Métaphore

Il fait froid dehors

désolé !

On ne va jamais si loin que lorsque l'on ne sait pas où l'on va.
Oliver Cromwell

Fichtre, réactions diverses à mon dernier dito... Des gens qui trouvent ça joli, des gens qui sont touchés, des gens qui se demandent pourquoi je pète un plomb et qui me demandent de me remettre à écrire normalement. Diantre, je n'ai jamais eu autant de réactions !

Je voudrais mettre une chose au point : contrairement à ce que certains ont pensé, il ne s'agissait pas du tout d'un piètre tentative de faire de la poésie, de l'art, de la littérature ou n'importe laquelle de ces choses dont je suis incapable. Disons que c'était une parabole : j'avais juste quelque chose à exprimer qui me paraissait ne pas devoir être dit directement. Aujourd'hui, je pense que seul les gens qui me connaissent bien ont compris ce qui me trotte dans la tête en ce moment et c'est bien. Je ne tiens pas non plus à m'étaler sur la place publique.

Parce qu'encore une fois ce que vous êtes en train de lire n'est pas un journal intime. Je ne suis pas contre l'idée d'un journal intime, mais alors que ça le reste. Intime. Ou alors anonyme... Parmi vous, il est un certain nombre de gens que je connais personnellement, il est bon, je pense, que je garde un petit jardin secret. Certains écrits, et celui de la semaine passé plus que tout autre, me permettent d'en dire un peu plus à ceux qui me connaissent qu'aux autres, et c'est bien aussi... Les gens qui comptent énormément pour moi auront compris plus que les amis qui auront compris plus que les copains qui auront compris plus que les connaissances qui auront compris plus que les étrangers...

Voilà quel était le but de la parabole. Je tiens à rassurer ceux qui s'inquiétaient qui pour mes chevilles, qui pour la disparition de mon humour... Je n'avais pas la moindre ambition littéraire, c'était juste une envie ponctuelle de parler de certaines choses autrement. Je tiens aussi à rassurer ceux qui ont compris la parabole en question : C'est vrai que je n'étais pas dans un forme pharamineuse en l'écrivant, c'est vrai aussi que je me pose beaucoup de questions en ce moment, que je ne sais pas vraiment où je vais, mais pour l'heure je me sens beaucoup mieux qu'il y a une semaine.

Sur-ce, je vais retourner m'enfoncer dans mes pensées et chercher des moyens moins obscurs -ou plus, suivant l'envie du moment- de les exprimer.

La prochaine fois, je vous parlerai plus clairement.

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