S'il vous plait, mourez.

J'ai lu quelques articles sur la façon dont la nature évoluerait sur Terre si l'homme venait à disparaître du jour au lendemain. Ce que j'en ai retenu, c'est que les races de chiens qui n'existent que pour les pétasses et les mémés à cheveux bleus (et l'homme normal qui vient à être énervé et ne sait pas à qui donner un coup de pied) disparaissent en moins de quinze jours, voire moins d'une semaine.

Par ailleurs, certaines analyses ne donnent pas cher non plus de la peau des pigeons.

Je pense que la conclusion s'impose d'elle même : il est urgent que nous disparaissions.

Màj: Une confirmation de l'urgence (via BienBienBien).

Commentaires

1. Le lundi 16 juin 2008, 19:47 par LeChieur

Le problème, c'est que si l'homme disparaît, c'est son proche voisin génétique le cochon qui prend le pouvoir. Je suis pas sûr que les animaux normaux, je veux dire les chats, y trouvent leur compte.

2. Le lundi 16 juin 2008, 19:53 par xave

Ça ne devrait pas leur faire plus de différence que ça. Déjà, d'après ce que j'ai lu, si demain l'homme disparaît, la destinée de l'espèce ne devrait pas connaître de bouleversement plus important que la fin des grattages derrière l'oreille.

3. Le lundi 16 juin 2008, 23:02 par LeChieur

Bon, rassure-toi : l'extinction de l'espèce humaine, des gens continuent d'y travailler d'arrache-pied.

(et si tu pouvais enlever ce R superflu, dans le titre de ton billet, j'aurais moins mal au yeux...)

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