Voilà : j'ai passé le plus clair du mois d'août à recevoir des amis sous un soleil bruxellois tout à fait anormal. C'était bien, fatiguant, mais bien. C'est peut-être cette fatigue, ou alors le vide qui est devenu inhabituel ou alors la drache bien pourrie qui joue sur l'humeur, mais je ressens un truc depuis quelques jours que je ne cernais pas jusqu'à présent. Maintenant, c'est fait :

J'ai le moral en berne.