Métaphore

Il fait froid dehors

Route, copains, route

-Allo Plouga ? Tu ne devais pas m'emmerder jusqu'à ce que je sois d'accord pour aller avec toi en voiture à Paris à la soirée chez Copain ?
-Ben si, mais c'est la semaine prochaine, j'ai encore le temps de te prendre la tête.
-C'est marrant, je croyais ça aussi. Mais figure-toi que je viens d'apprendre qu'en vrai, c'est tout à l'heure.

Et voilà donc qu'au dernier moment, nous avons pris la route pour aller retrouver les bouchons du périph et aller manger un chili avec les copains. Mais tard, forcément, parce qu'il y avait un bon bout de route, des bouchons sur l'A3 et un départ un peu à l'arrache. Mais c'était bien ; Mon ami Plouga est un GPS un peu particulier mais à la conversation qui fait paraître la route plus courte, je l'emmènerai encore.

Et puis évidemment, c'était bien aussi de voir les copains, et de voir Paris que je n'ai pas vu depuis oulah ! Je ne vais pas namedropper comme un malpropre, mais j'ai eu l'occasion de voir des gens que vous avez tous dans vos agrégateurs si vous êtes des personnes de goût et ça fait bien plaisir.

Parmi ces gens, nous avons eu l'occasion d'aller saluer le Capitaine avant son départ imminent et définitif pour le nouveau monde et c'était bien aussi, d'autant qu'il m'a fait un cadeau absolument épatant pour diminuer le volume de son container de déménagement. Je tiens à affirmer haut et fort publiquement que ce garçon est une crème, si l'on excepte tout de même :

  1. Sa duplicité qui le fait se cacher derrière un nom mal orthographié sur la boîte à lettres.
  2. La statuette, là, ça va vraiment pas le faire.
  3. Il n'a même pas fait mine de vouloir attenter à ma vertu. Je ne me serais pas laissé faire, car il n'est pas mon type d'homme, mais tout de même, c'est vexant.

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