• Notre chanteuse était absente.
• Notre guitariste avait oublié ses parôles.
• Je me suis retrouvé à chanter.
• Les retours ont merdé (pratiquement pas de basse)
• Notre claviériste qui se réfère à la basse pour certains changements d'accord était bien embêté.
• Notre batteur qui se réfère à la basse pour Money (un 7/8, pas simple) était bien embêté.
• Notre bassiste (votre serviteur) qui se réfère à la basse pour jouer de la basse était bien embêté.
• Le sonorisateur a oublié de balancer la moitié des samples et a envoyé les autres dans le désordre.

Bon allez, ce n'était pas si mal. Malgré tout ça, ça s'est relativement bien passé et les gens n'ont pas trouvé le concert désagréable. Mais quand même, ça serait bien que ça se passe correctement ne serait-ce qu'une fois. C'est très agréable de faire des répétitions où chacun est surpris des qualités du jeu de l'autre, mais si c'est pour faire des concerts où tout le monde se plante parce que personne n'entend personne, ce n'est pas trop la peine.

Pour ce faire, il faudrait peut-être que nous prenions le temps d'apprendre à maîtriser la sono, j'en ai un peu ma claque de jouer sans retours. Il y a quelque chose qui cloche à ce niveau là. Nous y allons travailler. En attendant, je signale que le prochain concert d'Alwijn se déroulera au café Le Détour, à Lille, le 28 mars (un jeudi) et que nous devrions avoir moins de matériel (là, c'était quand même une grande scène) donc sans doute moins de problème de son donc nous ferons vraisemblablement moins de fausses notes.

La prochaine fois, je vous parlerai de symbole phallique à six vitesses.