Métaphore

Il fait froid dehors

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Dommage, si près du but...

Donc, ce week-end, c’était repos. Parce que mine de rien, me suis-je rendu compte, la dernière fois, c’était il y a un trimestre complet. Ah ouais, quand même m’interpellais-je in-petto lorsque je fis ce savant calcul.

Vendredi en sortant du boulot, je suis donc allé faire des courses pour la moitié de mon budget bouffe mensuel et soutenir un siège, et je suis retourné m’enfermer chez moi, refusant toutes les sollicitations, celles qui avaient des arguments (Y’aura d’la meuf !, celles des voyageuses en démocratie exceptionnellement sur place en même temps que moi, ou celles des FOSDEM que je ne savais même pas que c’était ce week-end, dtfaçons.

Et j’ai été très sage : vendredi, j’ai bouquiné et je me suis couché plutôt tôt. Samedi, je me suis levé à 11h et j’ai pratiquement passé la journée au lit, à surfer, lire ou regarder des dévédés, ou à m’endormir en sursaut en pleine conversation pour une sieste imprévue, mais bien.

Je voudrais dormir

Nous aurons toute la mort pour nous reposer
Moustaki

Le week-end dernier, sur un coup de tête alors que j’avais prévu de me reposer, j’ai pris la route en sortant du boulot pour aller à Lille voir un ami se produire sur scène, et aussi voir des vieux amis nouveaux parents (j’ai d’ailleurs passé une heure immobile avec une toute petit gamine d’une semaine qui me dormait dans les bras, ça fait bizarre.) Dans quelques jours, je pars passer le week-end à Paris, il y a deux semaines, j’ai une amie qui est venue passer quelques jours à la maison, pour le nouvel an, j’avais un couple d’amis chez moi, dont la présence a chevauché un peu celle d’une famille de quatre personnes que j’aime bien, même s’ils sont normands, et qui ont aussi passé quelques jours à la maison.

Dans les trous de cet emploi du temps, j’étais en France pour des réunions de famille. Réunions qui ont commencé par un réveillon tout juste après deux heures de route tout juste après une quinzaine d’heures de voyage pour rentrer de New York, ou j’ai passé le séjour à marcher dix ou douze heures par jour. Le week-end qui avait précédé mon départ, je m’étais déjà pris mille kilomètres dans les pattes pour aller passer quelques jours en Normandie. À côté de ça, le week-end d’avant où je n’étais allé qu’à Paris aurait été presque reposant si je n’avais qu’à compter les six ou sept heures de route, mais non : quand on a de la bière sur la table, on parle, on parle et on parle jusqu’à faire des nuits très courtes…

Fatigue, épisodes #7232 et #7233 (au moins)

Je crois qu’il serait de bon ton que je passe un week-end à ne rien faire, pour une fois ; je suis cette semaine dans un état d’épuisement assez total, je me traîne et je n’ai pas envie (pas envie de manière globale, pas de quelque-chose en particulier.) Il n’y a guère que le piano qui ait trouvé grâce à mes yeux ces derniers jours (à cause d’un ricochet.)

Je me rends compte avec amusement de l’erreur qui était la mienne lorsque j’imaginais que la fin de mes aller-retours à Paris deux week-ends sur trois allaient me permettre de me reposer. Stupide moi ! C’est à l’époque que c’était facile : toujours le même trajet, le cul tranquillement posé dans le train, et avec des emplois du temps prévus un trimestre à l’avance : reposant pour le corps, reposant pour la tête, mais j’aimais quand même ça (j’avais une récompense au bout du trajet, et de l’inconnu quand même : l’humeur de la dite récompense.)

Tout ça pour ne rien dire, ou plutôt si : je voulais noter ici, pour les générations futures (ou en tous cas pour moi plus tard, histoire d’avoir une chronologie) la raison de mon brutal coup de mou de la semaine dernière. Notons un instant ce que moi j’appelle l’instinct : quand une réflexion se fait au niveau totalement inconscient et que le cerveau éructe brutalement les conclusions de cette réflexion sans laisser aucun accès au cheminement.

C’est ça qui est venu me prendre la tête, alors que j’étais tranquillement installé en train de m’occuper l’esprit aux vingt-sept choses concurrentes habituelles, est remontée de je ne sais où, en bousculant tout sur son passage, l’impression qu’il s’est passé ou qu’il se passe quelque-chose qui entérine encore un peu plus ma disparition de sa vie[1]. Impression sans aucune base, puisqu’on s’approche doucement de l’année sans aucune nouvelle, mais je tenais à le noter pour la raison même qui m’empêche de la balayer comme idiote et sans fondement : parce que les quelques fois où j’ai eu ces éclairs de femme de marin, je suis tombé pile-poil au milieu de la cible.

Mais après tout, on s’en tamponne.

Notes

[1] Avec même une idée assez précise de ce que ça pourrait être, mais là, il ne faut quand même pas pousser.

La philosophie - Batucada

Beaucoup de boulot au boulot, beaucoup de boulot sur les projets persos, beaucoup de centaines de kilomètres dans les pattes, beaucoup de bière dans les veines et trop trop peu de sommeil[1] Collez par au dessus un sommeil pas terrible à cause de quelques cauchemars qui dérangent un futur révolu[2] qui ferait mieux de sédimenter et vous l'aurez compris : je suis fatigué.

Oui, ça change.

J'ai naïvement cru que le célibat allait me permettre de me reposer, puisque je n'aurai plus à faire des centaines de kilomètres chaque week-end pour la rejoindre. Visiblement, la bougeotte est intrinsèque : il m'arrive parfois de rester chez moi le week-end, ce qui n'était pas le cas auparavant, mais c'est quand même relativement rare, et je suis sur les routes plus souvent qu'à mon tour. Finalement, j'avais imaginé que la fin de la relation marquerait la fin de ma vie sociale, mais elle en a plutôt marqué le renouveau : maintenant j'ai le temps de voir mes amis. Sauf qu'ils habitent tous loin, ces nazes.

Alors voilà, tout ça n'arrange rien à mon état de fatigue, mais puisque j'ai découvert grâce aux archives de ce site que c'était un état assez constant chez moi depuis de longues années, je ne m'inquiète pas plus que ça. Après tout, nous avons toute la mort pour nous reposer...

Ah oui, et puis ça explique que j'ai peu le temps d'écrire aussi.

Notes

[1] Samedi, je me suis un peu pris les pieds dans mon agenda, chaque rendez-vous prenant plus de temps que prévu et décalant le suivant. Mon rendez-vous de la fin d'après-midi m'ayant fait de l'usage jusqu'à 23h30, j'ai commencé ma soirée ensuite, grâce à d'excellents camarades qui m'avaient attendu pour faire un sort à une toute nouvelle collection de bière belges. Bien entendu, ça nous a mené à très tard (ou tôt, c'est selon.)

[2] sic.

Mission (presque) accomplie

Maredsous Or ça, j'avais décidé de ne rien foutre de mon week-end, ce que j'ai à peu près fait, et c'était une expérience étrange, mais pas totalement désagréable. Vendredi soir, j'ai live-blogué la glande, mais c'était déjà beaucoup d'activité. Du coup, samedi, je n'ai juste rien fait.

Mais attention, quand je dis "rien", c'est un "rien" de compétition, le genre couverture de Rien Magazine : Pour la première fois depuis des éternités, voire pour la première fois tout court (hors maladies) j'ai passé ma journée au lit. Je me suis bien levé parfois pour manger, fumer quatre ou cinq clopes ou changer le DVD, mais le point central de ma journée a été le lit. Bouquins et DVD, pratiquement pas de surf, même pas de musique. Rien. Le pied.

le remède

J'avais pensé à aller ici ou là, à faire ci ou ça. Finalement, je crois que je vais m'offrir, pour la première fois depuis plus de deux mois, quelques jours de glande, me légumer dans les bouquins et tâcher de ne pas ressentir de culpabilité à ne rien foutre.

Oui, je vais faire ça.

Analyse de la morosité ambiante

Je suis apathique, la solitude me pèse, je ne me sens pas bien physiquement, je me sens un peu vidé mentalement...

Ces derniers temps, au boulot, j'ai du boulot, du qui fait chauffer la tête et me fait rentrer le soir crevé, du coup je ne fais rien de mes soirées.

Il y a quelques jours, j'ai passé la moitié du week-end à jardiner, l'autre moitié avec des potes ou avec des gamins ou avec des proches qui traversent des trucs pas drôles. La semaine d'avant, les ex-expats étaient là et nous avons passé une bonne partie du week-end à traverser Bruxelles à pieds dans tous les sens et à boire des bières, à nous coucher beaucoup trop tard. Avant ça, pendant une semaine, c'était les Normands, et si nous ne nous couchions pas si tard, nous marchions tout autant, et avec des gamins qui, pour adorables qu'ils soient, ne sont pas de tous repos. Avant, il y a eu l'Enchianteresse, avec qui j'ai fait du bricolage. Tout ça venait après une petite virée à Paris, laquelle était une façon de ne pas me reposer après quelques milliers de kilomètres de vacances ou le sommeil n'a pas toujours été au rendez-vous.

Congé-fatigue jusqu'à la semaine prochaine

Depuis quelque temps, je suis absolument incapable de me concentrer sur quoi que ce soit, du coup tout s'accumule, du coup c'est encore plus dur de se concentrer. Ça me donne des soirées idiotes où je ne vais pas me coucher parce qu'il me reste douze milles choses à faire et quand je finis par m'écrouler beaucoup trop tard, je n'ai finalement rien fait, puisque que je lâche tout dès que je commence quoi que ce soit.

J'en ai donc parlé à mon ''dotcleur''[1] qui a été catégorique : Trois jours de RIEN obligatoires, couché tôt. Et je vais faire exactement ça : je pose tout sur l'étagère et je me contente du minimum syndical : lire mes mails (mais ne pas y répondre) et ranger ma cuisine, qui n'attend que ça, et puis mettre des trucs en place en labo au boulot, donc sans connexion Internet. Le reste du temps, je regarderai Futurama, puisque ma môman vient de m'offrir l'intégrale.

À la semaine prochaine.

Notes

[1] Oui, je voulais écrire docteur, mais je m'emmêle et les doigts et les mots et les concepts.

Je suis en pleine forme

mercredi 24

Cinq minutes avant de quitter le boulot pour rejoindre Lille, je me dis que je n'ai pas grand chose à y faire. Je joins Julie qui me confirme qu'elle est chez elle le lendemain, et je prends la route vers Paris. Vers 22h, coup de chance : il y a une place libre juste devant chez elle. N'ayant pas prévu ça, j'ai avec moi un sacré barda à monter à pieds au troisième (non, je ne laisse rien d'une quelconque valeur dans ma voiture.) Julie m'accueille, je suis amoureux.

jeudi 25

Journée tranquille, à bosser chacun sur des projets persos, mais assez proches pour que je puisse l'embrasser quand l'envie m'en prend. J'aime bien.

et maintenant, repos ! (tu parles ...)

Je suis pas nostalgique, mais je regrette rien !
Stupeflip

Donc oui, voilà, je suis de retour.

Allez, je vous raconte un peu mes vacances - je n'ai rien d'autre à dire, de toutes façons, je ne suis pas encore complètement reconnecté - : Ça commence par un petit séjour à Saint-Chartier, et quoi que j'ai pu en dire, je crois bien que je vais y retourner, c'est vraiment une trop grosse bulle d'oxygène pour que je m'en puisse passer. Alors bien sûr, ça augmente, bien sûr, c'était mieux avèng (sic) mais quand même, c'est un joyeux bordel que j'aime bien.

Qu'est-ce que je tribulle !

Une petite tranche de vie ? Allez, c'est parti !

insomnie

il est passé trois heures du matin, dans trois heures je me lève pour faire deux heures de route, et je n'arrive toujours pas à m'endormir. génial !

Pas assez de temps

Bon, je tiens à présenter mes excuses à tous ceux à qui je dois répondre avant hier, mais ces derniers temps, je suis vraiment en manque de temps... Je n'oublie personne, mais il va encore falloir attendre un peu, parce que là, c'est un petit peu trop serré.

Dodo

Je viens de me réveiller après un tour d'horloge. Je savais bien que j'avais du sommeil en retard !

le travail, c'est mal

"I tried work, but it didn't work out. Too much like work."
John Steed

Le travail, c'est fatiguant. Le travail, ça prend du temps. Des fois, c'est excitant, et des fois pas. Je suis depuis la semaine dernière en période de crise, mais maintenant ça va mieux. Par contre il faut toujours bosser pour résoudre le problème... C'est à dire que ça prend toujours du temps, ça prend toujours de l'énergie, mais ce n'est plus stimulant.

Et du coup, je suis fatigué. C'est nul.

allumettes

Je suis en train de lutter contre le sommeil depuis quelques heures, c'est une horreur ! Encore une heure à tenir...

Fatigué

Quelle bonne idée : j'ai une super grosse journée (qui commence par deux heures de voiture et ne sera pas finie avant au moins onze heures ce soir ...) et bien entendu, je n'ai pas été foutu de fermer l'œil de la nuit.

vie bien

-J'ai perdu mon mouton !
-Oui, mais tu m'as gagnée, moi ..

Julie et moi, à propos de rien et de tout.

Aujourd'hui, je ne vais pas être bavard : je suis crevé. Sans même savoir pourquoi d'ailleurs, mais depuis quelques jours je n'ai qu'une envie : dormir. Le pire étant que je n'y arrive même pas : hier soir, je me suis écroulé à 21h à peine passée ... Résultat : je me suis réveillé en pleine nuit et j'ai passé des heures à me tourner et à me retourner pour essayer de retrouver le sommeil. Pas cool.

ramblings

Quel jour sommes nous ?
Nous sommes tous les jours,
Mon amie,
Nous sommes toute la vie,
Mon amour.

Jacques Prévert

Je suis fatigué. Je ne sais pas trop pourquoi, mais voilà quelques jours que je suis dans une forme déplorable. Il faudrait que je dorme plus, mais bon ... Quand je tombe de sommeil à 22h, je me dis que je fais encore un truc ou deux et que je vais me coucher. Et régulièrement, le truc ou deux se termine passé une heure du matin. Il faudrait que je me force. Ça commence à jouer sur mon moral et sur mon humeur.

Donc voilà : depuis ce matin, j'ai un nouveau neveu et une nouvelle nièce ... Non, non, pas des jumeaux. Mais ma soeur et ma belle soeur devaient être à la même soirée il y a une neuvaine de mois de ça. Du coup, la question que j'ai le plus entendue ces derniers mois est "et toi, c'est pour quand ?" C'est pas prévu avant 2042 pour le moment. Lachez moi la grappe.

demain

Il se fait tard et je suis crevé ... Ma mise à jour d'aujourd'hui vient de se transformer en mise à jour de demain.

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