Je suis revenu, je ne voulais pas.
Arrivé à Montréal début août, reparti de San Francisco fin septembre : un mois et demi loin de tout, un mois seul sur la route, c’est largement suffisant pour oublier la vie de tous les jours, et elle ne m’a pas manqué un instant. Ça ne s’est pas passé exactement comme c’était prévu : ça s’est passé mieux.