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mercredi 1 novembre 2006

Que de lumières !

Achtuce : En cliquant sur les parties gauche ou droite d'une photo, vous pouvez passer à la précédente ou à la suivante. (les touches P & N fonctionnent aussi.)

bonjour la facture EDF.

Il y a tout de même un problème avec les repas japonais : bien sûr, c'est super pratique, puisqu'on vous met sur la table l'intégralité de votre repas en une seule fois, entrée et dessert compris, vous n'êtes pas surpris après vous être goinfré de l'entrée de voir arrivé un plat que vous aimez encore plus mais pour lequel vous n'avez plus de place (ça, c'est le problème vu de manière optimiste.)

Sauf qu'entrée et dessert compris, c'est faux, puisqu'il n'y a pas de dessert. Pour un palais européen, ça laisse toujours au repas une impression de pas fini. Se débarrasser de cette impression est facile : il suffit d'aller manger une sucrerie quelconque. Nous nous mettons donc en quête du McDo le plus proche, au moins, là bas on connaît leur glaces. Coup de chance, nous croisons deux demoiselles avec un McFlurry entre les mains : excusez moi, vous pouvez nous dire où il y a un McDo ? Mais elle n'ont pas l'air d'avoir remarqué que c'est là qu'elles ont acheté ce qu'elles sont en train de manger, et serviables comme des nippones, elles viennent avec nous pour nous guider vers une rue où il y a ce que nous cherchons. Sauf que nous savons très bien qu'il y en a un au bout de cette rue, mais c'est loin, et si vraiment elles venaient de celui là, leur glace aurait fondu.

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明治神宮 et 原宿

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photo: porte du parc

Tokyo n'est pas qu'une enfilade d'immeubles à l'infini, qu'on se le dise (bon d'accord, c'est quand même bien imité.) Pour preuve, en sortant du petit déjeuner, nous allons au parc : le parc Yoyogi, au sein duquel se trouve le temple Meiji Jingu (明治神宮), en grand effervescence : aujourd'hui, on fête l'empereur Meiji, c'est un petit peu fête nationale, en quelque sorte.

Le temps donc de trouver une consigne afin d'y ranger pour la journée notre vaisselle nouvellement acquise (c'est que c'est lourd, ces petites choses, quel bonheur, un pays où on trouve encore des consignes !) puis de faire dans une cafétéria un deuxième petit-déjeuner moins copieux, mais avec plus de viennoiseries et de café et nous aurons donc l'occasion d'attendre que le défilé des moines soit passé, d'écouter force chants lents (c'est bouddhiste : on fait traîner chaque syllabe quatre ou douze minutes,) de voir passer maints gamins habillés de costumes traditionnels et d'assister à une séance de photo de mariage. Le photos de mariage ici, c'est un peu comme chez nous, sauf que les costumes ne sont pas les mêmes et que le photographe passe à peu près quarante-cinq minutes à placer chaque pli de la robe de la mariée avant d'officier. Autre différence : là où l'occidental en instance de mariage aimerait beaucoup avoir le parc pour lui tout seul, le japonais en costume coloré est flatté qu'on puisse s'intéresser à ce qui se passe et encourage tous les étrangers qui dégainent leur appareil photo à s'approcher pour pouvoir faire de meilleurs clichés.

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Le jour du poisson

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le matin, c'est difficile

Aujourd'hui, il était prévu que nous nous levions tôt, mais pas si tôt ! Nous avons rendez-vous à cinq heures dans le hall de l'hôtel pour aller voir le marché aux poissons, ce qui justifie bien que nous ayons mis le réveil à cinq heures moins le quart, alors ce n'était pas la peine qu'on fasse sonner notre téléphone à quatre heures trente !

Du coup, bien évidemment, nous étions dans le hall à cinq heures. Le temps d'attendre Chico et Roberta et nous voilà tous en route vers le métro, direction le marché aux poissons de Tsukiji, réputé pour être le plus gros marché aux poissons du japon, voire du monde, avec ses plus de deux milles tonnes de poisson qui y transitent quotidiennement.

photo: boutique

En effet, c'est assez énorme : nous naviguons de petites allées où s'entassent des bacs remplis de poissons, crustacés et mollusques morts ou vivants et des grands halls où sont alignées des centaines de carcasses de thon. Le spectacle est un peu difficile par moment lorsqu'on n'a pas encore pris son petit-déjeuner, mais toujours fascinant.

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mardi 31 octobre 2006

Flânons.

Note : j'ai récupéré la plupart des photos de Julie. Vous pouvez donc considérer que les plus jolies ne sont pas de moi. (Mais de toutes façons, vous n'êtes pas ici pour voir des photos du Japon, sinon vous seriez chez Karl depuis longtemps, nous sommes ridicules à côté de lui.)

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Julie dans le métro

Ce matin, après un petit-déjeuner mixte (du café et des croissants, mais aussi du poisson ou du soja fermenté. On a le droit de choisir, ouf) nous attendons encore une fois Chico et Roberta avant de nous diriger vers la station de métro : ce matin, nous allons au musée.

Le métro, de par chez nous, c'est plutôt simple : on repère où on veut aller, on prévoit son trajet et ses changements, on achète son ticket et on y va. Ici, c'est presque pareil, sauf que pour simplifier, tout est écrit en japonais. Et le japonais, ce n'est pas facile à lire pour nous : ils utilisent principalement trois systèmes d'écriture : D'abord les kanji, qui sont en gros les caractères chinois et sont des des logogrammes : un caractère = un mot (en über simplifié.)

porte parapluie devant le musée

Ensuite viennent les Kana, les systèmes syllabiques, au nombre de deux : les hiragana et les katakana : un caractère = une syllabe. On pourra ajouter pour compléter leur système d'écriture les romaji, qui ne sont rien d'autre que les caractères latins, qui, bien que moins présents que les autres, sont à tous les coins de rue (tous les noms de marque s'écrivent en romaji, c'est plus pratique à l'international.)

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lundi 30 octobre 2006

Premier jour à Tokyo

arrivé à Toky Narita

J'aurai donc passé la nuit à bouquiner (Talk to the Snail, de Stephen Clarke, une explication emplie d'humour de la France et des Français pour les anglais, très fortement conseillé.) et à regarder les continents défiler par le hublot : la Russie est absolument énorme. De nos 10000m d'altitude, le dernier patelin que je vois passer est un patelin paumé en plein milieu de centaines de kilomètres carrés de rien, mais quand même au bord de la mer. J'ai trouvé depuis qu'il s'agissait de Пластун, un patelin de 5000 habitants dont la plus proche agglomération est Vladivostock, à quelques centaines de kilomètres. Et j'ai du mal à imaginer la vie dans un coin pareil.

Un fois l'avion posé, je choisis de feinter la visite médicale. Il y a en effet des panneaux partout indiquant que quand on est malade, et surtout quand on a mal au ventre, il faut s'y soumettre, or mon ventre est une torture, j'ai du mal à me tenir debout, mais je mets ça sur le compte du manque de sommeil qui a toujours des effets désastreux sur mon système digestif.

Nous rencontrons Olivier, notre guide, un français installé à Tokio, et nous sortons pour attendre le bus. Première surprise, on m'avais dit que les japonais fumaient beaucoup et partout, et je me rends tout de suite compte que beaucoup peut-être, mais pas partout : sur le trottoir de l'aéroport, il y a une espèce de bac à fumeurs : Ça ressemble à un bac à chiens, mais avec des cendriers. L'équivalent d'une salle fumeur, mais à l'air libre, histoire de ne pas emmerder les autres piétons. Ici, on ne se promène pas la clope à la main, si on veut fumer, on s'arrête au coin fumeur.

Après un long trajet en bus (mais bordel, cet aéroport est à combien de centaines de kilomètres de la ville ?) nous arrivons dans le quartier d'Ikebukuro, à Tokio. Mon premier choc, c'est de ne pas savoir où est le niveau du sol. Oh, ça n'est pas comme ça dans toute la ville, mais par là où nous arrivons, l'enchevètrement de bâtiments et de niveau routiers les uns au dessus des autres m'empechent de me repèrer verticalement, je vois bien parfois un bout de canal ou de rivère, d'eau en tous cas, mais je ne sais même pas si je peux m'y fier. Même l'arrivée à l'hotel ne réponds guère à ma question : la porte principale est en dessous du niveau de la rue, et l'arrière débouche dans un centre commercial qui est souterrain ou en hauteur suivant la porte par laquelle on le quitte.

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dimanche 29 octobre 2006

En route vers l'est.

bon, je cours, je cours, je prépare mes bagages, je fais des courses et j'oublie de vous prévenir : je m'en vais.

Dans quelques heures, je prends l'avion pour quelques onze heures de vol vers l'est, je serai du coup absent de vos ecrans pour une quinzaine de jours (oui, ce sont mes grandes vacances de l'année.) Vu ma fréquence de mise à jour ces derniers temps, je pense même que j'aurais pu me passer de cet avertissement, vous n'auriez pas vu la différence.

Bon,je ne vais pas la faire trop longue : je suis en train de taper sur mon téléphone, c'est lent, et je dois finir mon sac. En attendant mon retour et sans doute un plus ou moins compte-rendu, les commentaires restent ouverts, je suis joueur, je nettoierai plus tard (de toutes façon, c'est négligeable par rapport aux dix à vingt spams que je reçois chaque heure dans ma boite à mail, ça va être beau, tiens, au bout de quinze jours...)

Allez, voyage. Youpi !

samedi 28 octobre 2006

En route pour Tokio

Cette année, on change de méthode : j'écris mes petites aventures à la date du jour et j'antidaterai le tout une fois que ça sera terminé, vos agrégateurs seront contents...

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lundi 23 octobre 2006

les bleus de Miro

photo : les bleus de Miro
Centre Pompidou - Expo Miro, 2004

vendredi 20 octobre 2006

publicité racoleuse subliminale

onglet de France Cul

C'était donc vrai ...

rah, drogue !

Ça y est, j'ai réussi à débloquer les statistiques, je vais enfin pouvoir me remettre à me repaître[1] de vos visites !

Notes

[1] Hé, ça sonne bien, ça !

Pour passer le temps ...

Mon serveur va mieux, même s'il y a encore un paquet de problèmes qui traînent, ils sont maintenant derrière la façade et ne devraient plus emmerder personne (à part moi, bien entendu.)

Du coup, entre le surcroît de boulot que cette histoire m'a donné, les études pour rendre service à l'un ou l'autre camarade dans le besoin informatique, le grand ménage d'automne chez ma maison, un locataire imprévu cette semaine et mon job qui fonctionne à un rythme de dingue ces dernières semaines, je n'ai pas le courage de mettre à jour, ce qui est dommage parce que j'ai de trucs à raconter : le dernier/premier alboume de Benoit Morel, la découverte incongrue de l'explication de pas mal de points délicats dans mon comportement et une petite explication sur le pourquoi de ma lenteur à écrire ici et partout. Sauf que là, vraiment, pas le courage : Julie arrive tout à l'heure, j'ai des courses à faire, j'ai faim et ici au boulot, on dirait que tout le monde a décidé que le vendredi était la seule bonne journée pour bosser.

Alors je vais encore vous laisser tranquilles un petit peu, j'ai fait l'essentiel : j'ai rouvert la machine. Ça me lancera sans doute pour la reprise. En attendant, qu'allez vous faire ? Vous instruire. Vous ne lisez pas forcément les mêmes sites que moi, je vous propose donc d'aller lire deux articles courts : le premier sur notre arriviste populiste national qui s'en prend rien moins qu'à "Les hommes naissent libres et égaux en droits ..." Ah wuais, mais juste à la naissance alors, parce qu'après, ceux qui portent l'uniforme valent mieux que les autres. Le deuxième sur l'effet de serre qui c'est bien connu n'existe pas, puisqu'hier matin, à Vierzon, on avait un peu froid à l'arrêt de bus. Oui, c'est ça, il n'existe pas, à part pour la totalité de scientifiques qui s'intéressent au sujet et pour les faits...

Voilà. Ne déprimez pas trop.

jeudi 12 octobre 2006

Message de service détérioré

Bonjour les gens.

Bon, j'aurai du mettre à jour depuis quelques jours déjà, sauf que ben... J'ai explosé mon serveur (un ifdown tout en souplesse suivi d'un ifup qui n'a jamais voulu fonctionner, malgré mes propres auto-médications et les services d'un docteur compétent.) Déjà, ça explique la disparition d'icelui ce début de semaine.

Si j'ai pu récupérer mes données, et pratiquement tout réinstaller en un temps record (en empiétant sur le serveur d'un camarade), tout n'est pas encore optimal. Depuis une mise-à-jour du firmware du serveur, j'ai des problèmes avec un serveur mysql qui ne veut plus tourner en boucle locale, ce qui n'est pas pratique à bien des égards et qui demande correction. Sauf que correction implique moult redémarrages du service, pendant lesquels ce site va clignoter.

Veuillez donc nous excuser pour ces interruptions intermittentes du service.

La Direction.

maj: Bon, ben ça n'avait rien à voir avec le remplacement du firmware, c'est juste qu'avant ça tournait et que j'ai fait des modifs qui n'ont révélé leur côté obscur qu'au redémarrage du service. Allez, j'y retourne.

lundi 2 octobre 2006

Une soirée avec les Épis Noirs : de retour au Paradis.

Ah mais ta vie, Jocaste, c'est une autre histoire ... C'est complexe !
Créon.

C'est tellement pratique d'avoir quelqu'un de responsable au dessus de soi qui n'existe pas.
le même.

J'ai eu la chance le week-end dernier de retourner voir une représentation de Bienvenue au Paradis des Épis Noirs, spectacle dont j'avais déjà parlé il y a jolie lurette (déjà un an et demi ? Pfiou, ça file, le temps !), et j'ai pris une décision : il me faudra dorénavant aller voir chacun de leurs nouveaux spectacles au moins deux fois : la première dans les premières semaines, la seconde alors qu'il aura bien vécu et se sera affiné.

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vendredi 29 septembre 2006

MS(tm) Firefox(R)

Rire : Je viens de me rendre compte que parmi les logiciels vendus par Microsoft, il y a ... Firefox. Si.

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jeudi 28 septembre 2006

Rencontre de jeunesse

Du côté de mon adolescence, quelque part entre les premières pensions alimentaires de mon père et les premières traites de ma mère pour racheter sa part de la maison, nous avons eu de l'argent. Pas suffisamment pour être riches peut-être, mais assez pour se permettre des vacances un peu plus longues et un peu plus loin que nos habituels quinze jours en camping dans l'Hérault. Ça a quand même presque duré trois ans...

Les deux premières années, ma mère a trouvé le truc idéal quand on est une jeune divorcée avec trois enfants : le club de vacances. Du temps libre pour elle (et quand ce n'est que quelques jours sur une année, ça compte) et des activités à ne plus savoir qu'en faire pour nous. J'en ai gardé de très bons souvenirs (aaaah, les buffets gargantuesques pour le petit déjeuner, aaaaah, ma découverte de la voile...) et d'autres moins bons (j'étais déjà plutôt handicapé socialement à cette époque, et personne parmi mes petits camarades n'aimait le gars bizarre avec sa coiffure de Dave.) mais dans l'ensemble, c'était plutôt positif.

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lundi 18 septembre 2006

Barry White, c'était mieux avant.

Voilà ma participation à un exercice de style de la Boîte à Images de Monsieur Ka. Désolé.

mercredi 13 septembre 2006

le meilleur groupe du monde

Ainsi que le savent les lecteurs fidèles - ou les lecteurs volages tombés sur le bon texte - je fais de la musique, je fais partie d'un groupe. Je joue de la guitare, je joue des claviers, je joue du ukulélé, et je sais à peu près où poser mes mains et comment sortir des notes d'une flûte traversière, d'un accordéon, d'un saz ou de n'importe quoi qui me tombe dans les mains : quand on connaît un minimum de théorie et qu'on a posé ses mains sur des tas d'instruments, l'instrument nouveau qui apparaît à toujours des similitudes avec l'un ou l'autre.

Mais si vous me demandez ce que je fais, la réponse de base sera toujours la même : je suis bassiste. J'aime ça, j'ai commencé par là, je finirai par là. La basse, c'est un instrument très particulier : une blague récurrente à son propos est que c'est l'instrument que l'on n'entend que lorsqu'il s'arrête, ce qui n'est pas faux : personne ne prête attention à ce truc qui joue derrière les autres. Sauf que ce truc derrière les autres, ça a beaucoup plus d'influence sur le groupe qu'on ne l'imagine : un bassiste copain avec son batteur peut diriger assez facilement les morceaux, ça fait un peu éminence grise, homme de l'ombre, et ce n'est pas du tout désagréable.

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vendredi 8 septembre 2006

Considérations chocolatières

Un mien camarade, qu'on s'accorde à trouver éloquent, me faisait part en ces termes d'une sienne opinion, partagée par force gardiens du bon goût culinaire : le chocolat au lait, beuaaark

Je l'avoue : je n'aime pas le chocolat noir. Mais bon, je respecte les choix de chacun : vous avez le droit d'aimer le chocolat noir. Si c'est votre cas, grand bien vous fasse, mais ne m'emmerdez pas avec ça : j'emmerde profondément tous ceux qui m'emmerdent à me dire que le chocolat noir est le seul chocolat qui vaille la peine d'être vécu ! Vous voulez mon opinion à moi sur le sujet ?

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mardi 5 septembre 2006

place du vieux polonais réac

-Police ! Cassez-vous !
-Nous sommes journalistes. Vous avez votre carte de police ?
-J'ai un gros flingue, c'est tout ce que t'as besoin de savoir !

vendredi 1 septembre 2006

Être ou ne pas être (sysadmin)

Pfiou ... Dans la vie, mon métier, c'est sysadmin : je gère plein de gros serveurs. Du coup, j'ai depuis longtemps l'idée d'avoir mon propre serveur, histoire de gérer exactement comme je le souhaite mon mail, mes sites, et autres jouets d'informaticien. Idée qui ne m'a pas lâché depuis des années, surtout que le serveur que j'utilisais jusque là (que je ne gérais pas) allait de plus en plus mal. Je ne le quittais pas jusque là parce qu'il était dépourvu de quotas et imbattable au niveau prix : Avoir son serveur à soi, c'est super cher !

Et puis voilà que nos camarades d'Illiad (le papa de Free) sortent la Dedibox (j'espère qu'il vont me payer pour tous ces liens) : un serveur dédié à un prix défiant toute concurrence. Bon, ce n'est pas non plus une bête de course, mais c'est très suffisant pour une utilisation non professionnelle. Me voilà donc avec mon serveur à moi, mais il faut le configurer. Facile ! Je suis administrateur système ou pas ?

Pas.

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