samedi 2 avril 2011
Brumeux le matin
Par zimages
vendredi 1 avril 2011
Par zimages
La jungle, c'est humide, et l'humidité dans mon objectif, ça permet de faire du David Hamilton sans filtre.
mercredi 30 mars 2011
Par Découvrir
Or ça, je suis allé me promener dans la jungle, avec une jeune fille de là-bas. De là-bas en Malaisie, pas de là-bas dans la jungle, ce qui explique qu'elle n'était pas très bien équipée, d'autant qu'elle avait encore moins d'expérience de la randonnée que moi. Voilà pourquoi au lieu d'avoir un sac à dos, elle portait ses affaires en bandoulière, ce qui n'est guère pratique quand on veut marcher plusieurs jours. Moi, pour être pratique, j'avais des chaussures qui m'ont coûté une fortune l'année dernière, mais dont le confort, l'imperméabilité et la solidité sont parfaites pour ce genre de promenade. Elle, de son côté, avait des vieilles chaussures qui avaient un peu trop baroudé.
mardi 29 mars 2011
Par lez'Arts
Vous prenez quatre gusses qui n’ont pas joué ensemble depuis leur dernier concert, il y a trois ans et demi. Qui ne s’étaient même pas retrouvé ensemble dans la même pièce depuis jusqu’à ce mois-ci. Vous comptez que le claviériste a dans l’intervalle surtout joué du klezmer festif à l’accordéon, que le batteur avait posé ses baguettes entre le concert sus-cité et décembre dernier, et que le bassiste n’a touché une basse qu’une fois dans l’intervalle.
Là, vous choisissez un soir où ils sont tous crevés et vous les collez dans une petit salle avec des instruments et des amplis, vous avez préparé une liste de morceaux assez simples, ne demandant pas grand-chose (c’est qu’il faut se remettre doucement dans le bain, quand même) et vous les laissez vérifier que tous les câbles sont bien branchés, que du son sort des amplis. Avant de commencer le premier morceau, vous laissez le batteur taper un rythme, le bassiste jouer trois notes au dessus pour vérifier la balance, là d’un seul coup la guitare et le clavier se mettent en route et après plus de trois ans d’interruption, sans prendre le temps de s’échauffer, ça part en impro totale (et c’est garanti brut de pomme, sans aucune préparation : avant ce que vous pouvez entendre là, la dernière mesure (je ne parle même pas d’un morceau) jouée ensemble, c’était en septembre 2007) :
lundi 14 mars 2011
Par zimages
Est-ce que vous retrouverez plus vite que moi l'image (connue) à laquelle cette photo me fait penser et pourquoi ? Je me suis arraché les cheveux trois semaines sur cette question avant l'illumination.
jeudi 3 mars 2011
Par N'importe-quoi
All I want out of life is to be a monkey of moderate intelligence who wears a suit. That's why I've decided to transfer to business school!
Gunther, singe ex-savant, Futurama.
lundi 7 février 2011
Il y a quelques jours, c'était la chandeleur, et ici ou là, ça a parlé crêpes, et trucs à mettre dessus un peu. Et voilà qu'une fois de plus on m'emmerde avec le beurre salé. Mon opinion personnelle sur le sujet ? Elle est double : ça ne sert plus à rien depuis longtemps, puisqu'on a inventé le frigo, et comme n'importe-quoi trop chargé en sel, ça dénature le goût (je fais partie de ces gens qui ont arrêté de saler les aliments. Les six premiers mois ont été difficiles, mais je me suis rendu compte ensuite que des plats différents avaient des goûts différents. Dingue, non ?)
vendredi 4 février 2011
Par zimages
Dans un vieux bus brinquebalant, entre deux averses tropicales, en approchant de l'orée de la jungle, au delà du fleuve... (Malaisie, Décembre 2010.)
spécial bonus : lien gratuit et gracieux pour Laurent s'il passe dans le coin.
jeudi 3 février 2011
(note liminaire : excusez la forme, mais je n'ai pas réfléchi avant d'écrire. Enfin si, je réfléchis à ces idées-là depuis des années, mais je n'avais jamais réfléchi à comment les ordonner pour les faire passer par écrit.)
Ne l'avais-je jamais entendu ou n'avais-je jamais fait attention ? Toujours est-il que j'ai percuté aujourd'hui que les documentalistes de ma (lointaine) jeunesse n'en étaient plus, maintenant, ils sont professeurs documentalistes. J'étais par contre au courant depuis un bout de temps (j'ai mes taupes dans l’Éducation Nationale, j'en suis même entouré depuis tout petit) qu'on ne dit plus instituteur, mais professeur des écoles.
Bon, ça me fait chier.
Je suis quelqu'un de très Vieille France, mais pour moi, instituteur, c'était un beau mot. Un instit, c'est même plus important qu'un prof : le rapport avec l'enfant est beaucoup plus délicat et beaucoup plus formateur. Un prof, c'est rien : quelques heures par semaine, on survit très bien à un mauvais prof. Un mauvais instit, c'est huit heures par jour qu'il abîme le gamin. Je préambule sur l'instit pour qu'on comprenne bien que j'ai tout sauf du mépris pour ce métier-là. J'aurais pu le faire sur les documentalistes, mais là, je n'avais qu'à vous coller une photo de mes bibliothèques pour vous faire comprendre que les gens qui vivent dans les livres, forcément, je n'ai rien de mal à en dire.
mercredi 2 février 2011
Je ne suis pas pédé et je ne veux pas me marier, alors moi, vous savez, les histoires de mariage homo, ce n'est pas une préoccupation majeure...
Sauf que.
Il se trouve que l'homosexualité, ça ne m'agresse pas, voire je m'en tamponne royalement le coquillard. Évidemment, j'ai tendance à soupirer quel gâchis
quand telle belle que j'eusse volontiers convoitée me trouve trop de pénis et pas assez de seins (pour le seins, désolé, j'ai perdu du poids. Pour le reste, euh... je garde, merci) mais il faut bien dire ce qui est : parmi les belles à mon goût convoitables qui ont mieux à (se) faire que moi, les non hétéros sont une minorité, donc être gêné par l'homosexualité féminine parce que ça réduit le territoire de chasse, c'est un petit peu complètement con.
Et puis il y a l'homosexualité masculine. Alors là, attention, c'est autrement plus grave ! Des goudous, ça va, il y en a dans les films de cul, c'est excitant, et puis c'est pas grave, puisque si elles s'amusent entre elles, on voit bien dans ces mêmes films que ce qu'elles cherchent vraiment, c'est l'Homme. Mais des mecs qui se tripotent ? Holy Monsieur Tout Nu Sur La Croix, quelle horreur, c'est une atteinte à l'essence même de la virilité, c'est sale, c'est pervers et contre nature !
mardi 1 février 2011
Heureux soient les fêlés, car ils laisseront passer la lumière.
Michel Audiard
Il y a une petite phrase qui tourne beaucoup sur le Linternet ces derniers jours et qui dit You never know how strong you are until being strong is your only option.
Bon, d'accord, on est dans la même cour de philosophie d'arrière-magasin que le fameux "ce qui ne vous tue pas, etc." mais en tant que fragile qui a vu un ou deux murs de très près, ça me parle un petit peu : j'ai traversé des situations qui, si elles m'avaient été présentées de manière hypothétique, m'auraient semblé insurmontables. Et dans la vraie vie, j'ai fait Terminator : tu crois qu'il est mort, mais en vrai, à l'arrière-plan, tu vois sa silhouette émerger des flammes.
vendredi 28 janvier 2011
J'ai l'impression de n'être capable de parler que de moi, pourtant c'est loin d'être le plus intéressant.
C'est pire pour l'écrit, et ça me fatigue. Voilà pour le relatif silence en ces pages : j'apprends l'autre. Mais je ne sais pas encore en parler.
(Je/moi/me... Voyez ?)
photo: 'la fenêtre de ma chambre', Malaisie, Décembre 2010 (série en cours.)
Il y a quelques mois, j’étais en terrasse en train de boire un coup avec des copains bien. Dans la conversation, j’expliquais, comme je l’ai beaucoup fait ces trois dernières années qu’en me retrouvant célibataire, j’avais perdu mon démarreur, celle qui initiait les activités, et que rendu à moi-même, je me retrouvais casanier comme je l’ai toujours été. L’ami Biou (car c’était lui. Enfin, il n’était pas seul, forcément, suivez mon regard.) m’a alors expliqué que comme j’étais ce soir là en train de boire un coup à Metz alors que la veille j’avais quitté Bruxelles pour aller à une soirée à Paris, je rentrais assez peu dans sa définition de casanier.
lundi 27 décembre 2010
Par Découvrir
Dans l'espoir sans doute vain d'améliorer les compositions et cadrages de mes photos, j'ai décidé quelque temps avant de partir de me mettre au noir et blanc, et c'est vrai qu'on ne gère pas l'appareil de la même manière. Du coup, forcément, dans les images que je suis en train de trier et que je vais mettre en ligne, vous allez trouver beaucoup de monochrome, mais pas que.
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