une pièce, et Roger Waters à Anvers
Par lez'Arts - Lien permanent
So ya thought ya might like to go to the show.
To feel the warm thrill of confusion, that space cadet glow.
I got me some bad news for you, Sunshine.
Pink isn’t well, he stayed back at the hotel,
And he sent us along as a surrugate band.
We’re gonna find out where you fans really stand.
Roger Waters
Long time, no talk, et c’est pas de ma faute. Enfin, si un peu, mais juste un peu alors … La première semaine, allons nous dire. Depuis je n’ai pas beaucoup de temps et encore moins de courage.
Si bien que depuis la dernière fois il m’est arrivé un certain nombre de choses, mais je ne vais pas tout détailler. Prenons juste par exemple la semaine écoulée :
Il y a une semaine, mercredi dernier donc, j’étais en train de travailler. Parce que oui, c’est facile pour les français, mais ici en Belgique, ce n’étais absolument pas férié, donc j’ai travaillé. Beaucoup. Beaucoup parce finalement on travaille pas mal ici, il fut un temps où c’était simple, calme, et tout allait bien, depuis ça a beaucoup changé : un jour nous avons déménagé, ce qui implique un sacré boulot : bouger des centaines d’ordinateurs, rebrancher des centaines d’ordinateurs, reconfigurer des centaines d’ordinateurs, etc. Nous avons été heureux lorsque ça a enfin été terminé. Sauf que nous avons alors appris qu’il était temps de remplacer un tiers des ordinateurs du parc (pas juste remplacer, c’eut été trop simple : remplacer ce tiers par un autre tiers, lequel est remplacé par un autre tiers, lequel est remplacé par des ordinateurs neufs), ce qui a pris plusieurs mois. Il a fallu ensuite changer le systême sur tous les ordinateurs du parc, ça a encore pris des mois, et maintenant que c’est (presque) terminé, nous avons de nouveau commencé à remplacer un tiers du parc … Ça veut dire qu’il y a finalement beaucoup plus de boulot que mes souvenirs du joli temps d’avant ne voudraient me le faire croire. D’où manque de temps. Voilà pour mercredi.
Jeudi dernier, j’étais de retour à Lille (oui, parce que jeudi, c’était quand même férié) pour aller répéter. Dernière grosse répète de théâtre de l’année, c’était …. pas bien pour moi, j’étais de mauvaise humeur. Je n’ai pas la moindre idée du pourquoi d’ailleurs, mais j’étais de mauvaise humeur, ça arrive de temps en temps … Mais de mauvaise humeur ou pas, mon temps était occupé, donc toujours pas de mise-à-jour, et c’en était fini de jeudi.
Le vendredi était un peu plus calme, je ne répétais que le soir, mais pour de la musique cette fois, j’ai donc passé ma journée à passer de la guitare au piano à la basse à la guitare au piano au caetera. Et puis je suis allé voir mes petits camarades de jeu pour une autre séance de pinkfloydage aigu. Ça n’a d’ailleurs pas été extraordinaire, parce que visiblement le bassiste n’étais pas très en forme et avait du mal à réagir en fonction du jeu des autres. Oui, c’est moi le bassiste, oui. Tant pis, ça ira mieux samedi …
Même s’il n’était d’ailleurs pas question de musique samedi, mais bien de théâtre, puisque la dernière répète de jeudi était pour la représentation de samedi. Beaucoup d’inquiétudes d’ailleurs pour cette représentation, dans la mesure où, en vrac : Nous n’avions pas joué la pièce depuis un an, il y a eu du changement dans la distribution depuis, les répètes ont été très largement espacées, nous n’avons jamais pu réunir tout le monde pour les répétitions, certaines personnes n’ont presque jamais mis les pieds aux répétitions communes, les relations étaient un rien tendues entre certains membres de la troupe … et tant d’autres choses amusantes de cet acabit. Arrivé sur place, certaines choses ont empiré : les décors avaient des problèmes non prévus, la moitié des musiciens (dont le compositeur et interprète principal) était absents, il manquait des bouts de costumes … que du bonheur !
Pourtant ça s’est très bien passé. Mieux même que prévu puisque nous avons été capable de jouer la pièce en entier alors qu’il était prévu de faire des coupures drastiques dans certains passages très peu (voire pas du tout) répétés, nous avions plutôt la pèche, nous nous sommes débrouillés pour les costûmes manquants, j’ai joué de la guitare pour remplacer le pianiste absent (alors que je n’étais absolument pas censé amener une guitare, mais il y a parfois des coups de chance), le texte est revenu à tout le monde, et finalement les gens étaient contents. Que demander de plus ?
Si, j’aurais bien demandé quelque chose de plus quand même : ne pas avoir à gérer certaines évaporations : Quand à minuit et demi on cherche quelqu’un après la fin du spectacle et que la moitié des voitures sont déjà parties, on se dit au bout d’un moment que les personnes manquantes ont du emprunter une de voitures susdites, quand on a fait la route, avec toutes les voitures, avec une pluie torrentielle qui empêche de faire à plus de 80 à l’heure les 40 bornes pour retourner sur Lille, et qu’on s’apperçoit que les absentes ne sont vraiment pas là, on essaye d’appeler, et les gens ne répondent jamais, alors on fait la route en sens inverse, alors on se prend la flotte à chercher partout comme des cons, alors on fini par recevoir un coup de téléphone -qui s’est visiblement enfin mis à fonctionner- pour être prévenu que les personnes en question ont finalement fait la route par d’autres moyens sans jamais penser à prévenir, alors on fait la route encore une fois pour arriver après une heure et demie de perdue, à 2h du matin, trempés jusqu’aux os, pour finalement trouver deux personnes qui n’avaient juste pas pensé, pour qui on s’est inquiété et que toute l’histoire fait beaucoup rire … Alors on est un peu énervé. Pas la meilleure façon de terminer son samedi.
Et donc arrive le dimanche, avec une journée d’anniversaire à la mer. Mais pas à la mer, parce qu’il pleut. Alors tout le monde s’est réuni dans un apparte à Lille, avec de la boisson en suffisance, et … ben pas grand chose à raconter ma foi : une journée de discussions à battons rompus, pas forcément intelligentes, mais avec pleins de copains partout, et c’est toujours sympathique. Après un petit détour par Wazemmes pour aller voir le festival de l’accordéon où tout était payant et où donc nous ne sommes pas restés, nous nous sommes dirigés tous en cœur vers une khebaberie quelconque pour finalement finir dans une cave enfumée, pas éclairée et avec un concert de tam-tam … tout ce que j’adore. Bon, je ne me plains pas, dans l’ensemble la journée de dimanche a été sympa.
Puis est arrivé le lundi, j’avais pris congé. J’avais pris congé parce que je devais à 16h passer prendre la petite DXXXX, afin de nous mettre en route tout doucement vers Anvers où se déroulait le concert belge de Roger Waters (choisi de préférence au concert français car le SportPaleis d’Anvers contient 13000 places, alors que le Palais Omnisport de Bercy en contient au bas mot 5000 de plus, Anvers est plus intime) pour lequel nous avions rendez-vous avec le Toune. Rendez-vous que celui-ci n’a honoré qu’avec une heure de retard (et donc pas longtemps avant le début du concert) à cause qu’il y avait des embouteillages et que c’était pas facile la route parce qu’il n’avait pas beaucoup dormi la veille, toutes choses pour lesquelles j’ai affuté tout le mépris MaRDyCkien qui est en moi, moi qui suis un vrai fan et qui ai pris une journée de congé et une nuit de quatorze heures afin de profiter au maximum du concert.
Arrivé dans la salle, bonheur : nous étions tout près et c’était plein de sièges, et je rêvais depuis trèèèèès longtemps d’un concert de Pink Floyd assis, comme dans les années 70. Bon, ce n’était pas Pink Floyd, mais c’était the next best thing, et puis deux gros tiers du set étaient consacrés à des morceaux de Pink Floyd.
Le père Roger était très en forme, et visiblement tout heureux de jouer, ce qui fait grandement plaisir, la scène était à taille humaine, ce qui change des concerts énormes de Pink Floyd justement, j’avais vraiment l’impression de me retrouver projeté trente ans en arrière. Le son non plus n’était pas le son parfait et policé de Pink Floyd, mais quelque chose de beaucoup plus rock et vivant. Il parait que la sonorisation de la salle n’était pas terrible, mais de là où nous étions j’ai trouvé ça parfait.
Le seul problème du concert pour moi, ça a été l’arrivée au cours du premier morceau de deux blaireaux qui sont venus s’installer juste devant moi en hurlant comme des crétins décérébrés (bien sûr, qui donc est intéressé par la musique à un concert ?) et en restant bien plantés debout -oui, pour un concert assis, oui-, évidemment, il n’y avait que deux personnes debouts parmi 13000, et c’était pile pour ma goule. J’ai gentiment tapé sur l’épaule de la demoiselle pour lui faire signe de s’assoir, elle me fait signe de me lever. Moi veux pas, moi ronchonne, moi m’énerve et je finis par la prendre par les épaules pour essayer de la forcer à s’assoir, là dessus, son copain à l’intelligence, la carrure et l’air sympathique de buldozer me fait comprendre qu’il n’apprécie pas mon comportement, pas lâche mais pas fou (surtout avec un enregistreur minidisc dans la poche, ça casse), je lâche l’affaire et je rumine de sombres pensées sur ce sombre connard qui par sa seule présence me fout le concert en l’air …
Non pas : au troisième morceau, voici qu’arrivent des retardataires avec un gars de l’organisation : nos blaireaux avaient des places du fond et n’avaient que squatté des places vides, allez ouste blairal, à la niche ! Mon concert était sauvé.
Et donc, après trois heures de bonheur (Aaaaaah Dogs ! Aaaaaaah Perfect Sense !), nous voilà en train de boir une bière de concert après le concert, d’essayer d’assimiler le plaisir que nous venons de ressentir et pour Toune et moi de commencer à baver en pensant que dans un mois nous sommes à Londres pour un doublé … Rah, si vous voulez bien me passer l’expression.
Sur la route du retour, avec DXXXX (il avait été convenu qu’elle repartait avec moi, parce que ça ne me rajoutait que 200 bornes, alors que ça en aurait rajouté 30 à Toune), nous avons réécouté le concert : ou-ah-ouh ! Merci la technique, le son est nickel, je n’ai raté qu’un petit bout (alors que j’étais en train de me battre avec un buldozer), on entends quelques voix parfois (DXXXX est bavarde), mais dans l’ensemble, ça rend très très bien, je suis heureux. Ça part normalement bientôt pour les états unis où un pro va me nettoyer ça comme il l’a fait pour le concert de Gilmour que nous sommes allés voir en Janvier. Que - du - Bonheur ! À part le fait d’avoir raté mon résumé du Loft comme tous les lundis chez Ruquier, voilà un lundi comme je les aime, et tant pis pour Garfield
Et puis le mardi est arrivé, il a fallu reprendre le travail, celui-là même dont je parlais plus haut, mais cette fois avec derrière moi une nuit très courte, donc ce n’était pas le bon jour pour rattraper mon retard de mail et de mise-à-jour, bon, ben maintenant, c’est fait, à part le mail (j’arrive les gens !)
Allez, je repars vers mes activités normales, mon travail jusqu’à très tard (oui madame,je bosse jusqu’à minuit ce soir, moi !), mon attente (Julie et moi ne pouvons nous voir pendant deux week-ends, ça veut dire trois semaines, ça, quand même !), et ma paresse.
La prochaine fois, je vous parlerai si je veux, d’abord.
Commentaires
Hello
Is there somebody listen to this Writing,
The writing in this page of pain,
Pain in life, pain in die
I die to live with this voice
Voice of Pink Floyd
Pink I don’t say if I live in the sorrow
Floyd I say that I am in life of sorrow
I am the writing to this voice of sorrow in my page of life
Life in the past life in present, I to live until dying
It is the law of the existence
Existence of life, existence for die
The existence of this feeling in this page of pine
Hello page
Hi is a Pane; you dance with me in this message?
Message for this eyes sadness, when they read this page
When they listen to this pain feeling
Feeling to be alive with the day and died in the night
One night without dream in the sky, Sky without stars
Stars extinct when she’s look at this dance pain for page
Look at this life at these lines
In this line fear without any making male
In this line heart breaking in this moment
Moment of hearth a young man, and food in your youth lost
Lost in your voice
He you can you help me
He you can you live me for just moment
I live in Algeria with your imagination
He you can you Take to me for one moment in your imagination
Ok I just listen to your music …….
Where were you when I listing this voice?
Where were you when I live in this music?
Are you in my imagination to this voice?
You are in my life with my self
You are in this day in this moment with the Title of life
Life of happy or life to sorrow
Hi Roger what your message here with voice of Pink Floyd
Hi David what your imagination for voice of Pink Floyd
Pink Floyd cant you help me?
Help me for this dance with my self in the red sky
Sky of war in the world, war in my country
War of my self in twenty four years
Year after year day after day
Night after night, I say this sorrow in the wall of house
House his mother dies last day.
Mother I miss you in my dreams
Mother I love you in my life,
Mother I love you in another life
Another life without war
Relaxed I need you for breaking the wall, wall of sorrow.
Sorrow for this time in this second
Second of fire in my touches
Goodbye and Hello Mr Pink Floyd.