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mardi 17 avril 2012

Faust

J'apprends via LeOum que William Finley est parti hanter ailleurs, alors je recolle un vieux truc en petit hommage....

Children Who Chase Lost Voices from Deep Below

voicesfromdeepbelow.jpg

Lors du BIFFF, ce week-end, j'ai eu l'occasion de voir Children Who Chase Lost Voices from Deep Below. Je l'ai dit ici : j'ai longtemps été rétif à ces choses là. Bon ben là, non. Les images sont absolument superbes et en revenant du Japon, ça ne pouvait que me faire rêver. Ça parle de mort et d'adieu, ce n'est pas sans défaut, mais ça a un gros paquet de qualités.

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lundi 16 avril 2012

Photographe

No sm

Allons bon, voilà autre chose.

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dimanche 15 avril 2012

Arriver

Arriver

Arriver

samedi 14 avril 2012

Impression trompeuse

New York

Parfois, quand on se promène à Tokyo, au milieu de tous ces immeubles, on a des impressions fugitives d'être à New York, mais c'est fugitif. Manhattan, c'est un rêve pour se repérer depuis le Commissioners' Plan de 1811, quand il a été décidé que toutes les extensions à venir de la ville seraient faites sur un plan en damier, en se foutant totalement de la topographie, après tout, une colline, ça se rase, une rivière, ça se comble... Et ça a été décidé à une époque où l'île de Manhattan était encore presque entièrement sauvage ; les trois quarts nord étant alors pour l'essentiel des collines et des forêts, avec l'éventuelle ferme qui serait de toutes façons détruite puisque ne correspondant pas au plan.

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vendredi 13 avril 2012

Écrire à nouveau

Nous ne sommes pas encore arrivés à la moitié du mois, et c'est déjà le sixième billet. D'après mes archives, il y a bientôt un an que ça n'était plus arrivé. Et je pense qu'avant la fin du mois, on devra remonter à beaucoup plus longtemps. Non pas que j'ai des choses à dire (j'ai digéré mon manque d'intérêt général depuis bien longtemps) mais mon jouet est de nouveau attrayant. Quand je vous disais que je ne supportais plus l'ancien habillage, ça allait jusque là : je n'avais vraiment pas envie d'écrire quoi que ce soit pour ce site. Maintenant qu'une fois de plus je m'y sens mieux, ça ne me déplairait pas qu'il revive un peu.

Ça va être plutôt facile pendant quelque temps, parce que j'ai un voyage à débriefer et que malgré mon opinion sur mes photos, je me prépare à vous en imposer quelques unes, mais ensuite ? Est-ce que je vais trouver une nouvelle voix (sic) ? Nan parce qu'il faut bien le dire, je n'ai pas la plus grande sympathie pour le backlog qu'il y a ici. Je trouve ça verbeux, exhib et poseur. En même temps, c'est une assez bonne définition de qui je suis. C'est donc verbeux, exhib, poseur et cohérent, on ne peut pas avoir que des défauts.

Notre héros parviendra-t-il à trouver un second souffle ? L'audimat est-il trop essoufflé en cette treizième saison ? Ce blog qui a survécu à des années d'existence avant qu'on n'invente les blogs survivra-t-il à la mort des blogs ? Utiliser trois fois le mot blog en une courte phrase n'est-il pas un peu répétitif ? Vous le saurez en lisant la suite de notre feuilleton. Si vous n'avez pas profité de la pub pour vous tirer ailleurs, bien entendu.

jeudi 12 avril 2012

fuite

fuite

mercredi 11 avril 2012

Partir

Partir

Voilà, je suis parti au Japon. Ce n'est pas la première fois que je pars vers une destination où je suis déjà allé, mais ayant passé moins de trois jours à Tokyo lors de ma précédente visite, j'étais resté frustré. Quand je voyage, j'aime découvrir, je ne fais pas ça pour cocher des cases dans ma liste des pays visités.

Encore une fois, pas de compte-rendu, ça ne correspond plus à ma manière de voyager, mais quelques photos[1] et quelques impressions sont à venir.

Note

[1] Quelques, parce que je peux à peu près tout jeter, je crois. Je ne suis décidément pas photographe.

dimanche 8 avril 2012

Envie de vide

34

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samedi 7 avril 2012

Tear down the wall!

Un des meilleurs côtés de ce que j'ai traversé ces quelques dernières années, c'est que je me connais bien mieux. Partant, je m'accepte bien mieux. Il y a donc un certain nombre de murailles qui ne me sont plus nécessaires.

Et quand on retire l'armure, la sensibilité par rapport au monde est tellement plus grande : depuis quelques mois apparaissent dans des morceaux que j'écoute depuis toujours des instruments dont j'ignorais la présence. Depuis quelques mois, j'ai la chair de poule en racontant les morceaux que j'aime.

Depuis quelques mois, la musique me fait tellement d'effet que régulièrement des morceaux me font pleurer d'émotion.

J'aime.

dimanche 4 mars 2012

Approfondir

Approfondir

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dimanche 12 février 2012

Indégivrables

Indégivrables

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mardi 31 janvier 2012

Don't feel that way no more

une belle paire de chouettes moustaches, et un indicateur de plus que je suis perdu pour le modernisme.

Ah et puis bonne année.

lundi 26 décembre 2011

Mission SS-154

samedi 10 décembre 2011

l'infaillibilité des maîtres

J'aime cette logique aventureuse qui s'attaque aux choses accréditées, cette indépendance quelque peu révolutionnaire de pensée qui n'admet point l'infaillibilité des maîtres. Le maître l'a dit est la plus sotte parole qui puisse sortir de la bouche d'un homme. Allez ! Celui qui ne sait que ce qu'on lui a appris est un pauvre hère !
(Claude Tillier)

jeudi 1 décembre 2011

Lilypond

J'ai deux ou trois vidéos qui traînent en ligne qui me voient en train de massacrer l'un ou l'autre morceau. Il m'arrive parfois d'y recevoir un commentaire, et même pas forcément méchant, comme quoi les gens sont bons.

Le dernier commentaire que j'ai reçu disait "Je veux la partition! Je veux la partition! Je veux la partition! Ah oui! S'il vous plait!", et moi je suis toujours prêt à faire plaisir, mais là, j'étais bien embêté, parce que quand je joue quelque-chose, au mieux, je pars d'une grille d'accord, et sur le morceau en question ça n'était même pas le cas, c'était du d'oreille d'un bout à l'autre (avec les approximations que ça implique.)

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vendredi 18 novembre 2011

Buvons à la ...

À moi, mon piano...

dimanche 6 novembre 2011

English Breakfast

Au petit déjeuner, ce dimanche, je n'ai pas mangé de croissants. Il faut dire que j'ai dévalisé un supermarché anglais ; là, j'ai des stocks pour six mois, et je vais être obligé de bâfrer pendant quelques jours pour essayer de ne pas perdre trop de denrées périssables.

Et mon abnégation va même plus loin : j'ai quand même fait de la purée de navet (bon, de rutabaga, mais ça reste un navet) pour accompagner mon haggis, et un café volontairement pas assez fort pour rester dans l'ambiance.

Ceci-dit, j'ai trouvé du sirop d'érable épais, pas ces trucs liquides qu'ont vend habituellement en Europe. Rien que pour ça, ça valait le coup.

Sans rapport aucun que celui de parler de bouffe, quelqu'un saurait où on peut trouver du Kalles Kaviar, maintenant que ces crétins d'Ikea ont décidé de remplacer les bons produits qu'ils vendaient par des imitations de merde, mais de leur propre marque, comme les premiers vulgaires Auchan ou Delhaize venus ?

(Accessoirement, au niveau petits déjeuners, j'attends l'Allemagne avec impatience, je suis curieux.)

lundi 24 octobre 2011

un trop petit mot pour toute la joliesse qu'il exprime.

Si vous n'avez jamais lu Mamzelle Namous, il faudrait, quand-même. C'est une fort jolie humaine.

Jehan l'Advenu

Puis il revint comme il était parti :
Bon pied, bon œil, personne d'averti.
Aux dents, toujours la vive marguerite,
Aux yeux, toujours la flamme qui crépite.

Mit sur ta lèvre, Aline, un long baiser
Mit sur la table un peu d'or étranger
Chanta, chanta deux chansons de marine
S'alla dormir dans la chambre enfantine.

Puis il revint comme il était parti :
Bon pied, bon œil, personne d'averti.
Aux dents, toujours la vive marguerite,
Aux yeux, toujours la flamme qui crépite.

Rêva tout haut d'écume et de cavale,
S'entortilla dans d'étranges rafales.
Puis au réveil, quand l'aube se devine,
Chanta, chanta deux chansons de marine.

Puis il revint comme il était parti :
Bon pied, bon œil, personne d'averti.
Aux dents, toujours la vive marguerite,
Aux yeux, toujours la flamme qui crépite.

Fit au pays son adieu saugrenu
Et s'en alla comme il était venu.
Fit au pays son adieu saugrenu
Et s'en alla comme il était venu.

Norge

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