débarrasser, mais comme je l'ai déjà dit : je n'ai pratiquement pas de souvenirs d'enfance. À l'inverse, j'ai une cervelle idiote qui retient n'importe quelle connerie pourvu qu'il y ai une mélodie dedans. Ce qui permet à mes collègues de me prendre pour un fou quand je me mets à chanter un cantique que j'ai entendu à la messe quand j'avais dix ans. Ça les amuse aussi beaucoup de chanter trois mots sur autant de notes pour me lancer sur un chanson idiote des années quatre-vingt (mais ne l'étaient-elles pas toutes, à l'époque ?)