convalescence non concluante
Je me demande comme
Subsister sans ses joues
M´offrant de belles pommes
Nouvelles chaque jour.
Tout est bon chez elle, y a rien jeter,
Sur l´île déserte il faut tout emporter.
Brassens
Samedi soir, dans la campagne flamande, sous un moulin, sous les étoiles. Et elle dans mes bras. J'aurais voulu rester là toute ma vie.
Mon dieu, elle est tellement belle que ça en devient douloureux ...
Sur le grand huit de mon moral, ça va relativement bien. Je ne suis pas pressé d'être dans trois heures.
Publié le 15/10/01, dans la rubrique Maha-ha viiiiie....
Commentaires
1. Par marc, le 20/07/2005 à 11:43
2. Par xave, le 20/07/2005 à 11:52
3. Par Nonal, le 21/07/2005 à 22:15