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lundi 2 janvier 2006

L'homme qui a vu l'ours

photo: petit déjeuner sur la terrasseEn descendant pour prendre le petit-déjeuner ce matin, on nous propose de la prendre sur la terrasse. Pardon ? Ah ben oui, il fait beau, il fait chaud, alors pourquoi pas ? Et puis un deux janvier, c'est quelque-chose qui ne se refuse pas. Prenons des forces, il va falloir sortir de la ville... Sortir de la vieille ville d'abord, ce qui est plus aisé en plein jour, mais ensuite surtout sortir de la ville elle-même, toujours sans le moindre panneau. Finalement, nous y arrivons, mais sans même comprendre comment nous avons fait.

La première destination du jour, dans les montagnes avoisinantes, c'est Termesos : encore des ruines greco-romaines ou assimilées, encore un lieu conquis par Alexandre (de toutes façons, dans la région, c'est lui ou Hadrien.)

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dimanche 1 janvier 2006

Aphrodisias, Pamukkale & Heliopolis

photo: nappe de brouillardNous voilà en 2006, et pour le coup, notre réveil est vraiment tardif : 9h, avec les interruptions habituelles dûes au muezzin et aux mouchoirs de Julie. Après notre premier petit déjeuner sans Pinar du séjour, nous sortons pour affronter un brouillard à couper au couteau : on n'y voit pas à dix mètres. Dans ces conditions, le visite que je voulais rendre à l'Artémision, à savoir les restes d'une des Sept Merveilles du Monde, est fortement écourtée : Je n'y jette qu'un vague coup d'œil, sans même sortir de la voiture. C'est idiot, il faudra que je revienne.

photo: cuvette de brouillardIl le faut bien : nous affrontons alors le brouillard pour quitter la ville. Juste après que Julie aie pris une photo afin de pouvoir témoigner de la visibilité que nous avons, il disparaît brutalement ! Nous sommes dans le brouillard complet, et dix mètres plus loin, le soleil brille... En nous retournant (après avoir arrêté la voiture quand même) nous nous apercevons que Selçuk est visiblement dans une cuvette : il y a derrière nous un gros nuage de brume parfaitement circonscrit.

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samedi 31 décembre 2005

Éphèse

photo: départ de PergameDebout ! Petit déjeuner, question médicamenteuses sur un anti-nez-qui-coule (Julie est toujours malade) à la bru médecin néerlandaise du propriétaire de la pension et hop : on se cale le sac sur le dos et on se dirige vers l'otogar, qu'on a quand même du mal à trouver - oui, les plans sont meilleurs sur le Lonely Planet que sur le routard, nous le savons ! Le temps de nous rendre compte une fois de plus que décidément non, tous les turcs ne sont pas multilingues, et nous réussissons à avoir un billet de bus jusqu'à Izmir.

Deux heures plus tard, nous voilà arrivés à l'otogar d'izmir, et c'est un autre format que celle de Bergama : c'est énorme et nous sommes trèèèès loin du centre. Il existe parait-il un service de navette vers le centre-ville offert par toutes les compagnies de bus interurbaines , mais ici, pas moyen de la trouver, ni d'ailleurs de trouver quelqu'un pour nous aider. Plus d'autre solution que d'essayer de suivre les indications du Routard pour aller dans le centre en bus local, mais ça non plus, ce n'est pas facile : nous avons déjà du mal à trouver le terminal de bus, mais pour trouver le bon, ça a l'air d'être mission impossible !

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vendredi 30 décembre 2005

Pergame

photo: le chat du jourAprès un réveil plus tardif qu'à l'accoutumée et un petit déjeuner aux œufs comme à l'habitude, nous profitons du même taxi avec les mêmes espagnols qu'hier pour monter à l'acropole de Pergame, patelin qui ne vous dit peut-rien, mais qui fût une des très grandes villes de ce monde (et accessoirement le lieu où on a inventé le parchemin lors d'un embargo sur le papyrus,) et dont la bibliothèque, pour le coup la plus grande du monde fut vidée pour emplir celle d'Alexandrie. Si l'abondance de vieilles pierres ne peut que me faire plaisir, je suis quand même déçu que la dite bibliothèque soit le seul bâtiment des plans que je ne réussisse à situer correctement, je sais qu'il n'en reste pratiquement rien hors l'histoire, mais l'histoire, c'est bien, ils pourraient planter une pancarte, pour le moins !

Tandis que je saute de pierre en pierre, ahanant en remontant les gradins du théâtre de 15000 places, m'interrogeant sur ces hordes d'asiatiques déferlant Nikon en bandoulière et caressant le chat du lieu (car il en est toujours au moins un, peu importe l'inaccessibilité du dit lieu) Julie est pensive : La nouvelle année est une bonne période de vacances pour qui veut éviter le tourisme de masse, certes, mais elle est en manque de soleil ; les nuages gris et la bruine intermittente la dépriment. Décision est prise d'y réfléchir à deux fois avant de choisir les dates et lieux de nos séjours futurs. Pourtant, c'est joli, ce temps un peu sombre sur les rochers, on se croirait dans les highlands...

photo: ruines
les highlands en Turquie.

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jeudi 29 décembre 2005

En bus à Bursa

Ce matin, Julie n'est pas d'excellente humeur. Conséquence directe : moi non plus. Après le petit déjeuner, nous faisons nos adieux aux voisins, payons la note et nous dirigeons vers la gare, suivi par les rabatteurs attirés par nos sacs à dos... Après à avoir payé une bouteille d'eau trop cher (quelle joie d'être touriste !) nous prenons le train pour aller à la gare maritime, où nous attendons, pour changer. J'en profite pour acheter une carte du pays. Dans la salle d'attente, Julie lit le guide, de l'autre côté, un autochtone en lit un autre ; me voilà assis entre une française qui lit un guide sur la Turquie et un turc qui lit un guide sur la France !

photo: sièges du ferryDans le ferry, nous nous asseyons sur la première place disponible. Erreur ! Les places sont numérotés , on récupère les sacs et on va chercher nos places, à l'autre bout du bateau. Une petite vieille nous rend l'accès difficile, avec tous nos bagages, tant pis, la banquette d'à côté est libre, occupons là ... Jusqu'à ce que ses occupants arrivent, on repart au fond ! Les chaises musicales plus l'humeur de Julie m'offrent le premier ras-le-bol du séjour : Je veux rentrer chez moi !!!

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mercredi 28 décembre 2005

Topkapı

phpoto: chat à Topkapi Réveillé comme prévu par le muezzin et la frénésie de mouchoirs de Julie, petit déjeuner ! Nos voisins de petit-déj sont français, évidemment (en plus, j'ai l'impression de les avoir déjà vu quelque part.) Une fois avalé l'œuf dur, direction Topkapı, le palais des sultans... Dans la file d'attente, nos voisins sont .. français ! Très bien, celui qui suit au fond. D'ailleurs, pour être plus précis, ce sont même nos voisins de petit-déjeuner justement.

Le palais du sultan, c'est à nouveau une vraie collection de superlatifs : c'est grand, très grand, et le luxe est partout : dans les jardins, dans les mosaïques, dans les collections, les vêtements, les poils de barbe du prophète (si, si,) la vaisselle, les faïences, les marbres, la vue, l'espace ... On peut dire que les sultans ne se mouchaient pas du coude, ici. Et je ne parle même pas du trésor : des émeraudes, des diamants, des bijoux, des perles, de l'or (la palme à deux chandeliers en or massif. De 48kgs chacun, si, si.)

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mardi 27 décembre 2005

Sultanhamet

Finalement, mon sommeil a résisté à la maladie de Julie, par contre, j'ai bien été réveillé ce matin très tôt par l'appel du muezzin, si je m'en réfère à mon expérience de l'année dernière, je commencerai peut être à m'habituer à la veille du départ...

photo: chat qui se chauffe au spot à Sainte Sophie

Premier petit déjeuner turc donc, et on sent qu'ils ont fait des efforts pour plaire au touriste, puisqu'il y a du pain, du beurre et de la confiture... avec un œuf dur et des olives ! Le beurre, la confiture et le miel sont tous de la même marque : Pinar. Tant de Pinar au petit déjeuner, ça tourne la tête !

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lundi 26 décembre 2005

Istanbul, nous voilà !

photo: rideaux du tgvAprès une bruyante soirée de Noël en famille (la mienne, de famille, avec tous ces neveux et nièces.) Julie et moi prenons le train très tôt ce matin, direction Roissy. L'avion ne décolle qu'à midi, mais tant pis, nous attendrons un peu, et nous pourrons nous faire enregistrer avant tout le monde. Pas tout de suite, tout de même : Julie va poser la question, histoire que ça soit fait tout de suite, mais il lui est répondu que ce ne sera pas avant onze heures, tant pis, nous attendrons, en mangeant un Kinder géant même, ça pourrait être pire...

photo: kinder géant

À onze heures donc, après avoir fait plusieurs fois les rayons du marchand de journaux, nous voilà au guichet d'enregistrement : Bon, par contre, je suis désolée, mais je n'ai plus de places côte-à-côte... Pardon ? Mais l'enregistrement vient de commencer ! Non, non, il est commencé depuis deux heures, d'ailleurs, un quart d'heure plus tard et nous ne pouvions plus prendre l'avion. Charmant. Du coup, je suis très énervé dans l'avion, à plusieurs rangées de Julie et j'envisage déjà des vacances désastreuses.

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dimanche 25 décembre 2005

Citation de Noël

Je me prends parfois à rêver, en regardant par la fenêtre les gens se hâter, chargés de commissions, en sirotant une tasse de thé de noël bien chaud, ce que serait le noël rêvé de ces grincheux à répétition : des rues noires dès 17 heures, sans rien pour les égayer, des gens rendus encore plus moroses par les journées si courtes, chacun restant chez soi plutôt que se réunir, à manger une boite de ravioli réchauffée au micro onde, satisfait de cette soirée athéement correcte, où on se fait chier comme le reste de l'année, parce qu'il est si hypocrite d'être généreux et fraternel une nuit par an qu'il vaut mieux être con 365 jours par an.
Maitre Eolas dans les commentaires d'Embruns.

Voilà parfaitement résumé ce que je ressens en face des gens qui crachent sur Noël (car, dois-je la rappeler, moi, j'adore les lumières multicolores, les papiers cadeaux brillants, la neige quand il y en a, les feux dans la cheminée, l'odeur du sapin et les musiques stupidement joyeuses avec des clochettes.) Restez bêtement adultes et sérieux et laissez-moi avoir les yeux qui brillent, bande de tristes !

Mon cadeau de Noywël

C'est Noywël ! Le petit Réssousse il est né ! Et pour fêter ça, je vais vous faire un cadeau :

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vendredi 23 décembre 2005

Grand-Père Arthur et Grand-Père Raymond

Grand-Père Arthur, je ne l'ai pas connu, il est mort avant même le mariage de mes parents. Mais c'était un grand bonhomme : Le genre de patriarche qui fait taire toutes les conversations en ouvrant la bouche, personne jamais n'avait l'idée saugrenue de le contredire, personne de mentalement sain en tous cas. Dans la famille, c'était encore plus flagrant : c'était lui le centre, tout lui tournait autour... Sa femme elle même trouvait tout à fait naturel qu'une épouse soit entièrement soumise à son mari. Dans les mois qui ont précédé sa mort, alors qu'il était très malade, c'était encore lui qui faisait la pluie et le beau temps.

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samedi 17 décembre 2005

Mur de nouvelles

photo: des journaux. Plein !

27 mars 2004, à Bruxelles, l'internationale.

vendredi 16 décembre 2005

Caca D E

Le gros buzz du monde du libre en ce moment, c'est KDE : Linus Torvalds dit du mal de Gnome, Mark Shuttleworth, grand chef de Ubuntu, passe à Kubuntu, et un peu partout, des témoignages de gens qui disent Ah, KDE, c'est quand même autre chose !

Hier, je cherchais un soft pour faire un rapport de mon usage disque. Synaptic m'en trouve un, dont le nom commence par k. Allez, me dis-je, c'est l'occasion d'essayer ! Je n'ai pas vu KDE depuis la Knoppix 3.7 ou Lindows 3... Installation de kunbuntu-desktop, fermeture de session, réouverture sous KDE...

Aaaargh !

Oh putain, c'est plein de trucs effectivement : des options partout, des informations dans tous les coins et des menus tellement chargés que je n'y retrouve plus rien ! Au secours !

Alors attends, si je désinstalle kde-libs ? Oh ben c'est trop bête, par ricochet, tout KDE disparait !

Allez ouste, de la place sur mon disque, non mais !

jeudi 15 décembre 2005

Lou

Dans la famille "mes neveux", bienvenu à Lou, le dernier arrivé !

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rions un peu avec Microsoft.com

Le W3c l'a dit : les URI[1] à la cool ne changent pas : une erreur 404 sur votre site alors qu'on a suivi un lien tout à fait légitime mais que vous ne savez pas trop, oui un jour vous l'avez mis, et puis vous avez effacé le site, et puis vous l'avez remis en ligne, et puis vos avez renommé la page, et puis vous avez réordonné ... C'est de la merde.

Quand on met en ligne, c'est pour que ça reste en ligne, et au même endroit. Si on se dit que dans trois mois on ne sera plus d'accord avec soi même, on ferme sa gueule. C'est un truc qu'ils n'ont jamais compris chez Microsoft, ça ... Et régulièrement, en suivant un lien, on se retrouve sur leur page 404. Déjà c'est chiant, mais quand en plus le lien est situé sur une autre page de leur site, ça devient franchement ridicule !

Surtout que ces crétins là utilisent la redirection : on ne pointe pas sur http://www.microsoft.com/trucmachin, non : on pointe sur http://go.microsoft.com/redir.asp?linkid=7232, et de là on est redirigé. Est-ce que quelqu'un peut me trouver une seule bonne raison de virer des référence de cet index là ?

Cette semaine, j'ai réinstallé un Windows 98 pour faire des tests dessus. W98, c'était bien : c'était l'invention de WindowsUpdate, cool... Sauf que le lien vers WindowsUpdate de W98, ben il renvoie une belle erreur : cette page n'existe pas, vous ètes sûr que vous n'avez pas fait une connerie ? Tu parles que j'ai fait une connerie : j'ai installé Windows !

Mais finalement, ce qui m'a réellement fait rire, c'est que le navigateur inclus dans Win98 est Internet Explorer 4. Et ben vous savez quoi ? Il n'y a pas une seule page de microsoft.com qui ne produise de vilaines erreurs javascript avec ie4 ! Voilà un bel exemple de compatibilité Microsoft : nous sommes compatibles. Mais seulement avec nos produits. Mais seulement avec les version les plus récentes...

Notes

[1] C'est comme ça qu'on appelle les URL chez nous autres les geeks, sauf que c'est pas la même chose.

mercredi 14 décembre 2005

Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme : vous êtes suspect.

Si tu traites les gens comme de la merde, il ne faut pas t'étonner s'ils se comportent comme de la merde.
Jamel Debbouze.

note liminaire et bon-enfant : cette râlerie parle de simple connerie quotidienne, ceux qui n'ont pas le courage de lire jusqu'au bout ou l'intelligence de comprendre qu'il ne s'agit aucunement du problème sociétal afférent (et le lecteur de s'esbaudir sur la beauté surnaturelle de mes phrases (Ça demande des sacrifices, sociétal étant un mot qui n'existe pas hors ces médias jmelapête où on dit aujourd'aujourd'hui...)) perdraient leur temps à laisser des commentaires : j'ai ma serpette en main et je suis prêt à élaguer au fur et à mesure.

Ce week-end, entre autres expos, Julie et moi avions prévu d'aller voir celle consacrée au Cantique des Cantiques vu par Kupka au Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme à Paris... Dimanche (pas samedi, c'est Shabbat,) après une course, nous voilà dans le Marais, direction rue du Temple pour voir l'expo en question. Arrivés sur place, une file d'attente aux caisses, boah, ça arrive...

Sauf que non, il ne s'agit pas de l'attente aux caisses, les caisses sont beaucoup plus loin : il s'agit du cordon de sécurité. Faites la file dans ce sens là ! Attendez qu'on vous appelle ! Restez derrière la ligne ! Non, pas sur la ligne, derrière la ligne, vous êtes quatre centimètres trop près ! Et on fait passer les dames à droite, les messieurs à gauche, et on fouille les sacs, on vide les poches, on enlève les manteaux pour les faire passer par les rayons X pendant qu'on fait passer leurs propriétaires un par un dans le détecteur de métaux !

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jeudi 8 décembre 2005

Me revoilà !

-although a double negative in English implies a positive meaning, there is no language in which a double positive implies a negative.
-Yeah, right !

Sidney Morgenbesser

Bon, une bonne claque et ça repart !

Qu'est-ce qui peut bien me prendre de ne pas aller bien alors que tout va bien pour moi ? Je dois être un peu trop compliqué, je ne suis plus arrivé pendant un temps à éteindre la tête. Mais là, ça va beaucoup mieux, merci les gens d'avoir sympathisé, merci ma vie d'être bien, merci les gens sympas d'être sympas, merci à l'inventeur du sourire, merci à l'inventeur des filles !

Merci mon Mythe Fondateur d'être de retour dans ma vie, et surtout, surtout, surtout : Merci Julie d'exister, tout simplement.

I'm back !

La prochaine fois, je râlerai.

vendredi 2 décembre 2005

Magritte dans ton ordinateur.

Ceci n'est pas un blog.

(with spéciale dédicace au Beubeu)

jeudi 1 décembre 2005

ReactOS

\o/

ReactOS, comment ça émule trop bien Windows !

capture : un ??BSOD

mardi 29 novembre 2005

Firefox 1.5

Visiblement pas encore officiellement annoncé, mais il y a déjà des tas de choses à trouver sur le serveur FTP de mozilla.org

(Par ailleurs, changement temporaire de la déco pour fêter ça.)

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