Métaphore

Il fait froid dehors

Canto

Le pluriel ne vaut rien à l'homme et sitôt qu'on
Est plus de quatre, on est une bande de cons

Georges Brassens

Ce n'est pas un secret pour ceux qui me connaissent, mais je n'aime pas le football. Je ne n'ai jamais compris qu'on puisse, une fois passée la dizaine d'années, garder de l'intérêt pour les jeux de baballe. Mais soit, qui suis-je pour juger les jeux de mes contemporains... Surtout s'ils peuvent mener à la liesse populaire, à cette communion de tout un peuple, heureux autour de ses héros. Comme les allemands devant les défilés nazis dans les années trente.

Et maintenant le français sont heureux... Sauf peut-être ce qui étaient justement en Italie et qui se sont fait courser avec es barres de fer par des supporters mécontents de la défaite de leur équipe.

Par honnêteté, je dois avouer qu'il m'est arrivé d'être bluffé par quelques images de Zidane aux infos, ce gars possède une classe innée, ça m"a même frappé moi, qui méprise la chose, c'est dire. Ce qui porte à deux le nombre des fouteux que d'une certaines manière j'admire. Mais rassurez vous, le premier, ça n'avait rien à voir avec le foot, puisqu'il s'agit de la plus grande gueule du paysage sportif français de ce siècle (voire du précédent): Cantonna. "Putaing, y vont me lâcher la grappe, ces congs là? Ils n'ont pas compris que when the seagulls are following the boat, it iz becôze they know that the sailors are going to throw them some fish". J'adore ça.

En fait, je crois que Canto me fait penser à mon frère.

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