Aujourd'hui, je lutte contre la crampe de l'écrivain en ressortant un texte d'Arnaud Fleurent-Didier (j'en avais parlé ici.) Quand j'ai découvert son album, j'étais immédiatement entré en résonance avec celui-ci, empli de préoccupations que je comprenais et de textes que j'aurais aimé être capable d'écrire.
Il y a une phrase dans une de ses chansons qui m'avait immédiatement frappé comme correspondant à ma façon de voir Julie. Je n'imaginais pas alors que mes pensées s'accorderaient à ce texte au delà du début du refrain. Si, c'est fait ...