vivement les vacances
Par Maha-ha viiiiie... - Lien permanent
And then one day you find
Ten years have gone behind you
No-one told you when to run
You missed the starting gun ...
Pink Floyd - Time
I was prepared by my childhood and education into believing that I was preparing for a life that was going to start later. It was never explained to me as a child that I was actually, moment by moment, in it.
Roger Waters
Et donc, pour la première fois en... je ne sais même plus, c'est mon réveil qui m'a réveillé, je n'y croyais plus. Ça me fait plaisir, mais ça m'inquiète aussi un peu : je crois que je dois ça à un médicament que je prends pour mes problèmes de dos (oui, je suis toujours un petit vieux.) Et du coup, j'ai très peur du jour où je vais arrêter le traitement : c'est tellement facile de profiter d'une petite pilule pour bien dormir.
Accessoirement, ça m'a fait arriver en retard en boulot, je continue à dormir même réveillé, il va falloir que je fasse attention lorsque je conduis.
Le premier concert de mon nouveau groupe se précise, ça sera sans doute le mois prochain. Je suis assez impatient, même s'il y a un certain nombre d'interrogations techniques, par exemple : où est-ce que je vais trouver un ampli basse ? D'habitude, j'utilise celui du local de répète, mais je ne pourrais pas le prendre. Je suis impatient.
Tiens, au fait : mon serveur mail a encore fait des siennes, et plus rien n'est sûr à ce niveau là depuis vendredi dernier, donc j'ai peut-être raté des mails ou alors je ne vais les recevoir que cette semaine ou alors seulement dans six mois, n'hésitez pas à me faire signe en cas de doute.
Cet été, je pars normalement en vacances avec ma belle amie, direction le Canada et la côte ouest des États Unis, et youpi. Pardon : Yippee. Non pas que je sois forcément attiré par nos amis maîtres du monde (non), encore que je compte parmi mes camarades de jeu un colonel de l'US Air Force en poste au Pentagone, même qu'il me doit une bière, mais en l'occurrence, l'objectif principal de la partie étasunienne du périple, c'est New York, et chacun sait que New York n'est pas l'Amérique.
Il est assez amusant que New York m'intéresse d'ailleurs : moi qui n'aime ni les américains, ni les grandes villes ! Mais il faut peut-être chercher ailleurs : les deux endroits des États Unis que j'ai vraiment envie de connaître sont New York et San Francisco, diamétralement opposées sur la carte, mais je viens d'apprendre qu'elles ont au moins un point commun : ce sont les deux plus grandes villes gayes du pays. D'une part, je dois dire qu'après avoir visité Amsterdam et faisant de fréquents séjours à Paris, je n'aurais plus qu'à aller me promener à Berlin, tellement il est vrai que Julie et moi semblons destinés à nous trouver toujours à proximité des nos amis invertis. D'autre part... Et bien, peut-être que ça dénote une certaine ouverture d'esprit que nous aimons bien. Pour reprendre l'exemple de Frisco et de la grosse pomme, nous avons quand même d'un coté une ville de hippies, de brassage des races et des cultures et de d'expérimentations musicales, de l'autre une ville de yuppies, de brassage des races et des cultures et de jazz. Ah ben oui, c'est le brassage qui me plait.
Et puis après le Canada, Québec, la belle province. Si ça nous plait, nous y restons !
La prochaine fois, je vous parlerai d'une équipe de travail qui entre les démissions, les maladies, les licenciements et autres impondérables s'est trouvée réduite de huit à une personne.