Tiens, un rêve d'éloignement. Il y avait longtemps ...
mardi 30 septembre 2008
mauvais sommeil
Par humeurs
mardi 30 septembre 2008
Par humeurs
Tiens, un rêve d'éloignement. Il y avait longtemps ...
lundi 29 septembre 2008
Par lez'Arts
Ah tiens, je viens d'apprendre que finir un morceau en mineur sur un accord majeur (genre par un Mi majeur pour un morceau en Mi mineur, comme Atom Heart Mother, ou un Sol majeur pour un morceau en Sol mineur, comme Shine On You Crazy Diamond) ça s'appelle une tierce picarde. Trop la classe.
Hier matin, j'étais un petit peu quand même sévère vaseux.
Voilà ce que c'est que de boire du rhum.
Plein.
Quand on n'en boit jamais.
Sans avoir fait un vrai repas depuis deux jours.
Et à mon âge !
Je devrais faire ça plus souvent.
dimanche 28 septembre 2008
Par Petits bonheurs
Hihihi, trop bu, copains, bonne soirée, fun !
jeudi 25 septembre 2008
Il est temps que je me débarrasse de ça, parce que c'est quand même le quatrième dital que j'écris sur un sujet qui n'en devait prendre qu'un. Alors ? Paris ou Bruxelles ?
Ce n'est pas franchement étonnant, ceci dit, que j'ai autant à en dire : ça occupe une place non négligeable dans ma tête depuis des mois. Quand j'ai commencé à voir la dame des questions, les premières séances ont toujours débuté par la même interrogation : Est-ce que je veux aller à Paris ?
Je n'ai commencé à attaquer mes angoisses avec elle que par ce biais là. Et j'ai changé d'avis quelque chose comme 7321 fois sur ce sujet là.
Et tout valsait d'un côté à l'autre de ma tête au fur et à mesure : N'est-il pas urgent que je me pose ? Ne dois-je pas redevenir moi-même (c'est qui, ça, d'abord ?) ? Est-ce que je n'aurais pas plus de chance de rencontrer une fille à Paris ? Est-ce qu'une parisienne serait la fille qu'il me faut ? Est-ce que ça ne fait pas trop longtemps que je traîne ce job ? Est-ce que c'est le moment de tenter un autre boulot qui pourrait me déstabiliser encore un peu plus ?
Bon arrêtons le suspens.
mercredi 24 septembre 2008
J'ai découvert Bruxelles il y a un peu plus de neuf ans, et pour un certain nombre de raisons, je ne m'y suis pas installé, m'étant toujours considéré comme de passage. C'est en partie pour ça que j'ai envisagé facilement d'aller à Paris, puisqu'il y avait des années que finalement, chez moi, c'était sur les routes entre Paris, Lille et Bruxelles, je n'avais pas de résidence et de vie établie dont je devais m'arracher.
Je fonctionne beaucoup en me cognant depuis quelques mois : je pars d'un côté jusqu'à ce que j'arrive dans le mur, alors je ne peux plus avancer autrement qu'en me retournant et en repartant dans la direction inverse. Quand je suis enfin arrivé à prendre la décision d'aller m'installer à Paris, j'ai commencé à réexaminer ça d'un autre angle.
Je ne sais plus trop où j'ai commencé cette réflexion dans l'autre sens, mais il me semble que c'est en repensant à une très vieille histoire : Il y a des très longues années, mon meilleur ami et moi-même avons été quittés presque simultanément par les filles avec qui nous pensions que nous allions faire notre vie. Quelques temps plus tard, il trouvait un poste dans un patelin que j'ai toujours trouvé complètement pourri mais qui avait un avantage énorme : il n'était pas très loin de là où était allée s'installer son ex.
mardi 23 septembre 2008
Même taille, même coupe, même couleur de cheveux, même charte graphique... Les filles dans la rue, il faut arrêter de jouer avec mes nerfs, je n'ai pas encore le cœur très solide.
lundi 22 septembre 2008
-Allo Plouga ? Tu ne devais pas m'emmerder jusqu'à ce que je sois d'accord pour aller avec toi en voiture à Paris à la soirée chez Copain ?
-Ben si, mais c'est la semaine prochaine, j'ai encore le temps de te prendre la tête.
-C'est marrant, je croyais ça aussi. Mais figure-toi que je viens d'apprendre qu'en vrai, c'est tout à l'heure.
Et voilà donc qu'au dernier moment, nous avons pris la route pour aller retrouver les bouchons du périph et aller manger un chili avec les copains. Mais tard, forcément, parce qu'il y avait un bon bout de route, des bouchons sur l'A3 et un départ un peu à l'arrache. Mais c'était bien ; Mon ami Plouga est un GPS un peu particulier mais à la conversation qui fait paraître la route plus courte, je l'emmènerai encore.
Et puis évidemment, c'était bien aussi de voir les copains, et de voir Paris que je n'ai pas vu depuis oulah ! Je ne vais pas namedropper comme un malpropre, mais j'ai eu l'occasion de voir des gens que vous avez tous dans vos agrégateurs si vous êtes des personnes de goût et ça fait bien plaisir.
dimanche 21 septembre 2008
Réunion (encore en cours) du bureau de la dcTeam au siège parisien.
Nous avons l'air asociaux comme ça, mais non, nous discutons. Par messagerie instantanée.
vendredi 19 septembre 2008
J'en étais donc là de mes réflexions, et voyez comme les choses sont bien faites : j'ai trouvé un boulot à Paris. Oh, je n'en attendais pas grand chose ; D'ailleurs, je m'attendais tout simplement à ce que ça soit chiant, loin, strict et avec un salaire pas top.
Manque de bol, voilà qu'on me propose un boulot pas trop loin, super intéressant, cool et très bien payé. Oui, j'ai dit manque de bol
, parce que ça s'est passé à un moment où je n'étais plus si sûr de mon choix et que ce jour là, ça m'aurait arrangé que disparaisse une raison de devenir parisien. Et voilà qu'on me propose de super conditions, ça fait vaciller.
Mais j'ai eu la chance de tomber sur un gars qui comprenait ce vacillement et qui m'a encouragé à prendre mon temps pour réfléchir, m'assurant que si je repassait quelques mois après, il me prenait de toutes façons. Dont acte, retour à la case réflexion.
Et la case réflexion a été fort bien remplie, avec des idées contradictoires qui se sont cognées les unes aux autres pendant des semaines. Ce n'était qu'histoire de faire du ménage, parce que l'essentiel, je m'en suis rendu compte très vite, dans les jours qui ont suivi.
jeudi 18 septembre 2008
Par zimages
C'est bon, je peux mourir, ma vie ne resplendira jamais plus qu'aujourd'hui : Grâce au lobbying du Menhir de Lampol Plougastel (comprenne qui suit) je me retrouve aux côtés d'icelui, en plein milieu du dernier épisode en date de la Geste de Gandi, sous la plume du mirifique Didier Couly[1], dont je suis secrètement amoureux depuis des années[2].
[1] Qui dessine dans CanardPC, le magazine de jeux vidéos que je lis depuis des siècles alors que je déteste les jeux vidéos, mais j'aime ces gens depuis qu'en ouvrant pour la première fois un numéro de Joystick, j'ai découvert à quel point ils étaient crétins. (pour ceux qui n'aurait pas suvi ce Dallas à la française : toute l'équipe de joystick a démissionné en bloc après le rachat par un gros groupe de presse pour s'en aller fonder un de ces canards que je lis jusqu'au bout de l'OURS.)
[2] Plus précisément, depuis qu'à la suite du dépouillage d'un sondage dans (feu (si, si, je vous assure, joystick est mort)) Joystick où un lecteur avait simplement répondu plus de pingouins
à la question Qu'aimeriez vous voir dans le magazine
, il était parti en mode pingouins pour des années. (ah puis aussi et surtout parce que la Saucisse dans l'Histoire du Rock (ou était-ce l'Histoire de la Saucisse dans le Rock ?), la meilleure bio de Pink Floyd jamais écrite.)
mercredi 17 septembre 2008
Je savais que les magazines féminins recyclaient leurs sujets d'une année sur l'autre, je ne savais pas qu'ils recyclaient leur unes à quelques années d'intervalle.
J'ai passé des années à cracher sur Paris. Et puis j'ai rencontré Paris.
Et Paris m'a immédiatement plu, a immédiatement parlé à mon côté citadin, mais aussi, et surtout, au côté de moi qui aime voir le passé des choses et des gens. Paris, c'est de l'histoire tous les cinquante centimètres. Autant j'ai pu mépriser cette ville pendant les trois quarts de mon existence, autant il n'a pas fallu longtemps pour que je me rende à cette simple évidence : Paris est tout simplement la plus belle ville du monde. Pleine de crottes de chiens, mais la plus belle ville du monde quand même. Je n'ai jamais été dupe de la course permanente, de la fermeture sur soi généralisée, de la pollution, du snobisme et du parisianisme, mais les grandes qualités ne vont jamais sans les grands défauts ; J'aime aussi Paris pour ses défauts, ce qui est la marque de l'amour.
C'est pour ça que quand je me suis rendu compte que la fille que j'aimais resterait parisienne pour encore un bon bout de temps par la grâce d'un boulot trop la classe mais qu'il était nécessaire à ce stade de notre relation de nous rapprocher l'un de l'autre, je n'ai pas eu trop à me tordre la tête pour me dire qu'il était temps que je rentre au pays et que je m'installe à Paris, quelque part pas loin d'elle.
lundi 15 septembre 2008
Par lez'Arts
J'ai eu l'occasion, à huit reprises, de le voir sur scène. Je ferai tout ce que je peux pour ne pas oublier ça.
Merde.
Merde.
Merde !
Pink Floyd est officiellement mort aujourd'hui.
Par Petits bonheurs
Deux mains qui s'approchent, une chemise qu'on déboutonne, une caresse sur ma peau...
Après toutes ces années, j'avais oublié ce simple plaisir là.
vendredi 12 septembre 2008
C'est la rentrée. Du coup, fini la tranquillité, la circulation est redevenue idiote, je recommence à me déplacer à pieds. Ça veut tout de même dire une heure de marche par jour, sur terrain non plat. Si on ajoute à ça, comme je l'ai raconté il y a peu, que je me suis mis à faire des pompes, je me retrouve dans ma période la plus saine depuis longtemps.
Oui mais c'est affreux, ça ne s'arrête pas là.
Le programme pour les pompes, c'est un jour sur deux, et la dépense s'est mise à me manquer pendant l'autre jour sur deux. Comme il ne faut pas forcer le programme, je me suis mis à faire des abdos sur le même principe, ça commence à faire beaucoup.
Sauf que ça continue !
jeudi 11 septembre 2008
Par lez'Arts
Quelle journée remplie en émotions : je viens d'apprendre coup sur coup qu'Ivan Rebroff était mort (bon, fin février de cette année, mais vu le timing, je suis pardonnable d'être passé à côté.) qu'en fait, il était allemand, et que c'est son frère qui a abattu Saint-Exupéry.
Je ne sais pas si je vais m'en remettre.
Quand je parlais de souvenirs et de bouffe, j'en ai oublié un (ce qui est d'autant plus idiot qu'à la base, c'est celui qui m'a donné envie d'écrire sur le sujet) : Le chocolat au lait Milka dans de la baguette beurrée. Normalement, j'aime pas le Milka; mais ça, c'est un goût qui remonte du fond des ages.
mardi 9 septembre 2008
Bon, j'en suis où, moi ?
Six bons mois depuis la rupture, dont quatre depuis la cessation totale d'expériences communes. Est-ce que je suis toujours amoureux ? Oui. Est-ce que je vais mieux ? Oui.
Je le sentais venir il y a quelque temps et je commence vraiment à le ressentir : Cette histoire a été une chance, cette rupture est une chance.
Cette histoire a été une chance parce que j'ai passé six ans à avoir en face de moi quelqu'un qui me motivait, qui me titillait et qui me donnait envie d'aller plus loin. Quelqu'un qui partageait mon envie de donner du sens à la vie et de ne pas s'arrêter, quelqu'un qui avait besoin de mon côté passionné comme j'avais besoin de son côté réfléchi. Nous avons rempli d'expériences communes ces six années là, et - sans présumer de sa perception des choses - j'ai trouvé le bonheur que j'avais cherché pendant des années, dans toutes mes précédentes relations.
C'était bien. Mais bon, c'était. Que ce soit partir au bout d'un monde avec elle ou simplement embrasser la paume de sa main, c'était vraiment un bonheur sans bornes. Je suis juste en train de me dire que le bonheur au passé, ça ne sert à rien.
« billets précédents - page 28 de 87 - billets suivants »