Hé, les gens : mardi 27 juin : sortie de la première **béta** publique de Dotclear2 !

La police vient chercher deux gamins de trois et six ans dans leur classe pour les expulser. L'humanisme selon sarkozy.

(source : Brain Not Found)

dans la série écrivons de n'importe où : un petit coucou de la montgolfiere, 500 mètres au dessus de vos têtes...

Je suis administrateur système. Ce n’est pas sale en soi, j’ai juste la charge d’un paquet de serveurs, d’un ou deux milliers de comptes utilisateurs et de quelques péta-octets de données partagées. La particularité de mon job, c’est que nous avons les moyens : si nous avons besoin d’une solution matérielle ou logicielle particulière, nous pouvons l’acheter. Ça plus quelques choix architecturaux de base, et nous voilà un cas d’école : 100% Microsoft. Si une solution Microsoft existe, c’est celle que nous choisissons.

Entendons nous bien, je n’ai aucune prise sur ces choix. Je sais l’un ou l’autre domaine où nous employons une solution payante alors qu’il en existe une libre et au moins aussi performante, mais le libre, c’est souvent gratuit, donc ça doit être de mauvaise qualité (je cite, hein ? Ne me frappez pas.)

Tiens, encore un vendeur de T-Shirt ... (t'as vu, Ben, j'en ai parlé, hein ?)

Ce week-end, Julie est moi sommes allés voir les vaches : la Cow Parade a débarqué à Paris. Comme il y a quelques années c'était à Bruxelles^[1] et ça nous avaient bien plu, il me semblait tout naturel, ayant vu des choses drôles à une Cow Parade d'aller en voir d'autres à une autre.

Ben non.

Les vaches Bruxelloises, c'était joyeux : il y avait des vaches à facettes, des vaches fusées, des vaches toréadors, des vaches qui faisaient du surf ; les artistes avaient rivalisé d'idées saugrenües, il y avait des vaches un peu n'importe où, c'était drôle.

Les vaches parisiennes sont tristes^[2] : d'abord il n'y a rien qui dépasse : pratiquement personne n'a cherché à détourner la vache vierge pour partir dans un délire, la quasi totalité des vaches sont simplement peintes. Voire mal peintes. Beurk. Ajoutez à ça que la façon dont elles sont disséminées est un peu à l'arrache : tiens, on a vingt mètres de trottoir, mettons en quatre de suite. Oh, il y a un trottoire en face ! Faisons exactement même chose !

C'est nul, c'est triste.

On m'a un jour présenté les belges comme étant comme des français, mais en moins prise de tête. Je vous jure que quand on voit comment en France on peut faire très sérieusement (entendre tristement) des choses qui demanderaient avant toute chose un grain de folie, ce n'est pas si difficile à croire. À moi le pays du surréalisme !

Vous l'aurez sans doute remarqué si vous venez régulièrement traîner vos guêtres par ici : le serveur ne va pas bien. Jusqu'ici j'avais supporté ça stoïquement en songeant aux avantages (financièrement aucune concurrence, et pas de quotas, que ce soit en termes de place disque, de nombre de domaines et de sous domaines ou de comptes emails.) mais ça commence à me les briser menu.

Il n'est donc pas impossible que d'ici quelque temps j'aille me promener ailleurs. Un ailleurs qui serait certes plus cher, mais où j'espère me trouver aussi à mon aise pour pouvoir m'amuser autant que je le veux et faire des tests idiots. Et qui sait, peut-être que ça m'inciterait à me bouger un peu plus le clavier ?

Ou alors il faudrait que je trouve une autre façon de faire fonctionner le site. Ce gros pavé en page de garde, ça me bloque toujours : je n'ose me lancer si je n'ai pas au moins cinq paragraphes en tête. Il faudrait peut-être que je fasse comme chez certain : balancer tous mes commentaires en page de garde (y compris pour les brèves,) et faire de mon site un forum où je n'écrirais un vrai article qu'une fois tous les trente-six du mois. Mais qu'est-ce que je pourrais bien vous raconter alors ? Mon premier Bass-Magazine ?

Week-end plutôt normal que le week-end dernier, somme toute : entre les allers et les retours sur deux pays, trois maisons et plusieurs lieux de promenades, j'ai encore fait mes mille bornes sur trois jours. Bieng. Et j'ai vu pleiiiin de panneaux de limitation de vitesse.

C'est naze.

Larcenet a sorti le tome trois du Combat ordinaire, que j'ai dans un coin depuis quinze jours en attendant que je relise les deux premiers, qui étaient à la mesure de l'immense talent du bonhomme.

Vous n'imaginez pas à quel point la simple case extraite ici me parle.

un chat

le même chat

toujours même chat

un autre chat

un chat flou

un chat qui paresse

un chat informaticien

le chat gangster

le chat qui bouquine

un chat explorateur

un chat chasseur

chats décoratifs

Quelques photo-souvenirs de mon week-end en Moselle... Monomaniaque ?