It has been my experience that folks who have no vices have very few virtues.
Abraham Lincoln, pas la moitié d’un con
J’ai longtemps vécu avec un 486. Au jour heureux de notre rencontre, le Pentium venait de sortir, et la moindre configuration à base d’icelui se payait 60 000 boulles -français, les gars, si. J’ai gardé ce 486 pendant cinq ans, et nous fûmes heureux ensemble.
Il faut avouer que je ne joue pas sur un ordinateur. Il y a quelques années, je me suis un peu amusé avec des Doom et des Quake, mais ça n’est jamais allé plus loin, donc forcément, je ne cours pas après la machine de course. C’est vrai qu’un 486 en l’an mille-neuf-cent-deux-mille, ça tirait un peu la patte, mais si j’avais besoin de puissance, je l’avais au boulot, alors?