Me revoilà.

Je vous jure que je n'avais pas envie de revenir. J'avais de grandes attentes en partant en Nouvelle-Zélande, tellement que j'avais peur d'être déçu. Perdu : c'était encore mieux que ce que j'imaginais. Reste maintenant à digérer un peu et à me remettre dans le bain (malheureusement, ça va assez vite : posé à Paris hier à 6h, j'étais au bureau à Bruxelles quelques heures plus tard. Et à part un coup de mou hier en fin de journée, j'ai déjà l'impression d'avoir récupéré du décalage horaire de douze heures.)

Je n'ai pas fait l'erreur des vacances précédentes : plutôt que de prendre des notes et de les rédiger en rentrant, j'ai directement fait mes petits comptes rendus dans des carnets au fur et à mesure (oui, des. Il y en a pour des centaines de pages, je ne savais pas que j'étais encore capable de faire autant de choses S avec un stylo.) et je n'aurai plus qu'à les taper, ce qui est plutôt rapide, j'espère. Je rappelle une fois de plus qu'il s'agit de notes de voyage, absolument pas d'une entreprise littéraire. Ça veut dire que le but, c'est que je puisse me replonger dans mes vacances en les relisant plus tard, il ne faudra donc pas s'étonner d'y trouver certains détails absolument dépourvus d'intérêt.

Par ailleurs, on notera qu'en plus d'avoir du quitter la Nouvelle-Zélande, j'ai d'autres soucis plus personnels, sur lesquels je ne m'étalerai pas, mais qui expliquent que je vais peut-être être moins youpi youpi que d'habitude pendant un certain temps. Qu'on veuille bien me le pardonner (en même temps, vous êtes partis pour trois semaines de compte-rendus d'avant que j'ai ces problèmes, donc ça devrait aller.)