Les fautes grossières d'accord des participes me font grincer des dents, mais finalement, je m'y fais. Il m'arrive d'en commettre quand je suis fatigué et j'ai fréquenté longtemps des gens qui en étaient des habitués. Mal orthographier un quelconque mot avec des consonnes doublées, ma foi, c'est un piège dans lequel je tombe régulièrement.

Par contre, je ne parviens à comprendre pourquoi, sous la plume de gens dont la faute de langage n'est qu'exceptionnelle, on retrouve si souvent cette confusion censé/sensé. L'homophonie mise à part (mais il est d'autres chausse-trapes homophones, dont le quota de victimes est bien moindre) je ne saisis pas où est la difficulté.