Tiens, j'ai découvert dernièrement que Google me connaissait bien. C'est au tour de Deezer :
mercredi 28 mai 2008
mercredi 28 mai 2008
Tiens, j'ai découvert dernièrement que Google me connaissait bien. C'est au tour de Deezer :
Par humeurs
Je me rendais compte ce matin qu'une des victimes de toute cette histoire, c'est mon sourire. J'avais l'habitude d'être un garçon souriant dans la vie de tous les jours, c'était l'expression par défaut de mon visage, disons. Aujourd'hui, l'expression par défaut, elle est plutôt vide et si encore certains muscles refusent la plupart du temps de rester au repos, ce ne sont pas ceux qui relèvent le coin des lèvres, mais ceux qui plissent le front.
Heureusement, je suis toujours capable de sourire, voire de rire, lorsque que je suis avec des personnes pour lesquelles j'ai de la sympathie. C'est juste ça : je ne suis, par défaut, plus souriant.
Mon sourire est mort d'avoir vu disparaître le sien.
mardi 27 mai 2008
Avec un peu d'avance, voici un nouvel habillage pour fêter l'arrivée de l'été. Comme pour celui qui a habillé l'ancienne version pendant longtemps, il est du aux petits doigts boudinés du dahu suisse qui me l'a promis pour le mois dernier et qui a tenu ses délais un peu mieux que d'habitude.
Certains auront déjà vu passer une version préliminaire chez lui d'ailleurs, mais celle-ci a été revue d'après les commentaires de ses visiteurs et mes désidératas despotiques.
Alors voilà, c'est estival et léger, j'espère que ça vous plaira. Vous avez intérêt, vu le nombre d'entre vous qui est venu se plaindre que les précédents étaient trop sombres.
Et en plus, ça passe nickel sur un eeepc, tout bénef.
lundi 26 mai 2008
Ainsi une personne chiante, mais qui ne s’en rendrait pas compte serait inexcusable, donc définitivement chiante. Par contre, une autre personne chiante et qui assume ce n’est pas pareil. Mais alors pas du tout. Par exemple un gros con qui serait fortement méprisant, mais qui assumerait son caractère, deviendrait par la même bien plus sympathique. Et oui, c’est évident.
Ah ben merde,on vient de me couper l’herbe sous le pied[1] Voilà un post que je n’aurai pas à écrire.
[1] Bon, on vient de le faire en 2004, d’accord.
Par humeurs
Pour l'avoir déjà vécu à maintes reprises, j'en aurais pu tirer leçon : il n'est rien de tel que l'affirmation péremptoire d'un mieux pour offrir un socle à une bonne petite rechute de derrière les fagots. J'en suis là depuis hier matin, quand une petite contrariété a été une goutte de trop et que j'ai une fois de plus lâché nerveusement. Je l'ai dit, je l'ai répété : un jour, j'irai mieux. Mais bordel de merde, c'est quand ?
samedi 24 mai 2008
J'ai été fort impudique, ces derniers mois, ça m'était d'une certaine façon nécessaire : j'avais besoin de jeter les mots sur le clavier, j'avais besoin de sortir de ma tête cette tempête perpétuelle, histoire d'éviter l'explosion. Nombre d'idées ont tourné en rond, à vide, de plus en plus vite, jusqu'à ce qu'en les fixant en mots je sois capable de les reposer sur la bonne étagère, ou pour le moins dans le bon bac de classement.
vendredi 23 mai 2008
Elle et moi avions un contrat moral très libre, c'est un pré-requis quand on a une relation à des centaines de kilomètres de distance. Elle a sa vie, j'ai la mienne, et notre bonheur, c'était de nous retrouver pour faire des choses ensemble.
mercredi 21 mai 2008
Par Découvrir
Bon, j'avais raté une fonction et du coup je n'avais pas laissé de description sur les images du tour de France. C'est corrigé, vous pouvez tout relire (oui, c'est pour faire du hit.)
mardi 20 mai 2008
Tout-à-l'heure, j'ai passé une heure dans une librairie tout à fait épatante. J'ai passé une heure à me dire : Ah, il faudra vraiment que j'amène Julie ici la prochaine fois qu'elle vient ... Ah non, merde, c'est vrai ! .... Il faudra décidément que je l'amène ici la prochaine fois qu'elle passe. Ah, crétin, mais non ! ...
Et caetera.
Par humeurs
Une partie du temps, j'ai envie d'avancer. J'ai envie d'aller voir si le sourire de telle demoiselle que je croise a vraiment les vertus apaisantes que je lui soupçonne. L'autre partie, je me dis À quoi bon ?
Bien sûr, ça fait des années que je sais que le monde est plein d'autres filles, et que je les aime toutes. C'est juste qu'il n'y en a qu'une qui a su me plaire de plus en plus pendant des années.
samedi 17 mai 2008
Par Petits bonheurs
Chouette soirée, chouettes copains, chouette resto, chouette serveuse.
vendredi 16 mai 2008
Par humeurs
Cette nuit, je me suis réveillé alors que j'étais en train de cauchemarder. Évidemment, c'est flou comme tout rêve une fois que l'on s'est réveillé, mais le fond est resté très net : J'étais en train de passer du temps avec Julie, nous étions séparés mais ça se passait bien. Jusqu'au moment ou un gars rentre et vient directement l'embrasser, ce qui me faisait comprendre qu'elle avait omis de m'annoncer un détail et provoquait mon implosion.
jeudi 15 mai 2008
Par humeurs
Trois mois déjà qu'elle m'a quitté. Un que nous ne nous sommes plus vus. La conversation qui a entériné la cessation de tout contact mise à part, à peu près autant de temps que nous ne nous sommes pas parlés, de quelque manière que ce soit.
mercredi 14 mai 2008
Par Découvrir
Adieu mon frère, je pars. Un homme tu sais, ça s'évade
C'est fait pour s'envoler, pour prendre l'aile d'une vague.
C'est pas fait pour durer mais pour se donner sans retour
Jusqu'à se déchirer le flanc sur les brisants d'amour...
le Cirque des Mirages
Me voilà donc de retour, après dix jours sur les routes qui m'ont paru un mois tant j'y ai emmagasiné d'expériences. Je ne sais si ça m'aidera sur le long terme, mais au fur et à mesure que je vivais l'expérience, elle me faisait un bien fou. S'il y a bien un truc dont je suis sûr, c'est que je veux que la route ne s'arrête jamais. Surtout lorsqu'il s'agit, comme le disait René Fallet, d'un paysage grandeur nature qui n'a jamais servi à la promenade matinale des chiens
.
mardi 13 mai 2008
Par Découvrir
Je me réveille plus tôt que je ne l'aurai voulu, mais il me faut pratiquement une heure pour réussir à m'extirper du lit. La fatigue accumulée ces derniers jours commence à avoir raison de moi. D'ailleurs, je n'ai rien prévu d'autre aujourd'hui que les cinq cents derniers kilomètres pour rentrer chez moi. Je passe donc une journée tranquille à profiter d'être enfin posé un peu pour me détendre, et à aller distraire LeChieur lors des quelques pauses qu'il s'accorde par rapport au boulot (certaines de ces pauses vont jusqu'à durer quatre minutes, quand même.) Le midi, nous partons sur Caen, toujours histoire pour lui d'abattre un peu de boulot et pour nous deux d'aller manger des cochonneries dont nous sommes friands. Je m'étonne encore une fois de la familiarité qu'à pour moi cette ville, voilà ce que c'est que d'y passer trois ou quatre fois par an.
lundi 12 mai 2008
Par Découvrir
J'ai poussé hier soir mon périple jusqu'au bout de la presqu'île de Rhys, jusqu'à me retrouver sur une plage, avec l'Alantique en face et le Golfe du Morbihan derrière moi. J'ai évité des campings qui se trouvaient trop loin de l'eau ; J'avais envie de sentir l'iode et le sel dès mon réveil, alors je suis allé au plus direct : j'ai sorti mon sac de couchage et j'ai dormi sur la plage. Et la nuit a été bonne : les étoiles étaient dégagées, le ressac me berçait, et le sable est le matelas idéal. Je retiendrai simplement pour la prochaine fois qu'il serait souhaitable d'acheter un sac un peu plus costaud que celui-ci, prévu pour dormir sous une tente avec une température extérieure supérieure à quinze degrés. Quoique deux t-shirts fassent finalement aussi bien l'affaire.
dimanche 11 mai 2008
Par Découvrir
En sortant du camping tôt ce matin, je me souviens que la patronne des lieux m'a parlé, quand je suis arrivé hier soir, de grottes qui surplombaient le village, et je me dis qu'après tout, je peux bien prendre une demie-heure pour y aller faire un tour, puisque c'est juste au dessus et que je me suis levé de bien plus bonne heure que prévu. Stupide moi !
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