D'accord, c'est le mois de mai et il y a plein de longs week-ends, mais ce n'est pas ça qui me donne plus le loisir d'écrire, au contraire. Ce mois-ci, j'essaie de trouver un peu de temps entre mes week-ends forts agréables avec Julie, mais des fois loin, mes répétitions pour les forces concerts que nous avons sur notre agenda ( sans compter que demain nous rentrons en studio) et le boulot qui me mets sur les genoux.

Ah ben oui, désolé pour l'image du joyeux branleur payé à ne rien foutre, mais en ce moment, je bosse comme un taré. Nous remplaçons tous les serveurs que nous avons (et ça veut dire beaucoup) et donc je remplace les miens, qui ne sont rien d'autre que les serveurs qui référencent et rendent disponible les milliers de documents sur lesquels nos centaines d'utilisateurs travaillent. Ah oui, c'est ma prise de conscience du moment (surtout en voyant les chefs qui me regardaient avec inquiétude) : Si mes serveurs ont un problème, j'empêche 2000 personnes de travailler, puisque je suis au centre de la chaîne de production de documents, avec ma base de données de l'espace.

Bon, c'est chiant comme la pluie (à raconter, parce qu'heureusement, je m'amuse avec cette connerie là) donc je ne vais pas vous détailler tout le bouzin. Sachez simplement qu'alors que j'avais demandé à toutes les équipes qui gèrent des logiciels utilisant ces données de faire tous les tests possibles et imaginables sur les nouveaux serveurs avant qu'ils passent en production, on vient de m'annoncer que finalement, les test de la semaine dernière n'étaient pas fiables et que nous avons maintenant un gros problème à résoudre en live. Super ! Du coup, ben voilà, je ne suis pas encore très dispo.

Surtout qu'en plus, détail rigolo : ma connexion à la maison est morte depuis quelque jours, du coup, pas de séance de rattrapage de net contacts le soir.. Tant pis (et aussi tant mieux, un petit jeûne de temps en temps, ça fait du bien) !

Tout ça pour ? Ah oui : n'attendez pas ma réponse dans l'instant, chuis débordé. Et d'ailleurs, je n'aurais jamais du prendre ces dix minutes pour vous écrire.

À bientôt, j'espère.