Monsieur,
Monsieur Nonal LeChieur m'ayant désigné comme son conseil pour tout ce qui concerne le droit à l'image de ses nombreux héritiers, j'ai le plaisir de vous informer que je vous adresse, ce jour, une missive pas très sympa en recommandé AR. Vous serez aimable de me désigner celui de vos confrères à qui je vais pouvoir extorquer un max de thune au nom de mon client. Veuillez agréer, toussa.
Fort bien. Je note la diffamation (commentaire n°3), ainsi que l'interprétation fantaisiste de la loi (n°4, les pieds de mademoiselle LeChieur ne pouvant nullement relever des compétences du Code la Propriété Intellectuelle). J'annonce de ce pas à mon estimé client qu'il va bientôt pouvoir financer la fuite de ses capitaux vers les Bahamas, grâce aux copieux dommages et intérêts dont nous allons vous alléger.
Capitaux qu'il a engrangés en faisant payer des produits qu'il n'a jamais livrés. Moi aussi je connais la loi : il n'y a pas diffamation si les faits sont avérés.
Commentaires
1. Par Maître Mescouilles, avocat au barreau de Paris, le 07/12/2009 à 15:48
2. Par Maître Mescouilles, avocat au barreau de Paris, le 07/12/2009 à 15:49
3. Par xave, le 07/12/2009 à 15:51
4. Par xave, le 07/12/2009 à 16:13
5. Par Maître Mescouilles, avocat au barreau de Paris, le 07/12/2009 à 20:38
6. Par xave, le 07/12/2009 à 23:02