Ce week-end, c'était la Braderie. Je l'ai déjà dit : à la Braderie, j'ai des sous ou je trouve des choses. Bon. Si je puis me permettre un autre rappel : j'ai eu la chance de tomber célibataire juste après qu'elle m'aie enfin décidé, pour le bien de notre avenir commun[1], à commencer à mettre de l'argent de côté.

Voilà pourquoi, cette année, j'avais en caisse de quoi acheter une voiture ou deux[2]. On comprendra aisément alors que malgré les heures[3] et les kilomètres[4], pas un seul petit morceau de mouche ou de vermisseau, ce qui n'est rien, parce que je n'en ai pas l'usage, mais surtout pas le moindre instrument intéressant. Comme l'a bien résumé mon camarade Adrien, qui en fit le même constat : Un accordéon et quelques guitares syndicales, c'est tout.

Ah si, j'ai retrouvé un peu de la même chose que l'année dernière, mais il est hors de question que je ne lutte pas contre cette impression toujours insupportable de m'être fait voler mon chez moi, et par des étrangers en plus !

Notes

[1] ne soyez jamais ce qu'elles veulent

[2] Ce qui serait idiot, j'en ai une, qui fonctionne très bien.

[3] Jusque tard.

[4] Quinze, log GPS en main. Et quand on sait la lenteur à laquelle oblige le slalom dans la foule, c'est un exploit.