Métaphore

Il fait froid dehors

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Pousse-pousse

Pousse-pousse

Times Square, New York. Décembre 2009.

Into the Wild

Into the wild

Central Park, NYC, Décembre 2009.

(en grand / Flickr)

Dans mon jardin d'hiver...

Dans mon jardin d'hiver

Temps magnifique dans mon jardin, ce week-end, avant de prendre la route (j’ai failli faire demi-tour 32 fois dans la première heure/les cinq premiers kilomètres. Un voiture à propulsion arrière, ça chasse bien du cul sur une patinoire.)

Ne rien faire, comme un dimanche...

d’après mes comptes, je ne vais peut-être pas manger jusqu’au bout des vacances. d’après mes comptes, je passe d’excellentes vacances !
Sunday, December 20, 2009 09:40

Quand je suis rentré hier soir, tard, Alan, mon compagnon de chambrée, n’était pas encore endormi. En discutant un peu, nous nous sommes rendus compte qu’une fois de plus, nous avions des prévisions similaires pour le lendemain : partir tôt, direction Central Park, pour prendre le maximum de photos avant qu’il y ait le maximum de personnes.

2nd Avenue (#2009)

Sauf que pour moi, c’est raté : la journée d’hier m’aillant vraiment laissé sur les rotules, je me lève beaucoup plus tard que prévu. Alan doit déjà être parti que j’ouvre à peine les yeux. Bon, pas grave, j’arriverai un peu plus tard, il me suffira de trouver les coins plus calmes.

Camembert

De toutes façons, de la neige, il y en a partout. Je vais passer la première partie de la matinée à déambuler à SoHo, en enjambant les congères. Ce matin, c’est grand soleil, mais la température est toujours polaire, la fonte de ce qui est tombé hier, ce n’est vraisemblablement pas pour tout de suite. Et fichtre, hier, c’est bien tombé. Je rappelle que j’avais décidé de venir en plein mois de décembre, malgré la certitude du froid, parce que j’avais un rêve : voir New York sous la neige. J’ai été exaucé au delà de mes souhaits, parce que lors des conversations au j’ai eues ce matin à l’auberge, j’ai appris que ce qui est tombé hier, c’est la plus grosse tempête de neige que la ville aie connue en dix ans.

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J’avais prévu de remonter très vite vers Central Park, mais en tournant dans une station de métro pour y retrouver des souvenirs d’il y a longtemps, j’ai bloqué ma carte pour un moment. Je me suis donc promené dans le quartier plus longtemps que prévu ; du coup, la matinée est vraiment bien entamée quand j’arrive sur Park Avenue, dans l’Upper East Side.

Let the Sunshine In / White Christmas

Après avoir rechargé mes batteries et surtout celles de mes gadgets, je reprends le métro direction Times Square ; hier, c’était club de blues, aujourd’hui musical à Broadway. Et pas n’importe quelle comédie musicale : Hair.

Let the Sunshine In

Dès que l’idée de venir à New York s’est précisée, j’ai su que je viendrai voir un spectacle à Broadway, il n’était plus que de décider lequel ; plusieurs m’ont fait de l’œil, mais la sélection est vite descendue à deux ou trois puis un seul. J’ai choisi celui là entre autres pour une raison pragmatique : contrairement à d’autres, ils ont la bonne idée de proposer des places à des prix assez bas.

Mais j’ai aussi choisi celui là pour des raisons de cœur : c’est Hair, putain ! J’ai découvert ça au sortir de l’adolescence, à l’époque où je glissais du punk vers le hippie, à l’époque où je me désespérais d’être né vingt ans trop tard. Bien sûr, j’ai découvert ça grâce au film de Milos Forman, qui triture un peu l’histoire et les chansons, mais je m’en fous, je suis un vieil incorrigible, j’adore cette musique, j’adore les cheveux longs, j’adore la paix et l’amour (et j’emmerde les caricatures ! :p)

Visiblement, on dépasse un peu les caricatures, remarquez, en fumant ma dernière clope, je m’étonne de voir entrer des gens rentrer d’une moyenne d’âge assez élevée (ce qui pourrait se comprendre) mais surtout un certain nombre de rupins en manteaux de fourrure et assimilés. Ah quand même, on va voir des hippies, certes, mais n’oublions pas que c’est la sortie du samedi soir sur Broadway, c’est classieux.

Bon, je m’en fous. Là, aujourd’hui, il a neigé; je me suis rendu compte hier que voir un concert tout seul, contrairement à mes craintes, je pouvais vraiment aimer ça. C’est d’un pas tout guilleret que je me mêle à ce public pour ajouter mon bipbip au concert des billets validés à l’entrée.

Et là, au lieu de faire un gentil bipbip vert sur mon billet, le lecteur de code barre fait un gros REUUUUH rouge. Gné ? m’interroge-je. Désolé monsieur, c’est un billet pour hier, ça… Pardon ? Non mais c’est pas possible, je n’ai pas pu réserver pour hier, j’avais un concert hier ! Un gros balèze vient voir ce qui se passe, me prend mon billet et m’intime l’ordre de ne pas bouger en attendant son retour.

Alors je ne bouge pas, j’attends, et je me sens tout creux d’un seul coup, je m’étais fait une telle joie de venir voir ce spectacle que comprendre d’un seul coup que je l’ai dans l’os et que je n’ai plus qu’à rentrer la queue entre les jambes me laisse brutalement vidé ; j’ai toujours eu du mal avec les promesses de bons moments non tenues.

MoMA, et la neige, enfin.

of Modern Art

Aujourd’hui, on prévoit de la neige. #doigtscroisés
Saturday, 19 December, 2009 08:10

Face à face

Depuis avant même mon arrivée, on prévoit de la neige pour après-demain, mais le lendemain, c’est toujours pour après demain. Je vérifie tous les jours parce que si je suis venu en sachant que j’allais affronter des températures polaires, c’est parce que je rêve de voir New York sous la neige. Je n’ai toujours rien vu, mais il y a du changement : si avant-hier on en prévoyait toujours après-demain, donc aujourd’hui, hier on en prévoyait pour demain, donc aujourd’hui toujours. Et aujourd’hui, on en prévoit toujours pour aujourd’hui, ça commence à devenir intéressant.

En attendant, en sortant ce matin, on continue à se les peler sévère. je commence à m’y habituer, cela-dit. C’est un peu comme mes pieds qui commencent à être un peu douloureux après plusieurs jours à dix heures de marche par jour ; au bout d’un moment, c’est juste un fait, on n’y prête plus attention.

Blanc content

Ah tiens, il y avait longtemps qu'il n'avait plus neigé... Pelouse blanche au réveil, ça met de bonne humeur.

Hé hé, yes !

Rain & snow

Flocons

Trente kilomètres en une heure à cause de la neige. Sourire. Mais ce soir, en bouquinant au chaud devant la cheminée, ça manque de Julie.

Et comme à chaque fois ..

Il neige à verse et je souris comme un gamin.

Hihihi !

Il neige à verse ! \o/

Joie enfantine

Il neige sur Bruxelles.

Wuaiiis !

Ce matin je marchais Pour venir travailler, et j'ai pris un truc dans l'œil... Wuaiiiis ! Un flocon de neige !

J'aime/J'aime pas d'hiver et d'automne

Le patron m'a refilé encore une autre chaîne, ce dont je le remercie, parce qu'une fois de plus ça m'évite de trouver du vrai contenu, et je ne le remercie pas, parce que ses réponses sont très proches de ce qu'auraient dû être les miennes. On va s'y essayer quand même :

enfin !

Enfin un réveil avec de la neige sur les toits, les voitures et les trottoirs... Malheureusement, pfff, je sens que ça va pas tenir, ça, encore. Mais où sont le neiges d'antan ?

Christmas time is here again !

Premiers flocons de neige de l'année sur Bruxelles... Ça ne dure pas, mais ça veut dire qu'on arrive dans une période que j'aime bien.

Encore un peu de blanc

Voilà que derechef il neige. Voilà qu'encore je suis content.

Blanc !

Bruxelles est tout blanc, j'adore ça !

joie enfantine

Ouaiiiiiis ! Il neige ! Noyël, Noyël !

Jingle Bells !

Je me réveille et voilà qu'il neige sur Bruxelles. C'est n'importe quoi ! (mais j'aime bien)

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